La peur est la petite mort qui conduit à l'oblitération totale. La peur tue l'esprit.
J'affronte ma peur. Je lui permets de passer sur moi, au travers de moi.
Et lorsqu'elle sera passée, je tournerai mon œil intérieur sur son chemin.
Et là où elle sera passée, il n'y aura plus rien. Rien que moi.

vendredi 23 décembre 2022

Pauvres mauvais, bons riches, juste O. Norek

 
Il était une fois l’humain évoluant au sein d’un écosystème varié, complexe, riche, extraordinaire,
où tout y est interconnecté et interdépendant, où tout se nourrit de tout, où tout se recycle,
où tout se transforme et renaît…

Cependant, il se trouve que :
la volonté de domination de certains humains se propagea tel un mauvais virus sur la planète entière.
Et la civilisation des dominés commença.

Les dominants ‒ instruits et initiés ‒ gardèrent leurs découvertes psycho-scientifiques (connaissance
du fonctionnement de l’humain) et métaphysiques secrètes, ce qui permit, et permet encore,
d’assoir leur pouvoir qui s’est imposé, jusqu’ici, comme une évidence.

Une cruelle et perfide manipulation psychologique des populations, laissées volontairement ignorantes,
devint leur méthode. Pour des siècles et des siècles.
Âme-haine.

Et les ravages dans l’environnement naturel et nourricier furent.
Pour des siècles et des siècles.
Âme-haine.

 




Parmi les humains sont des êtres psychiquement malformés,
qui souffrent d’un sentiment de supériorité perturbant leurs fonctionnement et raisonnement.
Ces derniers se retrouvent déconnectés (psychose) du Réel Naturel et Vivant, de la santé,
du bon sens moral, du bien-être ensemble (interactions plaisantes et/ou constructives pour chacun),
des liens amicaux (liens affectifs désintéressés) et sociaux (solidarité, partage des biens), etc.

Le délirant et dangereux sentiment de supériorité, est-il contagieux ? Génétique ?

Ce genre d’humains « supérieurs », stagnant au stade reptilien de leur développement êtrique (de l’être,
de l’âme), estime avoir droit à davantage et mieux que les autres : de nourritures, de possessions, de confort,
de privilèges, des esclaves pour leurs tâches jugées ingrates, et de la sécurité pour leurs biens accumulés.
Le sentiment de supériorité stimule un besoin secondaire primitif (lié à la peur non-contrôlée, phobique),
fortement addictif et aliénant, de domination :
ces personnes veulent imposer aux autres leurs idées, jugements, valeurs, caprices, lubies et desiderata.
Pour elles, les autres sont considérés comme : soit des inutiles et des ennemis à abattre,
soit des esclaves et des soldats-chiens.

Leur sentiment dément de supériorité se nourrit de leur cupidité égotique : ils veulent tout prendre, posséder.

Leurs cœurs emmurés, les « supérieurs » ne ressentent que peur de perdre et d’être volé, paranoïa, haine,
ressentiment et susceptibilité ; aussi, leurs pensées ne calculent que des plans d’attaque et de vengeance,
ainsi que des stratégies en vue de glorieuses réussites à obtenir en écrasant les autres (« le bonheur des uns
fait le malheur des autres 
», se répètent-ils) et, au besoin, la fin justifiant les moyens,
en ruinant ou ordonnant de tuer leurs adversaires et détracteurs
ainsi que les chercheurs de vérité (ou complotistes, conspirationnistes, selon les médias à leur solde).
Rappelons que, basiquement et puérilement (leurs âges mentaux ne devant guère dépasser les 18 ans) :
pour parvenir à se sentir supérieur, il suffit de désigner et considérer les autres comme étant inférieurs à soi.
Reste plus, ensuite, qu’à argumenter notamment en dévalorisant, humiliant, diffamant les autres,
ce qui aide, moralement et pour la culpabilité, à les mépriser
et à se convaincre qu’ils ne méritent rien d’autre que le mauvais traitement reçu.

Il est question, en ce monde des humains, d’une incessante attaque perfide et malveillante
menée par les richissimes voulant « civiliser » les autres humains selon leurs idées "brillantes"
de ce qui est bien (pour eux) et mal (contre leurs intérêts).
En plus de maltraiter et manipuler le peuple (les autres humains), ils s’en prennent également
aux autres formes de vie, animaux, forêts, microbes, etc. Ils s’en prennent même à Dieu !
Depuis Mathusalem, les riches ne cessent de conspirer, en secret, contre le peuple en état de fascination ;
en effet, la plupart d’entre nous paraissent subjugués par leurs discours à promesses délirantes
ainsi que par leurs constructions écocides réfléchissant leurs egos démesurés.

Guerre intemporelle déclarée par « ceux-qui-prennent » contre les autres :
c’est-à-dire nous qui nous sommes laissés, et nous laissons encore, posséder et décider à notre place,
avec notre consentement, sous prétexte que…, blablablas, « demain sera mieux, fort PIB,
nous savons mieux que vous ce dont vous avez besoin et comment vous devez vous comporter. »

Je me demande comment leur esprit dément envisage de vivre dans un monde mort ?

 


Le bien et le mal, comme les lois, les institutions sociales et religieuses, ont été pensés
et édictés par… eux, les « supérieurs » auto-proclamés qui modifient les repères sociaux moraux
et culturels à leur convenance au point que, de nos jours, on ne sait plus qui, que et quoi croire :
la réalité des faits ou les mensonges incessamment proclamés par les médias à la solde des « élites » ?

Qu’est le mal, qu’est le bien ?

Qui est bon, brave (ou philanthrope), et qui est pervers (ou conspirationniste ?

La violence psychique n’est ni reconnue socialement ni punie pénalement.
Pour quelles raisons ?

Des fraudeurs et assassins économiques et écologiques à la solde des « élites » sévissent en toute impunité,
ce qui tue des millions de gens et cause des maladies, de la déchéance, des suicides, de la violence.
Des scientistes et assassins « sanitaires » à la solde des « élites » sévissent en toute impunité,
nous rendant la vie impossible, sur génocide en cours,
ce qui ne fait que renforcer nos sentiments de danger, d’injustice, d’immoralité et d’impuissance.
Burp

 



Que font et à quoi servent les institutions judiciaires en vrai, concrètement ?

- (…), c’est sur la naissance de la Justice que je veux revenir.
Comme la liberté d’opinion, la défense est un droit fondamental pour l’Homme.
Si je reçois un coup, je tiens à en rendre un, cela semble raisonnable.
Mais certains, moins mesurés, ont voulu en rendre davantage.
La défense devenait alors irrégulière, différente pour chacun de nous.
Aussi, pour éviter le chaos de la loi du plus fort, il fallait un barème identique pour tous :
le code pénal. (…)
Ce n’est que certain que cette Justice serait la même pour tous
que l’Homme a accepté de confier à une institution le choix et l’application de la peine.
Mais si la Justice venait à s’enrayer ?
Si la Justice venait à s’encrasser comme un vieux moteur, à ne plus réparer,
à ne plus sanctionner ? Ne devrions-nous pas reprendre possession de ce droit fondamental ?
Ne devrions-nous pas nous défendre ?
(…)
- Les plus riches entreprises sont les plus polluantes.
Et même si elles ont l’obligation de rendre compte de leur bilan carbone,
personne ne les oblige à le baisser.
Nous survivons dans un monde de financiers où les 1 % les plus riches détiennent
deux fois plus que tout le reste de l’humanité, mais où 100 % de la population subit leur pollution.
Nous survivons dans une Europe où mille milliards d’euros par an disparaissent en évasion fiscale,
et même si vous vouliez poursuivre ces fraudeurs,
les maigres moyens que vous octroie l’État sont inadaptés.
- Vous vous égarez, maître, s’offusqua le président. La Justice est indépendante,
dois-je vous le rappeler ?
- En êtes-vous si sûr ? Depuis plus de dix ans, aucun outil mis en place par l’État
pour poursuivre ces fraudeurs n’a réussi à récupérer plus de 2 % des sommes de l’évasion fiscale.
Considérez-vous une action inefficace à 98 % comme satisfaisante ?
(…)
- Il est inquiétant de constater la gêne de cette cour lorsque l’on prétend attaquer l’État. (…)
Les ministres et nos présidents, ceux d’hier, d’aujourd’hui et de demain, sont, sans offense aucune,
de simples employés. En l’élisant, nous engageons le chef de l’État, mais aussi son équipe.
Nous payons leurs salaires confortables, leurs voitures, leurs chauffeurs, leurs agents de sécurité,
leurs téléphones, leurs ordinateurs, leurs déplacements, leurs avions, leurs locaux professionnels,
leurs secrétaires, leurs attachés, leurs repas, leurs défraiements, et j’en passe autant qu’il en reste.
Nous leur avons donné le pouvoir et les moyens de nous représenter et de nous protéger, (…)
Pendant longtemps nous avons cru que tous nos problèmes pouvaient être résolus
par un gouvernement. Nous ne regardions pas, nous faisions confiance,
comme des enfants s’endorment à l’arrière de la voiture de leurs parents,
bercés par la certitude d’être en sécurité, même à tombeau ouvert.
(…)
Puisque 80 % des richesses sont issues des énergies fossiles,
l’économie et l’écologie sont étroitement liées.
(…)
Puis il y a eu le grand test, poursuivit l’avocat. Celui à l’échelle du monde.
Le jour où, enfin, nous allions savoir qui, de l’homme ou de l’argent, serait épargné.
La planète toute entière a été profondément déstabilisée par un virus microscopique.
La Terre s’est confinée, la finance a plongé et notre modèle économique a prouvé ses limites. (…)
Quels ont été leurs réflexes premiers ?
En pleine pandémie, alors que nous enterrions encore nos proches,
les dirigeants de l’AFEP (lobby avec les patrons du Cac 40 et autres grandes entreprises :
Association Française des Entreprises Privées) ont osé demander le report des régulations
de gaz à effet de serre. Ils ont aussi demandé le droit de créer plus de déchets,
de moins recycler et ‒ pourquoi s’arrêter là ? ‒ ils ont sollicité une diminution de la taxe carbone,
reléguant aux oubliettes le concept de pollueur payeur.
La filière automobile a même proposé de revoir les normes liées à la qualité de l’air,
se plaignant qu’elles étaient trop contraignantes.
Et si nous pensions que le niveau maximal de mépris était atteint, ils ont sollicité, sans gêne,
un report de certaines lois fiscales,
afin tout simplement de leur permettre de s’évader en toute tranquillité.
La décence mise de côté et en résumé,
ils ont demandé la permission de polluer plus, sans en supporter le coût,
tout en payant moins d’impôts que les autres et en ayant le droit de cacher leurs fortunes.
Et, servile, notre pays n’a pas hésité à prêter vingt et un milliards d’euros
au secteur des énergies fossiles. (…)
Ainsi, avec les efforts de chacun pour que rien ne change,
le « Monde d’Après » était condamné avant même d’avoir vu le jour.
(…)
Je vous ai déjà démontré que les lois étaient creuses, inefficaces
et qu’elles n’osaient que proposer sans obliger.
(…)
- Dans ce cas cessons tout !
Les lois et les tribunaux, l’ordre et les prisons ont-ils jamais empêché le crime ?
Pourtant, personne ne remet en cause leur existence.
Alors ne devons-nous pas punir les écocides même si cela semble ne rien changer ?
Si on prend chaque termite séparément, aucun d’eux n’est responsable de l’effondrement
de toute une maison. Et si je vous suis, puisque nous sommes face à un ennemi tentaculaire,
nous n’aurions qu’à abandonner ? 

‒ Olivier Norek, roman Impact.



IA sait ce dont un humain a besoin. C’est-à-dire que IA sait ce que "eux" savent.
C’est…, euh…, rassurant de s’en référer à l’IA, n’est-ce pas ?
IA calcule 24H/24 ce que les programmeurs souhaitent obtenir comme résultat.
Et pour qui travaillent les programmeurs ?

 




Pendant ce temps, les comploteurs « supérieurs » agendent la suite des évènements,
pour après 2030, une fois que tout et tous, nous serons sous leur contrôle, 24H/24.

« Vous n’aurez plus rien, et vous serez heureux », a écrit Klausi Schwab, né philanthrope.

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mardi 13 décembre 2022

Entraves à l'action (II)

 
Ne pas vouloir perdre, ne pas vouloir donner ni partager une part de quelque chose,
ne pas vouloir être (davantage) malade ou encore, d’avoir peur de l’échec, de déplaire,
de perdre le contrôle, de se retrouver ruiné à devoir mendier, etc.,
ces craintes (avivées par les assurances !) réfléchissent notre peur de la mort
(peur de ne plus exister aux yeux de l’autre, par exemple) ; plus précisément,
cette attitude réfléchit notre représentation (idée subjective) faussée concernant la mort et donc, la vie.


La mort, c’est laisser partir, c’est donner à autrui, c’est laisser le surplus ;
c’est aussi laisser faire (d’une autre façon que l’on aurait procédé soi-même),
c’est encore, et surtout, donner sans attente de retour ni intérêt financier ou égotique ou sexuel,
c’est choisir une direction ou une option au détriment des autres possibilités,
possibilités qu’il va falloir laisser… mourir (dans notre esprit).

Laisser mourir consiste à rester détaché (affectivement, psychiquement) du vain et superflu,
c’est-à-dire qu’il faut éviter les relations addictives, rendant dépendant ;
que ce soit les relations aux autres comme les relations aux choses, nourritures, théories et monnaies.
Par exemple : accumuler des biens est motivé par un élan malsain chevauchant une peur irrationnelle,
puisque l’environnement naturel et nourricier nous offre ce dont nous avons besoin.
Dès lors, quel est ce besoin d’accumuler et de se charger inutilement d’affaires que, de toute façon,
un jour ou l’autre, on devra lâcher et, qui plus est, pèsent lourd sur nos épaules ?


Accepter le processus du vivant (naissance-développement-flétrissement) permet de rester léger
et clair en un esprit libéré d’entraves. Dans ces conditions, on ose agir
car on n’a plus peur de perdre ni de mourir.

Pour parvenir à agir, au préalable il faut réagir,
se secouer entièrement (corps, affects et pensées),
en respirant profondément,
en récapitulant (où en suis-je, et qu’est-ce qui se passe dans le monde des humains),
en se rappelant (à soi-même, aux priorités, à sa responsabilité, à ce qui nous est essentiel),
et en mobilisant son discernement afin de procéder à un tri pour pouvoir refuser ce qui doit l’être,
pour oser dire NON lorsque nécessaire et ce, même face à des cadres de la hiérarchie.


De retenir, garder (en prévision de), accumuler, tout cela ne sert qu’à nourrir un faux sentiment
de puissance et de sécurité. C’est l’astuce démoniaque : nous faire croire que plus on possède de biens
plus on est à l’abri du besoin,
ce qui est absolument faux puisque plus on possède de choses, plus l’on s’est créé en parallèle
des besoins (secondaires) nous rendant anxieux (peur de perdre ou d’être volé) et dépendants
(addictions psychiques à nos avoirs
. Nos biens finissant pour posséder nos esprits, nous en devenons
les gardiens paranoïaques et dépressifs, un verre d’alcool en main, le smartphone dans l’autre,
des médocs en poche, en affichant un air suffisant).
 



La peur irrationnelle de la mort (on ne devrait pas y penser) me semble être un exemple explicite
et concret du mauvais aspect de notre capacité d’abstraction
puisque ce délire morbide (de penser à la mort) ne repose que sur des idées et des peurs entretenues ;
en effet, qui peut savoir quand, à quel moment et de quoi il va mourir (physiquement) ?

Ce n’est pas normal de penser à la mort et de s’assurer contre les maladies et éventuels accidents.
Saisissez-vous l’entrave psychique ? En cernez-vous les contours ?
Voilà ce qui nous empêche et de réagir et d’agir face à l’ignominie voulue par les « élites ».
Ce rapport à la vie est débile, malsain, uniquement raisonné par des investisseurs et des commerçants.
Le marché. Business. Bourses. PIB. Produire et consommer. Voilà les valeurs du Système.
La part humaine, morale, spirituelle, n’y a plus sa place,
dans ce Système devenant de plus en plus terrifiant.

Comprendre que, demain, ou après-demain, il peut y avoir une comète qui se crashe sur Terre
ou des cataclysmes ou un gros tremblement de terre ou un changement radical de régime
socio-politique (avec d’autres lois et modes de fonctionnement genre « great reset ») ou autres.
Au niveau sécurité, tout ce que nous pouvons faire c’est prévoir, économiser,
pour traverser l’hiver (si on vit dans le Nord), par exemple.
Rien ni aucune institution sociale ne peut garantir quoi que ce soit de plus.


L’unique chose qui peut procurer le sentiment de sécurité consiste à se sentir en phase avec soi-même,
aligné avec le vivant (l’univers, la Nature, les autres formes de vie…),
en paix avec sa conscience, à l’écoute de soi (ressenti, impressions et intuitions), d’instant en instant,
en partageant de son quotidien avec d’autres personnes pour s’organiser un mode de vie confortable
où chacun peut y apporter ses spécificités, ses talents,
afin de s’organiser un mode de vie qualitatif, par tribus, clans, grandes familles,
ce qui amène à se passer d’un Système pensé par des prédateurs égotiques, insatiables, cruels, déments.

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mercredi 7 décembre 2022

Calcul vs vie

 

Une pensée amicale à J-B

 

Pour ceux/celles victimes d'une propagande démoniaque, évoluant en plein déni,
charmés par les promesses de l'IA (Infernale Artificialité) :

« Calculez, y a rien à voir »

‒ exprimé par Jean-Pierre Petit


Calculez, y a rien à voir.

Vivez, y a rien à calculer.