Prendre les gens tels qu'ils sont

Traitez les gens comme s’ils étaient ce qu’ils devraient être
et vous les aiderez à devenir ce qu’ils peuvent être.

‒ W. V. Goethe

Ces mots de Goethe sont puissants.

Ils peuvent être compris, interprétés, d’une façon ou d’une autre.

Le propos est tout-à-fait d’actualité, vu ce qui se passe dans le monde.

Cette pensée de Goethe peut s'avérer aussi dangereuse qu’une épée à double tranchants hyper aiguisés ;
en effet,
admettons que je sois transhumaniste et actionnaire d’une Big Pharma,
dès lors j’aurais tout intérêt à traiter les autres comme des consommateurs de technologie
et de vulgaires cobayes pour des vaccins onéreux, n'est-ce pas ?

Oser provoquer Providence

 
 

 

Quoi que tu rêves d'entreprendre, commence-le.

L'audace a du génie,
du pouvoir,
de la magie.

‒ W. V. Goethe

 

 

 

Citoyen modèle ou humain ?

 

Essayons de comprendre le monde interactif de l’homo docilus-terrificatus.
 

En cette période difficile, sombre, chacun de nous se retrouve devant un choix à faire,
qu’on en ait conscience ou non.
Sans conscience de ce choix à faire urgemment, cela donne voix et raison à ceux
nous imposant un mode de vivre (peur et isolement, démonétisation, passeport sanitaire,
traçage, télétravail, "télévie" distractive, etc.)


Un des choix principaux que nous avons effectué, durant l’enfance, au plus profond de nous-mêmes,
se produit à partir d’un verbe dont les élans peuvent se diriger dans au moins deux directions opposées :
aimer ou ne pas aimer ? 

Des causes et des faits

 
La loi de cause à effets n’est probablement pas à remettre en question ;
toutefois, il est important de se rappeler que cette loi agit uniquement sur le plan matériel,
physique, mesurable, calculable et déterminable des phénomènes.

Sur la part indéterminable des phénomènes, la part spirituelle, sensible (qualité de vie)
et mystérieuse, les lois naturelles agissent différemment.
Certains phénomènes s'enchaînent de façon a-causale
(notamment C. G. Jung a révélé l’a-causalité notamment des synchronicités).

Sentiment d'automne 2020

 
...

Je reste coi face à tant de perfidie

...

Si vide, et tant de vanités en les intérieurs de chacun,
qu'il ne reste plus qu'à y injecter des maladies (vaccins).
Après,
"Ils" s'occuperont de nous (vendre des nouveaux vaccins mieux-qu'avant).
Et "Pères-ils", au moins, nous diront quoi faire, et quand le faire, et comment le faire,
pour être considéré comme un bon citoyen de la Nation des vaccinés à télé-guider-pour-leur-bien.

...

Je reste coi face à tant de crédulité docile

...

 

 

 

 

Double discours

14.10.2020, ~20h.

... ?

Durant le discours

Peut-être en était-il comme don Juan l’avait toujours soutenu :
nous avons tous un potentiel en surplus,
quelque chose qui est là mais qui a rarement l’occasion de servir.

‒ C. Castaneda

M'embrasse pas, j'suis mal fichu

 

- Mec, j’ai l’impression que nous avons avalé un LSD, que tout le monde est sous trip.

- Ouais, un bad trip interminable, un mauvais délire général.

- C’est dingue quand même, depuis gamin j’ai appris que lorsqu’on a des symptômes de maladie,
genre enrhumé, grippé, angine, rougeole, etc., on fait gaffe de ne pas trop approcher les autres,
de ne surtout pas les embrasser, etc.

Vivre par procuration

 
Lorsque l’humain évolue dans une situation déplaisante, malsaine,
pour tenir le coup il met en place un système de compensations.

Les plaisirs compensatoires ont pour effets que l’humain accepte de s’activer
en agissant à l’encontre de lui-même, de ses aspirations profondes et aussi, du bon sens.

De s’efforcer à ne voir que le verre à moitié plein génère comme conséquences :
- à la fois une programmation auto-stimulante pour notre raison
à ne voir et considérer que certaines choses au détriment des autres choses,
- et, à la fois, cela renforce le besoin addictif, toujours croissant, de compensations
servant à pallier le sentiment profond d’insatisfaction (ennui, lassitude, frustration, etc.)

De la chasse

 
L’homme est, entre autres et de par sa nature, un chasseur, un conquérant ;
par conséquent, son esprit est stimulé par cet aspect des choses :
la chasse, la traque, la quête, la poursuite et le combat.

La finalité, le plaisir de l’homme, est d’attraper ce qu’il convoite, de vaincre s’il y a lutte,
et de profiter du fruit de ses efforts.

Amour vs domination

 

- Pour empêcher un adversaire de nuire,
on dit qu’il faut identifier son point faible, sa fragilité.
D’ailleurs la même "technique" est utilisée pour asservir ou corrompre quelqu’un.
Tout ‒ êtres animés ou choses et même le Système ‒ a son point sensible rendant vulnérable.

- Quelle est la fragilité ou la faille du Système, à ton avis ?

Oh, t'as vu l'autre, quel plouc !

Certains de traiter les autres de moutons.
Où se situent ces pointeurs du doigt ?

Certains de se rassurer eux-mêmes en se répétant qu’en cas de catastrophe, d’apocalypse,
« Dieu reconnaîtra les siens ».
Où se situent ces prétentieux à la morale puérilement naïve reposant sur la « pensée magique » ?

Lorsqu’on dit, écrit, des balivernes de ce type, on ne peut que se situer au-dessus de la mêlée, n’est-ce pas ?
Se croire mieux que les autres, genre « à moi, on ne la fait pas »,
« moi je suis un gentil et honnête, je passerai entre les gouttes… », etc.