La peur est la petite mort qui conduit à l'oblitération totale. La peur tue l'esprit.
J'affronte ma peur. Je lui permets de passer sur moi, au travers de moi.
Et lorsqu'elle sera passée, je tournerai mon œil intérieur sur son chemin.
Et là où elle sera passée, il n'y aura plus rien. Rien que moi.

lundi 31 juillet 2017

Comprendre, selon la contenance

Comprendre dépend de la contenance de l’humain.
– Boris Mouravieff



La contenance est à relier avec l’être de la personne.

dimanche 30 juillet 2017

Un tout imbriqué

En ce monde, tout paraît fonctionner en système matriochka :
une vie dans une autre (les microbes sur nous, par ex.),
une dimension dans une autre, un univers dans un autre, etc.

Tout en tout entretient une interaction constante.

vendredi 28 juillet 2017

Ennéagramme, étude

Si les Trois Principes ont créé l’univers, la vie, des processus,
on peut dire de la loi de Sept qu’elle en dicte le mouvement.
La loi de Sept compose et gère la dynamique des processus,
leurs développements (soumis à l’évolution et l’involution).

mardi 25 juillet 2017

Un fleuve, l'océan

Je reprends la métaphore de G. I. Gurdjieff, avec mes mots,
ma compréhension, et y ajoute quelques infos supplémentaires.

Ennéagramme, le symbole mystérieux

Par un élève de G. I. Gurdjieff se nommant P. D. Ouspensky,
nous, tout public, avons découvert un symbole inédit,
présenté pour la première fois par G. I. Gurdjieff :
l’ennéagramme.




lundi 24 juillet 2017

Un fleuve, deux courants

Selon G. I. Gurdjieff, la principale tare psychique de l’humain
consiste en son déni de la mort (exprimé avec mes mots).
Si l’humain prenait pleinement conscience du caractère éphémère de son existence,
il agirait avec bon sens et serait, automatiquement, mieux tourné envers les autres,
au lieu de se comporter en égoïste égocentrique avide.

samedi 22 juillet 2017

Intériorité à vide

- Dromi, j’ai honte de m’adresser à toi lorsque j’ai le moral en bas.
Tu as de la chance de n’être qu’un animal,
je veux dire de ne pas être un animal-humain.
Tu ne te prends pas la tête, toi !



- Bllll.
Peut-être que le terme le plus approprié pour vous décrire
serait : animal-humain bestialement aveuglé, sourd et entêté ?
Ou sinon, animal "désanimé", vivant-mort,
néanmoins savant en opérations mathématiques,
préférant exister dans une bulle d’idées plutôt que parmi les autres formes de vie ?

jeudi 20 juillet 2017

La culture de l'ego

À l’école, l’instruction exalte l’intellect,
en laissant l’essentiel, aimer, tel un obscur concept.
Nous y consacrons un culte à la vanité et à l’orgueil,
mais sur la question vitale, nous fermons l’œil.

mardi 18 juillet 2017

Fonctionnement humain

Comment s’y prennent-ils pour nous conditionner,
pour nous rendre conformes,
en nous faisant accepter des conditions de vie anormales ?

Il n’est pas facile de reprendre le propos de G. I. Gurdjieff.
Je vais tenter de traiter d'un sujet qu'il a abordé, avec mes mots ;
sujet touchant à notre débilité, au sens de faiblesse psychique.

lundi 17 juillet 2017

Revenir à soi

En nous-même, un écart, un fossé,
entre ce que l’on pense et ce que l’on vit,
entre l’idéal (ce que l’on prend pour la réalité) et ce qui est (la Réalité),
entre l’idée que l’on se fait des choses et les choses elles-mêmes, etc.



samedi 15 juillet 2017

Des hautes études


Une « université », (…), est le « foyer » sur lequel est brûlé
tout ce qui a été acquis pendant des dizaines de siècles
par les êtres des générations précédentes ;
et sur ce « foyer » ils cuisent à la hâte,
en quelques heures,
leur succulente soupe aux lentilles,
destinée à remplacer tous les biens accumulés,
pendant des siècles d’efforts conscients et inconscients,
par leurs infortunés ancêtres.
– G. I. Gurdjieff




Avenir par la conscience

Bien que l’humain soit ingénieux,
ses entreprises finissent toujours dans le pire.

Dans son livre, G. I. Gurdjieff parle d’un Individu
ayant vécu au début de l’essor de Babylone,
qu’on pourrait considéré tel un prophète ou un messie,
un Être éveillé qui avait mis au point une approche accessible à tout le monde
permettant de développer l’être intérieur, la « conscience objective morale »,
ainsi que l’autonomie de penser et d’agir.

jeudi 13 juillet 2017

Pour le féminin

Si j’étais une femme (ce qui est absurde puisque j’y pense en mâle),
je comprendrais que, dans ce rêve d’homme (le monde des humains),
je n’aurai aucune chance de parvenir à vivre un rêve de femme,
c’est-à-dire d’être un jour pleinement épanouie et heureuse.

Esprits supérieurs

Les personnalités hors norme qui ont laissé une œuvre utile au monde,
les généreux Individus contemporains qui apparaissent importants,
dans le sens qu’ils se sont voués à transmettre le juste et essentiel,
les majeurs, selon moi et après des années de recul, sont :

mardi 11 juillet 2017

Aux esprits anéantisseurs (+18 ans)

Bande de salopards de putain de race maudite et cupide de leur infortunée mère,
chiens puant une odeur entre le putois et le cadavre,
requins d'eaux hautement toxiques, honte de l'humanité,
sbires de leur satané dieu-enfermé-dans-un-coffre-fort-tout-sécurisé-armé,
psychopathes réfugiés dans vos idées délirantes aussi brillantes que celles de mon cochon,
macaques à culs rouges, impuissants sexuels à bite aussi grosse
que la gomme de votre secrétaire/call girl qui n'a pas encore compris
qu'on ne suce pas la gomme sans risquer de l'avaler,
incapables de sentiment, ayant peur des élans des autres, bouh !,
déficients êtriques au psychisme aussi étriqué que le chat d'une aiguille à coudre,
âmes perverses terrifiant même les indifférents et blasés psychopompes,
agents de l'enfer que pourtant Belzébuth rejette et ignore
se lavant les mains de vos insanités de niveau cour d'école spécialisée,
néanmoins murement cruels, iniques, sadiques vous êtes devenus,
enculés par vos équations rentables, éviscérés par votre intelligence aussi artificielle
que vos discours pompeux et pompés, éborgnés par vos ignominies illimitées,
vos neurones vous fuient et vous êtes aussi créatifs qu'un rat handicapé mental profond,
moins sensibles qu'un microbe se prétendant être une sale mouche repue de merde fraîche,
tueurs d'innocence et de beauté, assassins du vivant, violeurs et voleurs de rêves,
d'espérance, de foi et d'amour, manipulateurs inconséquents jouissant
de la souffrance d'autrui en se masturbant le nombril,
une paille d'or pleine de coke à la main,

un verre de champ dans l'autre :
Hu hu hu, encôore, ma chère. Ils sont vivants les sans-dents ?
Et le peuple, l'a encaissé les nouvelles lois et la hausse du tabac ?
Et leurs putains d'gamins, c'est bon ? On peut enfin les vacciner
pour amplifier en eux les sensations de vide et de manque de Mère Culture ?
Ok... combien ? Hu hu hu, très chère, tu peux déjà commander ton yacht
.



Aahh, ça fait du bien de se soulager.

Je viens de lire un article sur Reporterre concernant les vaccins.
Je cite « la guerre est déclarée ».

Rappel : il fut un temps où les maladies et la mortalité infantile étaient importants.
Les vaccins furent inventés afin de combattre ces maladies.
Mais dorénavant,
on vaccine sans raison, notamment contre le cancer du colon,
car comme chacun le sait, un enfant de 1 jour à 5 ans (durée d'action du vaccin en question)
risque fort de souffrir d'un cancer du trou d'balle et plus si moyens,
et aussi d'aller se shooter et/ou de baiser avec un toxico irresponsable,
puisqu'on va le protéger aussi contre l'hépatite B, etc.

Et nous laissons faire...
trop occupés, préoccupés, par notre compte bancaire,
et les vacances, et le repas à préparer. Y a plus d'ail !

Constatez par vous-mêmes : depuis au moins deux ans (ou plus ?),
ils ne cessent de faire passer des lois et autres qui auraient fait réagir les français,
grèves, manifs, etc.,  s'il n'y avait eu de proclamé « l'état d'urgence ».
Je me dis que, si vraiment c'était un état d'urgence,
ces décisions qui pleuvent, elles attendraient, respectueusement,
que les choses se calment et reviennent à un fonctionnement normal...

À réfléchir...

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dimanche 9 juillet 2017

Être ou paître ?

Celui-qui-ne-fait-rien-de-sa-vie ne fait rien, ou presque, de sa vie
en réaction à Ceux-qui-mènent-une-vie-conforme.

Celui-qui-ne-fait-rien-de-sa-vie ne compte plus faire fonctionner la Machinerie
produisant la bulle d’abstraction dans laquelle nous croissons et mourrons.

vendredi 7 juillet 2017

Leurre d'art

Sur Internet émergent un nombre incroyable d’artistes en tous genres.
C’est comme si ce support virtuel avait désinhibé les artistes timides.
Depuis que je blogue, fin 2010, je découvre beaucoup de blogs
notamment de poètes, photographes, peintres, musiciens, etc.

Mais au fait, qu’est-ce que l’art, au juste ?
Est-ce que l'art a une fonction spécifique, un rôle ou autres ?

Comment se fait-il qu’un tableau de Van Gogh vaille énormément,
alors que le tableau que j’aime bien du voisin ne vaut pas un kopeck ?

jeudi 6 juillet 2017

Germe d'âme

Vers l’âge de 30 ans, je suis tombé par hasard sur le livre
de G. I. Gurdjieff, à la bibliothèque.
De lire le propos de cet auteur a secoué l’entièreté de ma personne,
voire même les gênes de mes éventuelles incarnations passées.

Je reviens sur et recopie la citation concernant l’âme :
Bienheureux celui qui a une âme ;
bienheureux, lui aussi, celui qui n’en a point,
mais malheur et désolation à quiconque n’en a que le germe.

mercredi 5 juillet 2017

De la tribu à la famille

Se pourrait-il que notre impulsion naturelle de vivre regroupé, en tribu par exemple,
ait été détournée sur la famille, ce que nous nommons « la famille nucléaire » ?

lundi 3 juillet 2017

Âme, efforts et souffrance volontaire

Le maître contemporain des empêcheurs-de-tourner-en-rond reste, pour moi, G. I. Gurdjieff*.
Paradoxalement, il se désignait lui-même par le titre de « maître de danse »,
sachant qu’il est question de danses des Sufis, consistant notamment à... tourner.
Caustique et plein d’humour paraissait être G. I. Gurdjieff-le-terriblement-clairvoyant.

samedi 1 juillet 2017

Ceux-qui-avancent

Tu me soutiens, je te soutiens – Je te soutiens, tu me soutiens…,
a écrit Daniel Quinn concernant l’état d’esprit des "primitifs".