Se rappeler l'important

 
En octobre 2018, j'ai publié cinq regrets de personnes mourantes, placées en soins palliatifs.
En ce moment il me semble vital d'en tenir compte, de se rappeler à l'essentiel
de ce qui procure du bonheur et de la satisfaction à nos existences.

Rappel :


    - J'aurais aimé avoir le courage de vivre ma vie et pas celle des autres. 

 

    - J'aurais voulu avoir le courage d'exprimer davantage mes sentiments. 

    - Je regrette d'avoir consacré tant de temps à mon travail.

 

    - J'aurais aimé garder plus de contacts avec mes amis.

 

    - J'aurais aimé m'autoriser à être plus heureux.

 

Jour et Nuit

 
Ô Soleil vénéré depuis tant de temps :
Ton rayon de lumière révèle et réchauffe, certes,
mais il délimite également un espace déterminé,
en laissant le reste dans l'ombre.

L'humain se laisse éblouir par des discours d'egos brillants d'artifices,
à en oublier la subtile dimension interactive du Vivant interdépendant.

La lumière originelle, émane-t-elle de notre soleil ?

 

Ô Univers à étoiles scintillantes :
Ta nuit brouille les sens et pensées, certes,
pourtant c'est durant ces heures-là que Mystère du Monde se rend le plus perceptible.
La confusion des sens modifie les états de conscience, notre perception du monde,
et de la sorte nos âmes deviennent particulièrement réceptives ;
peut-être pour nous rendre à même de ressentir et de vibrer avec Mystère Univers ?

Par sa giration autour de Terre et son reflet de lumière insidieux,
la jeune Lune semble vouloir confirmer une continuité matérielle déterminable,
ce qui a pour effet de maintenir nos esprits figés en l'espace ensoleillant la matière.
Un espace aujourd'hui ravagé comme la chambre d'un petit enfant hyperactif après quelques heures de jeu.

Obsédé par ses passions et des idéaux, l'humain aveuglé et sourd s'égare... d'un écran à l'autre.

De jour et de nuit, le mental humain rationalise, trop content qu'il est de savoir calculer.

Par peur et mépris de l'incontrôlable magie pulsant durant la nuit,
nous avons fixé des néons partout, nous empêchant de voir les étoiles de Vie, les inspirantes.
Nuit sous lumière artificielle, pour calculer autant que le jour la rentabilité de Progrès-l'Ogre.

Titanesque délire puéril de l'HOGM* à "augmenter"… les profits des architectes du leurre-ravageur.
Infime poussière d'enfer qui se rêve en dieu immortel d'un paradis à dettes et crédits.

Humain dément,
toi qui n'est qu'un élément du Vivant :
rappelle-toi que tu es produit de la Nature,
et que sans Nature il n'y aurait pas eu de smartphone.
Rappelle-toi que le Vivant pulse depuis des milliards d'années,
sans avoir nul besoin de toi, ni de ton IA (Intelligence Artificielle).

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Note

* HOGM : humain à l'Organisme Génétiquement Modifié.

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Illusion d'un possible

 
Serait-il possible de vivre ensemble, en société, avec davantage de respect,
d'éthiques (commerciale, par exemple) et de justice sensée, impartiale et incorruptible ?

Je ne le pense pas*.
En tout cas pas tant que des pervers et des psychopathes continueront d'être considérés
comme étant "normaux" et, pire, comme étant des personnalités de référence et donc "supérieures" !! (uniquement parce qu'elles sont riches et en faisant fi des considérations morales
ainsi qu'en déniant leur maladie mentale qui ne génère que poisons et interférences
au sein de l'interdépendante dynamique sociale).

Ils traitent tout un pan de la population d'inutiles**, les nuisibles égocentriques déments.

Basiquement, pour que les interactions soient saines – agréables, intelligentes, "nourrissantes" –
il faudrait que les diverses parties (tous les humains) se reconnaissent les mêmes droits (de vivre,
de s'exprimer, d'avoir des besoins propres, des opinions, etc.) ce qui, par conséquent,
générerait davantage de respect et de justice et ce, malgré les disputes.

Constat : notons que, à la base (dès les débuts de notre conditionnement mental de civilisé),
nos façons d'être en relation ont été biaisées puisque le système hiérarchique ne permet pas
aux individus de se rencontrer en se côtoyant sur un même piédestal ;
sans parler des injustices, des prérogatives et passe-droits, de la corruption...
Ce Système (la civilisation Progrès) court-circuite la dynamique relationnelle générale, c'est un fait,
et ce, pour favoriser une dynamique unilatérale allant des dirigeants-qui-prennent-et-savent
vers tous les autres qui-ne-savent-pas et qui doivent donc s'exécuter en se contentant d'un minimum.
Relevons encore un point : ce Système encourage et stimule la perversion.
Et la psychopathie fleurît...

Un pervers ne reconnaît l'autre comme son semblable qu'à la condition qu'ils soient complices,
car autrement l'autre ne représente qu'une proie, un bouc émissaire, un souffre-douleur.
Pour un psychopathe l'autre est un objet utile ou inutile décorant son monde.

Les pervers et psychopathes sont incapables et n'ont aucune volonté d'entretenir des relations saines
car autrement leur exaltation égotique s'annihilerait et l'individu se retrouverait face à lui-même :
à ses faiblesses, ses lâchetés, ses peurs, ses incapacités et ses péchés de conscience,
bref, il ne ressentirait plus l'ivresse du sentiment de supériorité. Ce serait la chute.

 

L'enfer (de Dante) selon S. Botticelli

La beauté et l'amour laissent indifférents les pervers et psychopathes,
leur plaisir étant satisfait lorsqu'ils parviennent à souiller, violer, tricher, corrompre l'innocence,
tromper, abuser, dérober et s'approprier les biens d'autrui.
Lorsque l'autre souffre, autant le pervers que le psychopathe jouissent de leur sentiment de toute-puissance
et de je ne sais quoi de morbide, obscure, venant combler leur béance intérieure.


Les pervers et psychopathes sont des êtres qui se sont bannis eux-mêmes de leur royaume,
et ils n'ont qu'une motivation : conquérir et détruire le plus de royaumes possible
pour imposer leurs idéaux et visions du monde.
Comprendre qu'une personne déconnectée d'elle-même (n'écoutant pas ses âme et conscience)
ne peut tout simplement pas entretenir des relations saines avec autrui, avec le monde.
La CNV (Communication Non Violente) ou autres approches n'y changeront rien.


J'ai retourné la question dans tous les sens depuis longtemps :
pour que ça change, il faut impérativement empêcher les pervers et les psychopathes de nuire.
Il aurait fallu les empêcher de s'enrichir et de devenir influent.
Pour le dire autrement, il faut leur couper leurs ailes de chauve-souris des ténèbres.
Il faut apprendre à toute personne saine (capable de culpabiliser et d'avoir des remords de conscience)
à reconnaître la perversion ainsi que les symptômes de psychose.
Et, bien évidemment, il serait important que des personnes saines de corps et d'esprit
se retrouvent aux commandes de nos diverses institutions.

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Notes

* Après J-C, les romains avaient établi la "Pax Romana", un modèle institutionnel (nous inspirant encore) bien pensé,
mais qui très vite n'a pas été respecté notamment à cause de la cupidité des dirigeants et de la corruption des fonctionnaires.
Cercle vicieux, nous répétons toujours les mêmes erreurs. Il serait temps d'en faire de nouvelles, erreurs.

** En référence à un livre intitulé "homo deus" écrit par un dingue, sûrement un psychopathe à "leur" solde.

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Progrès, cause et effets

 
Il fut un temps qui nous voyait s'activer avec fierté et un certain sens des responsabilités.
On pouvait s'exprimer en politique, même en s'opposant. On pouvait rire et questionner, se parler.
On se sentait libre de vider son compte en banque, de voyager, d'acheter un terrain et de construire,
etc. (il serait long d'énumérer nos possibilités incessamment entravées depuis quelques décennies).

Cependant, et c'est ici qu'entre en jeu la relation individuelle avec sa propre conscience,
c'est à partir de ces années de consommation frénétique que la plupart se rendirent compte
que de vivre confortablement comme expliqué à la TV
avec frigo, voitures, vêtements et objets jetables, toujours plus d'électricité, etc. :
ce mode de vie a ravagé, et ravage encore, la planète, son écosystème, notre eau potable...

Une catastrophe mondiale est due à notre comportement irresponsable et immodéré,
à nous qui suivons des ploutocrates cupides, à l'esprit encombré d'équations industrielles,
se révélant n'être, en tant qu'humains, que des mégalos, pervers et psychopathes pour la plupart.

 

Depuis les années 1970,
avons-nous tenu compte des cataclysmes non-naturels alarmants (pluies acides, Tchernobyl, etc.) ?
Avons-nous agi en sorte que cela cesse, diminue, avec l'intention de modérer quelque chose
de nos comportements destructeurs, en vue d'améliorer notre sort et celui de vos enfants ? Avons-nous agi ?
Avons-nous seulement réagi et dit stop aux dégâts causés par le vénéré Progrès ?

Avons-nous seulement ralenti (la production de pétrole, par exemple) ne serait-ce qu'un tout petit peu ?

Ben zut, quelle pensée rétrograde me traverse l'esprit. Pouah !

Nous avons continué notre train de vie comme si de rien, comme si tout n'allait pas si mal que ça
♪ Tout va très bien, Mme la Marquise ♫ ... ♫, ♪ pourtant il faut, il faut que l'on vous dise... ♫

Pire, contre toute attente nous avons construit des machines toujours plus destructrices,
en continuant de tout polluer, de pulvériser de la merde toxique sur nos fruits et légumes,
des hormones dans les viandes ainsi que de la chimie, du phosphate, des nanoparticules en tout,
tout en continuant de produire davantage de plastique pour consolider le sixième continent, etc.

Nous avons accéléré la marche morbide.
Progrès s'ennuie, s'énerve, s'impatiente. Progrès a faim de nouveautés à dévorer.
Nous avons accéléré le processus de ravage du milieu Naturel nourricier ! ... ?

Autodestruction de masses en "positive attitude".

 

Un véritable progrès, sain, ne générerait aucun aspect ravageur (les pollutions, etc.).

Qu'est au juste un progrès ?
Je veux dire, à quel moment peut-on parler d'un progrès pour l'humanité ?
Quels sont les critères permettant de définir un progrès, afin de le distinguer d'une supercherie toxique ?
 

Mon bilan
 
Depuis cinquante ans les choses évoluent..., certes..., en pire : c'est de pire en pire.
En plus de l'état lamentable de notre planète,
nous, citoyens civilisés, nous nous trouvons de plus en plus contraints par de nouvelles lois
et accusés d'être la cause des maux sur Terre et ce, par les décideurs irresponsables
de la catastrophe écologique ! ... ?
Tout est fait pour que nous nous sentions coupables de vivre, de rejeter du CO2, de manger bio
en refusant une injection génique expérimentale fabriquée par des multi-condamnés charlatans
et transhumanistes comploteurs ! ... ?
Nous n'avons carrément plus le droit d'être un être humain sain de corps et d'esprit, capable de penser,
ne consommant ni médicament ni "vaccin" ni bouffe de merde joliment emballée sous vide.
Nous subissons toujours plus d'interdits par décrets, avec des obligations absurdes
et des amendes à forte rentabilité.

Vos enfants sont abêtis à l'école (phénomène des "illettrés fonctionnels" apparus depuis plusieurs années),
où on leur apprend... la sexualité, oui, oui, ainsi que la peur irrationnelle des microbes.
Bonjour l'angoisse !

Les banques prennent le pouvoir partout dans le monde,
et les gouvernements leur lèchent les coffre-forts.

Avec l'accord par-trop intéressé des Big Pharma,
on nous rend malades de façon variée et diverse notamment par chemtrails,
la malbouffe hormonale, les médicaments, les pollutions, de soi-disant vaccins,
etc. (la liste des non-dits mortifères de Progrès serait tant longue à établir)

 

Progrès-Technologie accélère autant le processus de destruction du milieu Naturel
que notre processus d'évolution spirituelle ou simplement d'être humain.
Nos vies sont en danger.
Le vivant est en danger.


On nous a ôté le goût de vivre, de manger normalement (sainement), de respecter autrui, d'être solidaire, etc.,
jusqu'à nous avoir coupé l'élan du travail (management, soi-disant "démarches Qualité" coûteuses,
restrictions budgétaires, etc.), après avoir annihilé nos âmes guerrières.
De papillons, nous sommes devenus des larves peureuses, lâches et douillettes.

Et les transhumanistes furent...
et sont encore les potes, pour la plupart, des "philanthropiques" eugénistes tueurs en bande organisée.

 

Progrès agit sur nous, sur chacun, avec la puissance d'une religion
au mythe-sur-écrans absurde mais fascinant.

On nous fait croire  que Progrès est naturel, comme allant de soi !
Un comble.
« On ne va quand même pas retourner vivre dans une caverne, éclairé à la chandelle, sans Rolex au poignet
indiquant l'heure du télé-travail, après la propagande, la météo et quelques pages de publicités indispensables ! »
On y croit.
On veut  y croire, au Progrès ; c'est pourquoi nous rationalisons* les survenus pourtant pénibles et délirants (!)
en déniant les effets néfastes de Progrès pour ne plus voir que le bon côté du confort-sécure-TV-Net,
pendant que les merdias banalisent ce fonctionnement abominable 24H/24 ;
et, de la sorte, tout devient norme woke progressiste, le top de l'évolution transgenre civilement "augmenté".

- bip - votre crédit est social est validé - bip -
- bip -vos vaccins sont à jour - bip -
- biiip - achat refusé - vous avez déjà mangé 15 gr. de chocolat il y a une heure - biiip -

 

Technologie-de-Progrès ne permet qu'une ignominieuse intrusion dans nos sphères privées
et ce, au nom de la volonté d'une poignée de malades mentaux rêvant d'exercer leur toute-puissance ;
et de tout surveiller, chaque citoyen et son chien ;
ainsi que voulant en finir avec toute concurrence commerciale.
Ils sont les Mettre Profond.

La technologie nous isole et fragilise toujours plus au fil des jours,
en nous faisant croire  le contraire.
Un tour d'illusion extraordinaire.

Ô Kalachnikov tactile, à écrans,
fasse que Progrès jamais ne s'arrête.

Mort aux créatifs.
Fin du bon sens.
Pourrissement de la quête d'Amour.
Mort aux mères.

– bip - Interactions sous contrôles, pour le bien de tous - bip –

Vive l'esclave consentent, smartphone-de-liberté à la ceinture,
le premier à en redemander, des privations de liberté au NOM d'une sécurité des plus sécurisées.


Toi, âgé de plus de quarante ans, je t'invite maintenant à établir ton propre bilan**
au sujet de ce que certains nomment le "progrès de la science",
en te posant cette question de fond : selon toi, selon ton vécu et ton ressenti,
pour l'humain ainsi que pour toutes formes de vie, Progrès, est-Il source de davantage d'agréments
ou de davantage de désagréments ?
 

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Notes

* Il faut voir les bons côtés de Progrès, pensez-vous peut-être ?
S'intéresser et relire notamment l'étude de Christophe Dejours traitant entre autres de notre façon de rationaliser
et rendre banal (acceptation) l'horreur, l'immoralité, l'injustice, la torture (morale et physique, au travers des exigences professionnelles par exemple).

L'humain évolue en état discontinu de fascination prégnante.

** Pour établir un bilan de situation, plutôt que d'argumenter et d'analyser des détails, il vaut mieux prendre du recul, un point-de-vue d'ensemble,
une vue en hauteur en se rappelant les débuts, une vue d'aigle impartial et juste).

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