Bip-bip
Oups, pardon pour ce rot bruyant d'avenir en marche
La peur est la petite mort qui conduit à l'oblitération totale. La peur tue l'esprit.J'affronte ma peur. Je lui permets de passer sur moi, au travers de moi.Et lorsqu'elle sera passée, je tournerai mon œil intérieur sur son chemin.Et là où elle sera passée, il n'y aura plus rien. Rien que moi.
L’une des caractéristiques des névrosés réside dans leurs hésitations à faire des choix
et, par conséquent, à prendre des décisions, d’autant si elles sont cruciales.
Cela s’explique notamment du fait que
le névrosé a conscience du champ des possibles, ainsi que de ses propres contradictions ;
et il considère les autres, acceptant leur différence ainsi que leur droit d’exister comme ils l’entendent.
Le névrosé culpabilise, étant capable de se remettre en question,
et il peut éprouver de la honte à la seule idée d’un acte de nuisance sociale.
Le névrosé pense à la conséquence de ses actes, comme on dit « en son âme et conscience ».
Le névrosé hésitant, sociable, a besoin d’entendre d’autres avis et points de vue pour se forger une opinion.
‒ Extraits de l'ouvrage de Andrew M. Lobaczewski intitulé : La ponérologie politique. ‒
Voilà comment pourrait fonctionner une société saine :
Une juste structure sociale composée d’individus dynamiques dans l’ensemble,
ne peut prendre forme que si ce processus suit ses lois naturelles et non un doctrine quelconque.
Elle profite à toute la société, car chaque individu y trouve sa propre voie de réalisation personnelle
tout en étant soutenu par une société qui comprend ces lois, les intérêts individuels et le bien commun.
De toute la population mondiale, selon A. M. Lobaczewski, ~80-85 % des gens seraient "normaux".
Mais alors, comment expliquer, comment se fait-il que, des 15 à 20 % de psychopathes
une poignée d'entre eux se soient tant enrichis et,
avec les aristocrates de l'establishment ‒ pour la plupart des psychopathes depuis plusieurs générations ‒
qu’ils en soient au point de contrôler le monde entier,
en imposant aux gens "normaux" leur vision d'un futur idéal5G ?
Ils en sont à fixer leurs conditions amorales pour que nous puissions… vivre !
Ils nous voient tels des robots sous leur assistance (les psychopathes voulant dorénavant
nous dicter nos pensées et comportements) !
N'est-ce pas illogique que 80 % de gens "normaux" se fassent mouliner l'esprit
par 20 % de psychotiques évoluant déconnectés de la Réalité ?
Comment en sommes-nous arrivés là, tous, tous responsables de cette situation intenable, mortifère ?
‒ Extraits de l'ouvrage de Andrew M. Lobaczewski intitulé : La ponérologie politique. ‒
A. Lobaczewski nous invite à mieux comprendre le mal pour éviter son influence morbide :
Comprendre la nature des phénomènes pathologiques macrosociaux
permet de les voir dans une saine perspective qui protège le mental de l’empoisonnement
par leur contenu délétère et l’influence de leur propagation.
(…)
Nous ne pourrons vaincre cet énorme cancer social qui se propage
que si nous comprenons ce qu’il est en essence et quelles sont ses causes étiologiques.
« Il est impossible de guérir une maladie qu’on ne connaît pas ».
La compréhension de la nature de ces phénomènes conduirait à la conclusion logique
que les mesures prises actuellement pour guérir et remettre de l’ordre dans le monde
devraient être entièrement différentes de celles utilisées jusqu’à présent
pour résoudre des conflits internationaux.
Elles devraient fonctionner comme des antibiotiques modernes,
ou mieux encore, comme une bonne psychothérapie, et non plus comme des armes obsolètes (…)
En ce qui concerne les phénomènes de nature ponérogénique, une connaissance adéquate
pourrait à elle seule déjà commencer à guérir les individus et restaurer leur harmonie mentale.
Ce que je tente de faire ressortir à travers les schémas parus sous « mieux connaître l’émotionnel »
est "mécanisme" qui se déroule tout seul, "automatiquement".
Thierry parle d'intervention (en commentaires). Pourquoi intervenir ?
Je ne sais à quoi pense Thierry au juste, mais concernant l'émotion :
il nous faut considérer le fait que depuis longtemps nous avons déréglé le fonctionnement global
de nos personnes. Nos corps mal-nourris doivent s'adapter au rythme d'une horloge et d'un agenda
dans un environnement pollué, notre rapport à l'émotion est bridé (c'est mal d'être en colère, cache ta joie,
si t'es triste ne le montre pas, etc.), quant à nos petits esprits (intellect et activité mentale),
ils sont certes plein de géniales théories abstraites et d'équations, néanmoins, dans les faits,
en ce qui concerne l'interaction avec le vivant nous évoluons à côté de la plaque,
obnubilés par des idéaux et dogmes, comme celui de la technologie vaccinale "salvatrice",
alors que nous ravageons tout.
Nos petits esprits hémiplégiques sont destructeurs, mais pas créatifs.
En plus du "désalignement" (de nos trois cerveaux), depuis mars 2020 autant les gouvernements
que les merdias ont agi en sorte de nous dérégler complètement (peur infondée, confinement meurtrier,
interdictions débiles, masque inutile mais obligatoire, ne plus savoir que penser ni qui croire,
empêcher certains de travailler, inverser les valeurs, pénaliser les bonnes actions comme la solidarité, etc.)
Je recopie ici des extraits de l’ouvrage écrit par Andrew M. Lobaczewski intitulé :
« La ponérologie politique. Étude de la genèse du mal, appliqué à des fins politiques ».
Comprendre ce propos amène à comprendre notre délirante et contraignante situation actuelle
(qui perdure depuis mars 2020 en F. Je le répète car je trouve hallucinant ce qui se passe dans le monde).
Je vous propose ci-dessous une présentation par schémas,
pour insister sur une nécessaire meilleure connaissance du plan émotionnel de l'existence.
Rappel : c'est parce que l'humain est doté de ce centre de fonctionnement, l'émotionnel,
qu'il a développé une conscience morale, des caractéristiques bienveillantes comme l'empathie
et la compassion, et qu'il a pensé la justice, l'art, la culture ainsi que les religions.
Relevons que c'est par l'émotionnel qu'on nous tient confinés et masqués.
Se fixer un but ?
Pourquoi pas.
Libre à chacun, toutefois :
attention à ce que ton but s’inspire de tes aspirations profondes
et qu’il chevauche ton élan naturel œuvrant à l’épanouissement de ta personne, de ton Être ;
car, autrement, cela signifie que ton but chevauche l’élan d’autrui.
Source : Net |
Un but qui n'exprime pas l’élan de l'Être ne peut être conçu et dirigé que par l'Ego.
Pour se laisser Être, pas besoin de but ni de projet, pas d’objectifs à se fixer ni d’étapes à passer.
Pour Être, il s’agit, au contraire, de lâcher prise sur ce qui nourrit l’Ego (ambitions et autres vanités,
quête de pouvoir sur autrui, idéaux, addictions aux biens matériels de luxe (non-vitaux),
peur de manquer de quelque chose et besoin croissant de distractions à plaisirs immédiats
servant à compenser le sentiment profond de frustration et de mal-être, etc.)
Par souci égotique, nous nous épuisons tous les jours,
dépensant tant d’énergie personnelle à répéter des efforts qui, concrètement, ravagent la planète
ainsi que le système interactif global unissant toutes formes de vie, même microscopiques,
pour, au bout du compte, se sentir profondément insatisfaits, jamais rassasiés,
souvent mal fichus (las, névrosé, déprimé ou stressé, anxieux, etc.) et déconnectés du vivant.
Pas besoin de but ni d’effort pour Être.
N'est-ce pas une nouvelle extraordinaire ?
Il suffit d'oser s'autoriser.
S'en donner le droit.
S'autoriser à Être,
respirer,
apprécier...
__________________________________________________________________________
Noël approche.
Youhou !
Euh..., hou... hou..., ce s'ra pas la fête.
Le calendrier d'avant n'est plus,
vive le calendrier d'après.
Agenda 2030.
En cette époque difficile, un heureux personnage, de boire le verre à moitié plein, témoigne :
Depuis la pensée unique, j'ai de moins en moins de boulot et de soucis,
n'ayant plus à me tracasser concernant quoi et à qui acheter tel ou tel cadeau,
ni à répertorier quel enfant a été gentil et quel autre a désobéi.
Dorénavant c'est tous le même cadeau,
commandé sur Hainazon.com (sans frais de livraison ! Si, si)
Exclusif : cette année, même les parents recevront un cadeau !
Il est un principe relationnel si simple qu’un enfant peut le comprendre :
Ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas qu’on te fasse.
Euclide disait que : ce qui est affirmé sans preuve peut être nié sans preuve.
Source : Net |
Vibrer...
Chaque humain émet une onde vibratoire,
comme les autres animaux, les végétaux et sûrement les minéraux.
Pour apprendre à se connaître, il est important de considérer ce postulat :
l’humain est un mais trois, trois en un.
Principe de la trinité.
Une onde vibratoire, en musique, évoque une note
ou sinon, un accord de notes jouées en même temps.
Ai reçu un Texto sur mon vieux téléphone portable.
J'aime bien recevoir des Textos ;
enfin, ça dépend de qui et pour quoi.
Saint Colt ! Un message du Gouvernement, Itself !
C'est la première fois que je reçois un SMS provenant de cette hauteur.
Cœur battant, je clique-ouvre.
Euh... doit y avoir une erreur :
il m'est demandé de télécharger la nouvelle application #tousantigouv !
Pour le bien de tous.
... ?
On a dû me faire une farce, ai-je pensé ;
aussi, je suis allé vérifier sur Internet
et, oh..., dingue :
😱 🙀
🙌
Sur le chemin qui n'est pas, chaque pas est un premier et dernier pas...
‒ Miche
Tordus sont les chemins des hommes
qui, toujours, nous ramènent au même point.
Tu crois avancer, alors que tu t’en reviens.
D’interdictions en obligations, de Rome à Rome.
Chemins des incessantes répétitions.
- Qu’as-tu à sourire ainsi ?
- Maître Foudchoc, n’est-ce pas merveilleux que parmi la majorité de la population,
au sein de l’opinion publique, de plus en plus de personnes se réveillent ?
- Oh, oui, bien-sûr. On se réveille…
et on se rendort.
- Hein… ? Que voulez-vous dire ?
- Prenons une analogie : dormir. Durant la phase de sommeil, il arrive qu’on se réveille,
parfois pas tout-à-fait et on retrouve en train de flotter entre deux états d’être :
pas vraiment réveillé mais pas tout-à-fait endormi.
Durant la nuit, on peut aussi se réveiller complètement et aller aux toilettes,
avant de revenir se coucher et de s’endormir à nouveau.
Ce sont des exemples pour relever qu’on peut se réveiller et replonger aussitôt dans le sommeil.
Ténue est la frontière entre la fermeté ‒ parfois nécessaire en pédagogie et éducation ‒
et l’abus de pouvoir.
Exemple d’abus de pouvoir : gronder, voire punir, un enfant n’obéissant pas.
L’abus de pouvoir est d’autant plus malsain si l’enfant ne comprend pas ce qui lui arrive ou partiellement,
ou s’il trouve injuste ce qu’on lui ordonne de faire et ce qu'on dit de lui.
Obliger un enfant à… ne s’inscrit pas dans une démarche pédagogique
mais devient une question de dressage pouvant virer à l'obsession.
J'trouve pratique d'économiser les mots, surtout lorsqu'on est à cours d'arguments,
et d'utiliser des mots fourre-tout comme par exemple : complot.
Rappel de la définition de complot : machination concertée secrètement entre plusieurs personnes
dans le
dessein de porter atteinte à la vie, à la sûreté d'une personne, à une
institution.
Introduction
Abordons de façon simple le sujet du conscient/inconscient :
en chacun de nous, tout ce qui n'est pas conscientisé reste (en état latent) dans l'inconscient.
Ce que nous avons refoulé, surtout durant l'enfance, se trouve dans l'inconscient
(certains précisent dans la partie accessible de l'inconscient, soit : dans le subconscient).
Donc, dans l’inconscient se trouve une partie de nos élans, ceux refoulés et contenus,
et il s’y trouve également du potentiel resté latent,
potentiel dont nous ne savons rien (tant que ce potentiel ne se développe pas).
On peut dire que l’inconscient et à la fois une sorte de poubelle du non-désiré (le subconscient)
et, à la fois, une réserve de potentialités inimaginables (émanant de l’inconscient profond,
c’est-à-dire au-delà du subconscient).
Certaines circonstances, souvent brutales, peuvent stimuler l’émergence de capacités incroyables ;
ce qu’expérimentent notamment des personnes évoluant dans des situations extrêmes.
Je pense que ce que nous vivons actuellement va stimuler, en certains,
le déploiement de capacités insoupçonnées et créatives.
C'est l'affiche d'un film documentaire qui va bientôt sortir,
réalisé par Pierre Barnérias, qui connaît bien le milieu des médias officiels :
Je ne ris pas beaucoup depuis ... ?
Plusieurs semaines, mois.
Le rire nous tient en bonne santé,
peut booster notre moral, faire remonter notre bonne humeur
et, par conséquent, renforcer le système immunitaire.
Aaah, que ça fait du bien de rire de bon cœur :
« Quand ils vous mettent en colère ou vous rendent violent,
ils savent alors comment vous gérer.
Et c'est ce qu'ils veulent que vous fassiez. »
Tout se confronte à des limites ici-bas : même la patience, la docilité et l'attitude pacifique.
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Et Terre continue de tourner.
Avec ou sans humain,
avec ou sans virus, avec ou sans vaccin, avec ou sans masque,
avec ou sans consentement des humains, avec ou sans Trump,
avec ou sans propagande, avec ou sans mensonges et tricheries,
avec ou sans les richissimes capricieux fascistes se prétendant philanthropes,
avec ou sans peur, avec ou sans amour,
Terre continue de tourner.
C'est que Terre n'a pas besoin des humains pour vivre et apprécier son existence.
Nous avons tant besoin de légèreté, de rire, de danser, de sortir boire des verres avec les potes, etc.
Se divertir. Se changer les idées. Déconner.
Pas aimer, non, car c’est comme un virus contagieux.
Dire que tout ce qui se passe dans le monde, notamment en France,
émane de nous, de chacun de nous, de nos esprits, indubitablement malades.
Et dire que nombreux sont ceux qui se réjouissent, peut-être pas du confinement,
mais que Père-autorité ait serré la vis, en sortant le fouet. Enfin de l’ordre et davantage de sécurité.
Reste plus qu’à patienter que l’alerte au virus soit passée et que le vaccin soit enfin disponible.
Peut-être éviterons-nous la déjà prédite troisième vague, puis quatrième vague… de peur.
Peur, oui j’ai peur… de la docilité de la plupart semblant incapable de réfléchir.
Samedi 35 nouilles de l’an 1 après L. P. Vaccin,
à 14h sur la place des Sauces, exprimons notre désaccord.
Venez nombreux…
À moins que ne s’y mobilisent des dizaines ou centaines de milliers de participants,
à votre avis, qu’est-ce qui augure une action vaine, perdue d’avance, dans cette annonce fictive ?
Y nous reste plus qu’à prier ?
Danger concret provenant des gouvernements à la solde des richissimes
menaçant nos corps et esprits sous un prétexte… sanitaire.
Z’ont l’argument corrosif,
puisque c’est justement contre notre santé qu’agit cette dictature sanitaire !
À ce sujet et pour pousser la monstruosité de leur intention plus avant, un individu a mis en garde :
« faites attention à votre moi intérieur ».
"Leur" volonté semble consister à vouloir remplacer notre moi intérieur par le Cerveau IA central
afin de tout-contrôler au-travers de la technologie qui calcule notre comportement à notre place.
Non, pas possible de faire autrement, principe de précaution.
Plus de 7 mois (en France) que nous "vivons" à partir de supputations et de « et si » !
Émotionnel collectif resté bloqué sur peur.
État d’esprit collectif des plus confus.
Météo : fort et épais brouillard.
Traitez les gens comme s’ils étaient ce qu’ils devraient être
et vous les aiderez à devenir ce qu’ils peuvent être.
‒ W. V. Goethe
Ces mots de Goethe sont puissants.
Ils peuvent être compris, interprétés, d’une façon ou d’une autre.
Le propos est tout-à-fait d’actualité, vu ce qui se passe dans le monde.
Cette pensée de Goethe peut s'avérer aussi dangereuse qu’une épée à double tranchants hyper aiguisés ;
en effet,
admettons que je sois transhumaniste et actionnaire d’une Big Pharma,
dès lors j’aurais tout intérêt à traiter les autres comme des consommateurs de technologie
et de vulgaires cobayes pour des vaccins onéreux, n'est-ce pas ?
Quoi que tu rêves d'entreprendre, commence-le.
L'audace a du génie,
du pouvoir,
de la magie.
‒ W. V. Goethe
Essayons de comprendre le monde interactif de l’homo docilus-terrificatus.
En cette période difficile, sombre, chacun de nous se retrouve devant un choix à faire,
qu’on en ait conscience ou non.
Sans conscience de ce choix à faire urgemment, cela donne voix et raison à ceux
nous imposant un mode de vivre (peur et isolement, démonétisation, passeport sanitaire,
traçage, télétravail, "télévie" distractive, etc.)
Un des choix principaux que nous avons effectué, durant l’enfance, au plus profond de nous-mêmes,
se produit à partir d’un verbe dont les élans peuvent se diriger dans au moins deux directions opposées :
aimer ou ne pas aimer ?
La loi de cause à effets n’est probablement pas à remettre en question ;
toutefois, il est important de se rappeler que cette loi agit uniquement sur le plan matériel,
physique, mesurable, calculable et déterminable des phénomènes.
Sur la part indéterminable des phénomènes, la part spirituelle, sensible (qualité de vie)
et mystérieuse, les lois naturelles agissent différemment.
Certains phénomènes s'enchaînent de façon a-causale
(notamment C. G. Jung a révélé l’a-causalité notamment des synchronicités).
...
Je reste coi face à tant de perfidie
...
Si vide, et tant de vanités en les intérieurs de chacun,
qu'il ne reste plus qu'à y injecter des maladies (vaccins).
Après,
"Ils" s'occuperont de nous (vendre des nouveaux vaccins mieux-qu'avant).
Et "Pères-ils", au moins, nous diront quoi faire, et quand le faire, et comment le faire,
pour être considéré comme un bon citoyen de la Nation des vaccinés à télé-guider-pour-leur-bien.
...
Je reste coi face à tant de crédulité docile
...
- Mec, j’ai l’impression que nous avons avalé un LSD, que tout le monde est sous trip.
- Ouais, un bad trip interminable, un mauvais délire général.
- C’est dingue quand même, depuis gamin j’ai appris que lorsqu’on a des symptômes de maladie,
genre enrhumé, grippé, angine, rougeole, etc., on fait gaffe de ne pas trop approcher les autres,
de ne surtout pas les embrasser, etc.
Lorsque l’humain évolue dans une situation déplaisante, malsaine,
pour tenir le coup il met en place un système de compensations.
Les plaisirs compensatoires ont pour effets que l’humain accepte de s’activer
en agissant à l’encontre de lui-même, de ses aspirations profondes et aussi, du bon sens.
De s’efforcer à ne voir que le verre à moitié plein génère comme conséquences :
- à la fois une programmation auto-stimulante pour notre raison
à ne voir et considérer que certaines choses au détriment des autres choses,
- et, à la fois, cela renforce le besoin addictif, toujours croissant, de compensations
servant à pallier le sentiment profond d’insatisfaction (ennui, lassitude, frustration, etc.)
L’homme est, entre autres et de par sa nature, un chasseur, un conquérant ;
par conséquent, son esprit est stimulé par cet aspect des choses :
la chasse, la traque, la quête, la poursuite et le combat.
La finalité, le plaisir de l’homme, est d’attraper ce qu’il convoite, de vaincre s’il y a lutte,
et de profiter du fruit de ses efforts.
Certains de traiter les autres de moutons.
Où se situent ces pointeurs du doigt ?
Certains de se rassurer eux-mêmes en se répétant qu’en cas de catastrophe, d’apocalypse,
« Dieu reconnaîtra les siens ».
Où se situent ces prétentieux à la morale puérilement naïve reposant sur la « pensée magique » ?
Lorsqu’on dit, écrit, des balivernes de ce type, on ne peut que se situer au-dessus de la mêlée, n’est-ce pas ?
Se croire mieux que les autres, genre « à moi, on ne la fait pas »,
« moi je suis un gentil et honnête, je passerai entre les gouttes… », etc.
Plus ou moins long est le chemin.
Vers quoi ?
Voilà une chose que nous partageons tous, pauvres et riches, noirs, bruns, blancs et jaunes :
la destination.
Respect à celles/ceux ayant la foi.
Pour avoir la foi, pas besoin des Ceintes Écritures rédigées par des humains
sous la dictée d’auto-proclamés « supérieurs », dont les « représentants de Dieu »,
tous obsédés par le pouvoir (sur autrui) et les richesses matérielles (et non pas spirituelles).
Certains croient en les textes dits saints.
De la sorte, ils s’efforcent d’appliquer au quotidien une morale inculquée,
par exemple en respectant les Dix Commandements.
LETTRE OUVERTE AUX ENSEIGNANTS
Par Evelyne MELAN
(Mise en caractères gras et présentation sont de mon fait)
Je suis professeur des écoles et directrice à la retraite et je ne reconnais plus mes anciens collègues.
Avant, quand les gouvernements nous demandaient de mettre en œuvre des mesures,
des programmes qui nous choquaient, nous n’hésitions pas à manifester,
à faire grève pour défendre l’intérêt de nos élèves.
Aujourd’hui, j’ai l’impression qu’on vous a fait un lavage de cerveau.
Êtes-vous devenus des esclaves de la pensée unique ?
C'est dingue, ces gens-là (notamment la famille dont parle Mr H. Vox, ci-dessous),
on ne les traite ni de complotistes ni de conspirationnistes ni de terroristes ni d'assassins ni autres.
Non, ils seraient des philanthropes !
... ?
Tsss, suis-je bête : l'armée, les poliptichiens, les médias, polices et justice sont à leurs bottes !
Têtes à l'envers, monde de travers, plan de pervers ;
et la plupart, de lécher leurs derrières.
Extrait* d'un entretien avec H. Vox (~9 minutes) :
* Publié sur le site "le libre penseur"
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Anecdote : ce matin, suis allé à l'épicerie "zéro déchet".
J'ai pris un masque pour le mettre dans les bus et magasins,
cela devenant une habitude, la routine (ce qui est inquiétant, non ?)
Autrement, dehors, pour me promener et autres, pas de masque.
Arrivé en ville, je descends du bus et ôte le masque. Traversant le centre-ville,
je remarque que de plus en plus de gens mettent le masque même à l'extérieur, dans la rue,
ce qui m'a surpris car, il y a peu, je m'étais fait la réflexion que, dehors, peu de gens le mettaient.
À l'épicerie, j'ai demandé : est-ce que le masque est devenu obligatoire à l'extérieur, dans cette ville ?
L'épicière ainsi qu'une cliente de répondre : oui, depuis jeudi dernier, dans toute la région...
Moi : je ne le savais pas.
Bientôt une semaine qu'ils obligent le port du masque partout !
Même des policiers ont écrit au président, en plus de médecins, d'avocats, etc.,
pour lui demander de faire cesser cette... mascarade.
Partout dans le monde, des manifestations pour arrêter avec ces masques,
eh ben, non seulement ça continue, mais ça devient chaque jour pire !
C. Estrosi, maire de Nice, dit dans les médias que « ne pas mettre le masque est égoïste ».
?
135 euros d'amende.
?
On n'est pas et on ne naît pas tous Rothschild, Rockefeller, Bill Gates et Cie.
Je ne l'ai pas mis dehors. Nous étions peu, mais d'autres également restaient visages découverts.
Certains ont fait le rapprochement entre cette obligation du masque et les esclaves d'antan :
Je me suis dit que ce masque est également une façon de nous induire une injonction :
fermez votre gueule et obéissez.
Du coup, m'est venue l'idée d'écrire avec du fil à coudre sur mon masque :
Don Juan m’avait toujours dit que
notre grand ennemi est le fait que nous ne croyons jamais ce qui nous arrive.
(…)
Don Juan avait dit que lorsque nous nous apercevons finalement de ce qui se passe,
il est en général trop tard pour faire marche arrière.
Il soutenait que c’est toujours l’intellect qui nous fourvoie,
car c’est lui qui reçoit le message en premier,
mais au lieu de lui prêter foi et d’agir sans délai en fonction du message,
il se met à folâtrer avec lui.
‒ C. Castaneda
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Je me manque
Je te manque
Je nous manque
Je vous manque
Je "leur" fait défaut
Qu’est-ce qui, en nous-mêmes, est capable de prendre un tant soit peu sa destinée en main ?
Qu’est-ce qui mène, dirige, ma vie, mes motivations,
et qui décide de la réalisation de certains désirs au détriment des autres, etc. ?
Je me demande, et ne suis pas le seul, s'il ne faut pas nous considérer comme en temps de guerre ?
Dans un camp évoluent les élites (ploutocrates) et gouvernements à leurs bottes
alors que dans le camp adversaire se débattent... nous : le peuple, la masse de gens.
Les hommes, pris en masse, jouent toujours le jeu de quelqu’un d’autre… jamais le leur.
Ils tombent dans des pièges d’où ils sont incapables de se dépêtrer.
Ils appartiennent à des groupes ; il sont membres d’organisations ; ils respectent des idées,
ils sont attachés à tel individu ou à telle région géographique.
Mettre la main sur les institutions qu’ils vénèrent, voilà la méthode.
‒ A.E. Van Vogt
Certains esprits fourmis souffrent d’un grave complexe de supériorité (sentiment d’infériorité refoulé).
Comme un chien chihuahua ou un yorkshire, hyper peureux,
l’esprit fourmi ne cesse d’aboyer contre les autres chiens, surtout les gros,
les grognant et attaquant lorsqu'ils se croisent, alors que les gros ne les calculent même pas ;
puis, paniquant d’en voir un approcher, le roquet saute se réfugier dans les bras de son maître.
Ainsi se comporte l’esprit fourmi
qui se réfugie derrière ses lois injustes et les flics-soldats sous-rémunérés.
L'absolu se trouve en bas de l'échelle de l'évolution de l'esprit
tout comme en haut de l'échelle.
Aussi, on pourrait être amené à croire que l'esprit fourmi est comme l'Esprit aigle.
La Voie de l'évolution de l'Esprit monte, symboliquement orientée vers le Ciel.
En cheminant, l'individu veille à purifier et élever ses vibrations,
ce qui n'est possible qu'en se détachant, se déliant (affectivement) des mondes (ou dimensions) inférieures,
de la matérialité (rapport à l'argent, quête du pouvoir sur autrui, ambitions, idéaux de vie confortable et sécurisée, etc.)
Pourquoi, comment comprendre que l'ascension ne peut que se diriger vers le Ciel ?
Hallucinant !
Incroyable. Flippant. Diabolique.
À voir de toute urgence, avant une possible censure.
Accrochez-vous.
Site diffuseur de l'information, vidéo d'environ 8 minutes :
Vidéo en question (sans passer par le site ci-dessus) :
Se rappeler que, selon le Nouvel Ordre Mondial :
la population mondiale doit être ramenée à 500 millions.
Source : wikipedia |
Brrrrrrr....
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- Je me sens si bien avec toi.
- Hmm
- Tu sais, j’en suis sûre maintenant, tu es l’homme de ma vie.
- Euh, t’en rajoutes pas, là ? Tu dis ça à chaque nouvel amoureux ?
- Pas du tout. T’es l’homme idéal, celui dont j’ai toujours rêvé.
Ne pas craindre les mensonges, le leurre,
mais plutôt craindre et se tenir à distance de celles/ceux qui s’y complaisent
et qui l'utilisent pour parvenir à leurs fins égotiques.
Craindre ces personnes qui croient ou prétendent croire en leurs mensonges
(comme la plupart des politiciens et aussi, des "représentants de dieu", techno-scientifiques, etc.
et encore, celles/ceux parmi notre entourage familial, social et professionnel).
Craindre les personnes qui préfèrent se raccrocher au leurre plutôt que de revenir au sain et à la lumière.
Le leurre (mensonges, tricheries, fabulations et affabulations, idéaux, etc.) est tel un brouillard.
Qu’est-ce qui ne tourne pas rond en l’humain civilisé ?
Faux-moi (Ego)*,
fausses motivations**,
idées fausses sur le monde naturel,
faux besoins, le plus souvent addictifs.
Évolution dans un environnement social hypocrite et morbide,
de plus en plus mortifère, bâti sur le mensonge et la manipulation des esprits.
- À ton avis, de quoi l’être humain a le plus peur au fond de lui ?
- Bah, j’sais pas. De l’inconnu, du changement, des étrangers.
De la perte de confort, de repères et de sécurité.
De ne plus avoir de certitudes faisant penser que tout est sous contrôle.
Et aussi, la peur de manquer de quelque chose… Un peu de tout ça, quoi.
- Effectivement, mais j’crois qu’au plus profond de chacun,
l’humain a peur de la vérité. De la simple vérité nue et crue.
Juste une question à vous poser à vous-mêmes :
Comment se fait-il et comment expliquer les censures quasi systématiques d'opinions critiques
et/ou divergentes, par exemples contre les vaccins et le projet de puçage (des gens),
ce qui remet en question l'OMS et Big Pharma (lobbies pharmaceutiques),
ce qui révèle les complots des richissimes de ce monde ?
Comment se fait-il que des libres-penseurs, comme J-J Crèvecoeur,
soient censurés notamment par Youentube ?
Hier soir, j'ai appris une nouvelle notion pour désigner une incapacité de l'esprit,
notamment à penser par soi-même,
expliquant le faible niveau de réflexion critique de la plupart d'entre nous.
Ce mal nouveau frappe de plus en plus de gens dans les riches et cultivés pays occidentaux, dont la France : l'analphabétisme fonctionnel.
« On est en train de normaliser une situation de surveillance. »
NB : réfléchir 30 secondes, allez va, 1 minute.
Nous savons pertinemment que dans nos sociétés capitalistes néolibérales
rien, absolument rien, n'est gratuit ; et qu'il y a toujours une intention derrière "leurs" décisions.
Comment se fait-il que ce compteur linky soit gratuit ?
(Certains prétendent que c'est faux car les factures sont très légèrement augmentées
et donc, ils récupèrent le prix du compteur.)
Ils vont se faire des couilles en or en vendant nos données.
Pensez à Godgle : si j'ai bien compris, c'est la plus riche entreprise au monde (ils ont dépassé
le chiffre d'affaires des entreprises d'énergie fossile, pétrole, etc. !!)
Au début du Net, Godgle était un moteur de recherche gratuit. Gratuit.
Nous savons aujourd'hui, que nos données rapportent gros...
Sans parler de l'aspect surveillance, par exemple si vous êtes un opposant à cette technologie.
Pensons également à toutes ces ondes (linky en émet également)
dont nous ne savons absolument pas quelles répercussions elles auront sur nous,
quelles conséquences sur nos précssssieux cerveaux, à moyen et long terme ! ... ?
Impact sur nos cerveaux, impact sur nos comportements.
J'ai la désagréable impression que nous ne mesurons pas les conséquences de tout ça ;
autrement, beaucoup plus de gens déposeraient leur smartphone
et lutteraient contre ce compteur espion,
contre cette technologie de surveillance et de recueil de données.
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Liens
* Le réveil des Celtes (réaction perso à l'annonce du changement de compteur pour un linky)
* Le mal, c'est viril (pour comprendre comment on en arrive à normaliser le pire, l'impensable)
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Le pouvoir personnel, une question d’énergie.
Pour appréhender cette notion de pouvoir personnel,
on peut l’associer à la notion d’énergie et aussi, de force.
Le pouvoir personnel évoque autant la force physique (endurance, par exemple)
que la force psychique, dite aussi force mentale.
Corps et esprit.
Je me suis trouvé un surnom : Eric-le-négatif
Ce matin, comme d'hab., suis venu voir vos publications.
Ils ont changé leur façon de nous faire accepter les cookies :
soit tu acceptes, soit tu valides ce que tu acceptes de ces grrr de cookies.
Pas nouveau, sauf que, ce matin, je ne pouvais carrément pas voir vos publications !
Ce n'est plus la petite bande en-haut ou en-bas de page, mais une page entière qui se met devant,
c'est-à-dire que : sans accepter, tu ne peux carrément pas consulter le blog !
Certains prétendent que l’humain est fainéant,
sous-entendu que, sans stimulation ‒ par exemple sans l’obliger à travailler-pour-produire-plus ‒
l’humain ne ferait rien de ses journées.
Comme déjà écrit : je défie quiconque de rester sans rien faire.
Le langage nous agrippe avec des doigts invisibles.
Il nous conditionne à la façon dont les autres pensent.
Par le langage, nous nous imposons les uns aux autres notre manière d'envisager les choses.
À nouveau une bataille dont je ne veux pas, mais que je mènerai tout de même :
voilà que je reçois aujourd'hui un courrier m'avertissant qu'ils vont poser le compteur linky.
J'ai trouvé une carte de France sur le Net où est indiqué l'évolution de leurs travaux :
de ce que j'ai vu la plupart d'entre vous avez déjà ce compteur à votre domicile,
et personne n'en parle ! ... ? Oh non, ce serait trop négatif.
Heureusement qu'il y a des sites comme "Robin des toits"
pour me confirmer que, non, je ne suis pas seul à batailler.
Cœur de métal,
l'humain passe son existence à calculer,
le cul posé sur une chaise, en attendant sa retraite.
Que connaît l'humain de l'amour ?
Des théories, dont il ne cesse de parler.
Par exemple : il prétend aimer ses enfants,
mais Terre serait-elle dans cet état si c'était le cas ?
Depuis l'ère industrielle,
gloire aux scientifiques,
le fatalisme est perçu comme péjoratif.
Ah ben tiens, comme par hasard.
Fatum (latin) : destin.
Fatalisme : − P. ext. Attitude morale, intellectuelle, d'une personne qui se soumet à l'événement.
Déterminisme (selon moi) : vouloir tout contrôler, prévoir, planifier, sécuriser, modéliser, standardiser...
Aux transhumanistes et autres techno-scientifiques
ainsi qu’aux illuminés du Cervô.
Très simplement
parce que l’idée de la mort est la seule chose qui apaise l’esprit.
‒ Don Juan à C. Castaneda
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