En ce moment, je me "débats" entre un besoin de sédentarisme (repos et repas équilibrés)
et le besoin de marcher encore, de découvrir de nouveaux paysages, etc. Le plaisir du nomadisme.
Je tiens compte du fait que c'est la période touristique : prix augmentés, voitures innombrables,
et plein de mondes un peu partout, causant et bouffant.
Tiens, une autre dichotomie en laquelle je nage, frétille : entre le besoin de sociabilité
et le besoin de solitude, de calme, de silence (pas de blablas et bruits naturels, oiseaux, cigales, etc.)
Questionnement : prendre plaisir à être avec les autres, et se retrouver à boire de l'alcool.
Pourquoi est-ce si difficile d'apprécier partager sans avoir à se saouler ni à "faire la fête", etc. ?
C'est dingue, j'étais encore en couple, donc depuis plus de vingt ans que je me questionne sur ce sujet :
pour quelles raisons est-ce que les autres sont dérangés que je ne boive pas d'alcool alors que de mon côté,
je m'en fiche qu'ils boivent ou non ?