La peur est la petite mort qui conduit à l'oblitération totale. La peur tue l'esprit.
J'affronte ma peur. Je lui permets de passer sur moi, au travers de moi.
Et lorsqu'elle sera passée, je tournerai mon œil intérieur sur son chemin.
Et là où elle sera passée, il n'y aura plus rien. Rien que moi.

vendredi 23 décembre 2022

Pauvres mauvais, bons riches, juste O. Norek

 
Il était une fois l’humain évoluant au sein d’un écosystème varié, complexe, riche, extraordinaire,
où tout y est interconnecté et interdépendant, où tout se nourrit de tout, où tout se recycle,
où tout se transforme et renaît…

Cependant, il se trouve que :
la volonté de domination de certains humains se propagea tel un mauvais virus sur la planète entière.
Et la civilisation des dominés commença.

Les dominants ‒ instruits et initiés ‒ gardèrent leurs découvertes psycho-scientifiques (connaissance
du fonctionnement de l’humain) et métaphysiques secrètes, ce qui permit, et permet encore,
d’assoir leur pouvoir qui s’est imposé, jusqu’ici, comme une évidence.

Une cruelle et perfide manipulation psychologique des populations, laissées volontairement ignorantes,
devint leur méthode. Pour des siècles et des siècles.
Âme-haine.

Et les ravages dans l’environnement naturel et nourricier furent.
Pour des siècles et des siècles.
Âme-haine.

 




Parmi les humains sont des êtres psychiquement malformés,
qui souffrent d’un sentiment de supériorité perturbant leurs fonctionnement et raisonnement.
Ces derniers se retrouvent déconnectés (psychose) du Réel Naturel et Vivant, de la santé,
du bon sens moral, du bien-être ensemble (interactions plaisantes et/ou constructives pour chacun),
des liens amicaux (liens affectifs désintéressés) et sociaux (solidarité, partage des biens), etc.

Le délirant et dangereux sentiment de supériorité, est-il contagieux ? Génétique ?

Ce genre d’humains « supérieurs », stagnant au stade reptilien de leur développement êtrique (de l’être,
de l’âme), estime avoir droit à davantage et mieux que les autres : de nourritures, de possessions, de confort,
de privilèges, des esclaves pour leurs tâches jugées ingrates, et de la sécurité pour leurs biens accumulés.
Le sentiment de supériorité stimule un besoin secondaire primitif (lié à la peur non-contrôlée, phobique),
fortement addictif et aliénant, de domination :
ces personnes veulent imposer aux autres leurs idées, jugements, valeurs, caprices, lubies et desiderata.
Pour elles, les autres sont considérés comme : soit des inutiles et des ennemis à abattre,
soit des esclaves et des soldats-chiens.

Leur sentiment dément de supériorité se nourrit de leur cupidité égotique : ils veulent tout prendre, posséder.

Leurs cœurs emmurés, les « supérieurs » ne ressentent que peur de perdre et d’être volé, paranoïa, haine,
ressentiment et susceptibilité ; aussi, leurs pensées ne calculent que des plans d’attaque et de vengeance,
ainsi que des stratégies en vue de glorieuses réussites à obtenir en écrasant les autres (« le bonheur des uns
fait le malheur des autres 
», se répètent-ils) et, au besoin, la fin justifiant les moyens,
en ruinant ou ordonnant de tuer leurs adversaires et détracteurs
ainsi que les chercheurs de vérité (ou complotistes, conspirationnistes, selon les médias à leur solde).
Rappelons que, basiquement et puérilement (leurs âges mentaux ne devant guère dépasser les 18 ans) :
pour parvenir à se sentir supérieur, il suffit de désigner et considérer les autres comme étant inférieurs à soi.
Reste plus, ensuite, qu’à argumenter notamment en dévalorisant, humiliant, diffamant les autres,
ce qui aide, moralement et pour la culpabilité, à les mépriser
et à se convaincre qu’ils ne méritent rien d’autre que le mauvais traitement reçu.

Il est question, en ce monde des humains, d’une incessante attaque perfide et malveillante
menée par les richissimes voulant « civiliser » les autres humains selon leurs idées "brillantes"
de ce qui est bien (pour eux) et mal (contre leurs intérêts).
En plus de maltraiter et manipuler le peuple (les autres humains), ils s’en prennent également
aux autres formes de vie, animaux, forêts, microbes, etc. Ils s’en prennent même à Dieu !
Depuis Mathusalem, les riches ne cessent de conspirer, en secret, contre le peuple en état de fascination ;
en effet, la plupart d’entre nous paraissent subjugués par leurs discours à promesses délirantes
ainsi que par leurs constructions écocides réfléchissant leurs egos démesurés.

Guerre intemporelle déclarée par « ceux-qui-prennent » contre les autres :
c’est-à-dire nous qui nous sommes laissés, et nous laissons encore, posséder et décider à notre place,
avec notre consentement, sous prétexte que…, blablablas, « demain sera mieux, fort PIB,
nous savons mieux que vous ce dont vous avez besoin et comment vous devez vous comporter. »

Je me demande comment leur esprit dément envisage de vivre dans un monde mort ?

 


Le bien et le mal, comme les lois, les institutions sociales et religieuses, ont été pensés
et édictés par… eux, les « supérieurs » auto-proclamés qui modifient les repères sociaux moraux
et culturels à leur convenance au point que, de nos jours, on ne sait plus qui, que et quoi croire :
la réalité des faits ou les mensonges incessamment proclamés par les médias à la solde des « élites » ?

Qu’est le mal, qu’est le bien ?

Qui est bon, brave (ou philanthrope), et qui est pervers (ou conspirationniste ?

La violence psychique n’est ni reconnue socialement ni punie pénalement.
Pour quelles raisons ?

Des fraudeurs et assassins économiques et écologiques à la solde des « élites » sévissent en toute impunité,
ce qui tue des millions de gens et cause des maladies, de la déchéance, des suicides, de la violence.
Des scientistes et assassins « sanitaires » à la solde des « élites » sévissent en toute impunité,
nous rendant la vie impossible, sur génocide en cours,
ce qui ne fait que renforcer nos sentiments de danger, d’injustice, d’immoralité et d’impuissance.
Burp

 



Que font et à quoi servent les institutions judiciaires en vrai, concrètement ?

- (…), c’est sur la naissance de la Justice que je veux revenir.
Comme la liberté d’opinion, la défense est un droit fondamental pour l’Homme.
Si je reçois un coup, je tiens à en rendre un, cela semble raisonnable.
Mais certains, moins mesurés, ont voulu en rendre davantage.
La défense devenait alors irrégulière, différente pour chacun de nous.
Aussi, pour éviter le chaos de la loi du plus fort, il fallait un barème identique pour tous :
le code pénal. (…)
Ce n’est que certain que cette Justice serait la même pour tous
que l’Homme a accepté de confier à une institution le choix et l’application de la peine.
Mais si la Justice venait à s’enrayer ?
Si la Justice venait à s’encrasser comme un vieux moteur, à ne plus réparer,
à ne plus sanctionner ? Ne devrions-nous pas reprendre possession de ce droit fondamental ?
Ne devrions-nous pas nous défendre ?
(…)
- Les plus riches entreprises sont les plus polluantes.
Et même si elles ont l’obligation de rendre compte de leur bilan carbone,
personne ne les oblige à le baisser.
Nous survivons dans un monde de financiers où les 1 % les plus riches détiennent
deux fois plus que tout le reste de l’humanité, mais où 100 % de la population subit leur pollution.
Nous survivons dans une Europe où mille milliards d’euros par an disparaissent en évasion fiscale,
et même si vous vouliez poursuivre ces fraudeurs,
les maigres moyens que vous octroie l’État sont inadaptés.
- Vous vous égarez, maître, s’offusqua le président. La Justice est indépendante,
dois-je vous le rappeler ?
- En êtes-vous si sûr ? Depuis plus de dix ans, aucun outil mis en place par l’État
pour poursuivre ces fraudeurs n’a réussi à récupérer plus de 2 % des sommes de l’évasion fiscale.
Considérez-vous une action inefficace à 98 % comme satisfaisante ?
(…)
- Il est inquiétant de constater la gêne de cette cour lorsque l’on prétend attaquer l’État. (…)
Les ministres et nos présidents, ceux d’hier, d’aujourd’hui et de demain, sont, sans offense aucune,
de simples employés. En l’élisant, nous engageons le chef de l’État, mais aussi son équipe.
Nous payons leurs salaires confortables, leurs voitures, leurs chauffeurs, leurs agents de sécurité,
leurs téléphones, leurs ordinateurs, leurs déplacements, leurs avions, leurs locaux professionnels,
leurs secrétaires, leurs attachés, leurs repas, leurs défraiements, et j’en passe autant qu’il en reste.
Nous leur avons donné le pouvoir et les moyens de nous représenter et de nous protéger, (…)
Pendant longtemps nous avons cru que tous nos problèmes pouvaient être résolus
par un gouvernement. Nous ne regardions pas, nous faisions confiance,
comme des enfants s’endorment à l’arrière de la voiture de leurs parents,
bercés par la certitude d’être en sécurité, même à tombeau ouvert.
(…)
Puisque 80 % des richesses sont issues des énergies fossiles,
l’économie et l’écologie sont étroitement liées.
(…)
Puis il y a eu le grand test, poursuivit l’avocat. Celui à l’échelle du monde.
Le jour où, enfin, nous allions savoir qui, de l’homme ou de l’argent, serait épargné.
La planète toute entière a été profondément déstabilisée par un virus microscopique.
La Terre s’est confinée, la finance a plongé et notre modèle économique a prouvé ses limites. (…)
Quels ont été leurs réflexes premiers ?
En pleine pandémie, alors que nous enterrions encore nos proches,
les dirigeants de l’AFEP (lobby avec les patrons du Cac 40 et autres grandes entreprises :
Association Française des Entreprises Privées) ont osé demander le report des régulations
de gaz à effet de serre. Ils ont aussi demandé le droit de créer plus de déchets,
de moins recycler et ‒ pourquoi s’arrêter là ? ‒ ils ont sollicité une diminution de la taxe carbone,
reléguant aux oubliettes le concept de pollueur payeur.
La filière automobile a même proposé de revoir les normes liées à la qualité de l’air,
se plaignant qu’elles étaient trop contraignantes.
Et si nous pensions que le niveau maximal de mépris était atteint, ils ont sollicité, sans gêne,
un report de certaines lois fiscales,
afin tout simplement de leur permettre de s’évader en toute tranquillité.
La décence mise de côté et en résumé,
ils ont demandé la permission de polluer plus, sans en supporter le coût,
tout en payant moins d’impôts que les autres et en ayant le droit de cacher leurs fortunes.
Et, servile, notre pays n’a pas hésité à prêter vingt et un milliards d’euros
au secteur des énergies fossiles. (…)
Ainsi, avec les efforts de chacun pour que rien ne change,
le « Monde d’Après » était condamné avant même d’avoir vu le jour.
(…)
Je vous ai déjà démontré que les lois étaient creuses, inefficaces
et qu’elles n’osaient que proposer sans obliger.
(…)
- Dans ce cas cessons tout !
Les lois et les tribunaux, l’ordre et les prisons ont-ils jamais empêché le crime ?
Pourtant, personne ne remet en cause leur existence.
Alors ne devons-nous pas punir les écocides même si cela semble ne rien changer ?
Si on prend chaque termite séparément, aucun d’eux n’est responsable de l’effondrement
de toute une maison. Et si je vous suis, puisque nous sommes face à un ennemi tentaculaire,
nous n’aurions qu’à abandonner ? 

‒ Olivier Norek, roman Impact.



IA sait ce dont un humain a besoin. C’est-à-dire que IA sait ce que "eux" savent.
C’est…, euh…, rassurant de s’en référer à l’IA, n’est-ce pas ?
IA calcule 24H/24 ce que les programmeurs souhaitent obtenir comme résultat.
Et pour qui travaillent les programmeurs ?

 




Pendant ce temps, les comploteurs « supérieurs » agendent la suite des évènements,
pour après 2030, une fois que tout et tous, nous serons sous leur contrôle, 24H/24.

« Vous n’aurez plus rien, et vous serez heureux », a écrit Klausi Schwab, né philanthrope.

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mardi 13 décembre 2022

Entraves à l'action (II)

 
Ne pas vouloir perdre, ne pas vouloir donner ni partager une part de quelque chose,
ne pas vouloir être (davantage) malade ou encore, d’avoir peur de l’échec, de déplaire,
de perdre le contrôle, de se retrouver ruiné à devoir mendier, etc.,
ces craintes (avivées par les assurances !) réfléchissent notre peur de la mort
(peur de ne plus exister aux yeux de l’autre, par exemple) ; plus précisément,
cette attitude réfléchit notre représentation (idée subjective) faussée concernant la mort et donc, la vie.


La mort, c’est laisser partir, c’est donner à autrui, c’est laisser le surplus ;
c’est aussi laisser faire (d’une autre façon que l’on aurait procédé soi-même),
c’est encore, et surtout, donner sans attente de retour ni intérêt financier ou égotique ou sexuel,
c’est choisir une direction ou une option au détriment des autres possibilités,
possibilités qu’il va falloir laisser… mourir (dans notre esprit).

Laisser mourir consiste à rester détaché (affectivement, psychiquement) du vain et superflu,
c’est-à-dire qu’il faut éviter les relations addictives, rendant dépendant ;
que ce soit les relations aux autres comme les relations aux choses, nourritures, théories et monnaies.
Par exemple : accumuler des biens est motivé par un élan malsain chevauchant une peur irrationnelle,
puisque l’environnement naturel et nourricier nous offre ce dont nous avons besoin.
Dès lors, quel est ce besoin d’accumuler et de se charger inutilement d’affaires que, de toute façon,
un jour ou l’autre, on devra lâcher et, qui plus est, pèsent lourd sur nos épaules ?


Accepter le processus du vivant (naissance-développement-flétrissement) permet de rester léger
et clair en un esprit libéré d’entraves. Dans ces conditions, on ose agir
car on n’a plus peur de perdre ni de mourir.

Pour parvenir à agir, au préalable il faut réagir,
se secouer entièrement (corps, affects et pensées),
en respirant profondément,
en récapitulant (où en suis-je, et qu’est-ce qui se passe dans le monde des humains),
en se rappelant (à soi-même, aux priorités, à sa responsabilité, à ce qui nous est essentiel),
et en mobilisant son discernement afin de procéder à un tri pour pouvoir refuser ce qui doit l’être,
pour oser dire NON lorsque nécessaire et ce, même face à des cadres de la hiérarchie.


De retenir, garder (en prévision de), accumuler, tout cela ne sert qu’à nourrir un faux sentiment
de puissance et de sécurité. C’est l’astuce démoniaque : nous faire croire que plus on possède de biens
plus on est à l’abri du besoin,
ce qui est absolument faux puisque plus on possède de choses, plus l’on s’est créé en parallèle
des besoins (secondaires) nous rendant anxieux (peur de perdre ou d’être volé) et dépendants
(addictions psychiques à nos avoirs
. Nos biens finissant pour posséder nos esprits, nous en devenons
les gardiens paranoïaques et dépressifs, un verre d’alcool en main, le smartphone dans l’autre,
des médocs en poche, en affichant un air suffisant).
 



La peur irrationnelle de la mort (on ne devrait pas y penser) me semble être un exemple explicite
et concret du mauvais aspect de notre capacité d’abstraction
puisque ce délire morbide (de penser à la mort) ne repose que sur des idées et des peurs entretenues ;
en effet, qui peut savoir quand, à quel moment et de quoi il va mourir (physiquement) ?

Ce n’est pas normal de penser à la mort et de s’assurer contre les maladies et éventuels accidents.
Saisissez-vous l’entrave psychique ? En cernez-vous les contours ?
Voilà ce qui nous empêche et de réagir et d’agir face à l’ignominie voulue par les « élites ».
Ce rapport à la vie est débile, malsain, uniquement raisonné par des investisseurs et des commerçants.
Le marché. Business. Bourses. PIB. Produire et consommer. Voilà les valeurs du Système.
La part humaine, morale, spirituelle, n’y a plus sa place,
dans ce Système devenant de plus en plus terrifiant.

Comprendre que, demain, ou après-demain, il peut y avoir une comète qui se crashe sur Terre
ou des cataclysmes ou un gros tremblement de terre ou un changement radical de régime
socio-politique (avec d’autres lois et modes de fonctionnement genre « great reset ») ou autres.
Au niveau sécurité, tout ce que nous pouvons faire c’est prévoir, économiser,
pour traverser l’hiver (si on vit dans le Nord), par exemple.
Rien ni aucune institution sociale ne peut garantir quoi que ce soit de plus.


L’unique chose qui peut procurer le sentiment de sécurité consiste à se sentir en phase avec soi-même,
aligné avec le vivant (l’univers, la Nature, les autres formes de vie…),
en paix avec sa conscience, à l’écoute de soi (ressenti, impressions et intuitions), d’instant en instant,
en partageant de son quotidien avec d’autres personnes pour s’organiser un mode de vie confortable
où chacun peut y apporter ses spécificités, ses talents,
afin de s’organiser un mode de vie qualitatif, par tribus, clans, grandes familles,
ce qui amène à se passer d’un Système pensé par des prédateurs égotiques, insatiables, cruels, déments.

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mercredi 7 décembre 2022

Calcul vs vie

 

Une pensée amicale à J-B

 

Pour ceux/celles victimes d'une propagande démoniaque, évoluant en plein déni,
charmés par les promesses de l'IA (Infernale Artificialité) :

« Calculez, y a rien à voir »

‒ exprimé par Jean-Pierre Petit


Calculez, y a rien à voir.

Vivez, y a rien à calculer.




jeudi 24 novembre 2022

Entraves à l'action (I)

 

Notre rapport faussé à la vie/mort inhibe nos élan et capacité d’action.


 

Un instant de recueillement


En ce moment même, des millions de personnes meurent des suites d’une injection expérimentale,
sans parler des centaines de millions d’autres gens rendus malades par ces injections d’adresses MAC.
Ce génocide planétaire banalisé (!), rationalisé, doit rapporter gros aux « élites » qui,
en plus, sont en train de nous stériliser et de nous "technologiser",
en n’hésitant nullement à provoquer des situations de chocs émotionnels qui traumatisent
de nombreuses personnes et, pire que tout, la plupart des enfants et adolescents.
Une expérience scientiste menée à ciel ouvert à but de fusionner la machineIA à l’être humain !
Mais, mais, mais, nous en a-t-on informé au préalable ?
Nous a-t-on demandé notre avis, puis notre accord ?
Les États terroristes, avec l’OMS et l’ONU, ont préféré déclencher une soi-disant pandémie
répandue par les médias, ce qui a permis ces inoculations expérimentales, sous prétexte de santé ! … ?
Est-ce possible un tel scénario cauchemardesque ?
Est-ce un signe d’avancement, de progrès humain ‒ sensé, éthique, scientifique,
intelligent, sage, spirituel, normal ‒, d’agir de la sorte ?

?
Et on laisse faire ? Comme si de rien, ♪ tout va très bien, Madame la Marquise...♫
On continue notre train-train quotidien, un smartphone à la main, un masque dans la poche.
Qu’y faire, vu que la plupart ne s’oppose pas à cette horreur en cours ?
Prier pour les âmes tuées, en se répétant que ce n’est pas de ma faute ?
Pour moi, pour le moment, ça va, alors ce qui se passe à côté…

Cette situation de faits, manipulés, avec ce qui en résulte (foi inconditionnelle en la médecine et l’OMS,
docilité aveugle, confusion dans les esprits, renversement des valeurs et glorification de vices égotiques, etc.)
démontre clairement que notre relation à la vie/mort et donc, à la santé, est mortifère.
Notre relation aux experts, médecins, assureurs, banquiers, scientistes-showmen, animateurs de TV,
est des plus malsaines puisque la plupart d’entre nous se fient à leurs dires et avis
sans faire preuve de recul ni esprit critique, sans réfléchir, sans se poser de questions
alors que les contradictions et non-sens sont pourtant si flagrants, indéniables.
Nous avons été réduits à n’être, tous, que des cobayes et rats de laboratoire, ou des chiens obéissants,
rendus malades et devenus les proies de microbes soudain et inexplicablement malintentionnés.
Sans parler du CO2  : encore des contraintes et une taxe découlant d’une théorie contestée
qui ne peut pas être vérifiée par le commun des mortels (comme la théorie des méchants virus).

Ce narratif officiel absurde me semble du niveau de celui du Père Noël,
devenu Père Fouettard "is watching you" pour notre bien et notre sécurité à tous.

Prendre la mesure : tout ce qui est déclenché, volontairement, depuis mars 2020,
nous empêche d’agir, pire, de vivre.
Trop pris par ces horribles événements de torture psychologique infligée volontairement,
nous ne parvenons même pas à réagir !

On se secoue,
maintenant,
de suite,
et on se défend (défendre ses droits naturels, sa liberté d’être sans importuner autrui, ses enfants,
son droit de se soigner comme on le souhaite, de ne pas être d’accord, etc.)


dimanche 20 novembre 2022

Êtres biotechnologiques en ruche

 
Un roman permet de se faire une idée au sujet de l’occulté par l’Agenda 2030,
c’est-à-dire au sujet des véritables intentions et plan secrets des « élites » philanthropathes*.
Ce roman s’intitule La Ruche d’Hellstrom, de Frank Herbert, 1972.

Il y a vingt ou trente ans, j’aurais considéré ce roman comme de la science-fiction,
le roman le plus inquiétant de l’auteur  selon Gérard Klein,
mais aujourd’hui, novembre 2022, j’ai comme l’impression que F. Herbert a vu  l’avenir,
peut-être au courant qu’il était du Plan des mondialistes (il fut journaliste) ?
Notons que le début des années 1970 correspond à l’ouverture du WEF de Klausi Schwab.
Quelques extraits ne suffiront pas à saisir l’ambiance du roman
ni ce que F. Herbert met en avant, dénonce peut-être ?


La Ruche est le nom d’une ferme tenue par une communauté de travailleurs muets et très discrets.

Notons un détail important : dans le roman, cette communauté, après des années d’errance, va s’installer
et construire leur ferme en 1876. Il se trouve que cette période (dès ~1870) a été déterminante dans l’histoire occidentale, du capitalisme : union des états d’Amérique, influence de la banque centrale de la City
de Londres, révolution française, les illuminati, des francs-maçons, des jésuites et autre comploteurs
agissant en secret et mettant au point ce qui est, de nos jours, de l’ingénierie sociale
sur fond d’eugénisme et de volonté de tout contrôler.

La philosophie de la Ruche :

Les meilleurs doivent s’accoupler avec les meilleurs.
De la sorte nous produirons les ouvriers divers dont nous avons besoin
pour toutes les tâches qui peuvent se présenter à notre Ruche.


La volonté de nos « élites » transparaît dans ces lignes :

Hellstrom (…) regretta de ne pouvoir se réfugier dans l’oubli mental de l’ouvrier ordinaire,
qui en dehors de ses besognes immédiates, avait fort peu de soucis.

Le vieil Harvey avait été l’un des premiers reproducteurs.
Sa semence se retrouvait dans toute la Ruche.

Dans la sélection des ouvriers, reproducteurs et des divers spécialistes,
dans le développement d’une conscience de la Ruche pour tous les mécanismes chimiques
et manipulatifs dont nous disposons, le programme de notre société coopérative s’esquisse
avec un potentiel de permanence qu’il faut contrôler avec d’infinies précautions.
Ici, chaque génération vient au monde en tant que continuation des précédentes,
et chaque individu comme un simple prolongement des autres.


Commentaire : pour s’assurer un contrôle total, il faut instaurer de la « permanence ».
Nos « élites » luttent contre Temps, le mouvement et ses transformations Naturelles, qui est impermanence.
Ils rêvent et veulent des humains obéissants et laborieux.
Tous les ouvriers (du roman), inférieurs et supérieurs, sont comme connectés à la « conscience de la Ruche ».
Pour le dire autrement, la plupart des habitants de la Ruche n’ont plus aucune conscience d’eux-mêmes,
de leur individualité, sauf, bien évidemment, les élites. Qui plus est, les ouvriers sont nés de manipulation génétique ayant permis notamment de gommer certaines particularités de l’être
et de réduire la pensée ainsi que le comportement aux préoccupations d’une tâche prédéterminée ;
de la sorte, personne ne jalouse personne, personne ne rêve de prendre la place du chef,
personne ne se rebelle contre sa condition, etc. Ainsi, un boulanger par exemple ne pense à rien d’autre
qu’à son pain, et son enfant devient boulanger à son tour, avec le même état d’esprit que le géniteur.


Pour que la Ruche vive, fonctionne, l’imprévisible doit être tenu à l’écart.
Notons la peur des « élites » :

Si la Ruche subissait trop de dérangements, les événements pourraient échapper à tout contrôle.
Des ouvriers pourraient agir de leur propre initiative.

L’ouvrier neutre est la véritable source de liberté dans toute société. (…)
On peut toujours les reconnaître (les ouvriers neutres). Ils ne portent pas le fardeau de l’intelligence,
des émotions débridées, d’une identité individuelle. Ils se perdent dans une masse d’êtres

semblables à eux-mêmes. (…)
Ce que possèdent les insectes et ce que nous sommes en train de copier,
c’est une société constituée de telle sorte que ses ouvriers besognent ensemble
pour créer l’illusoire utopie : la société parfaite.


En lisant ce qui suit, je ne puis m’empêcher de penser aux pesticides, aux chemtrails (géo-ingénierie), etc.
Dans le roman, une « élite » et une ouvrière supérieure de la Ruche complotent :

- Les sauvages de l’Extérieur (nous, les humains vivant hors Ruche) ne sont pas différents
de nous chimiquement. (…) Les techniques que nous employons pour rendre nos ouvriers dociles,
soumis et accommodants pour les besoins de la Ruche, opéreront sur les gens de l’Extérieur.
- Dans leurs aliments ?
- Ou leur eau, ou même l’air qu’ils respirent.


Dans l’extrait qui suit, durant un repas, Hellstrom, le chef de la Ruche, drogue un « sauvage de l’Extérieur »
à son insu, nommé Janvert, un agent du gouvernement en train d’enquêter sur les activités de la ferme :

Hellstrom, qui observait la transformation de son convive, se dit : Il l’accepte très bien.
Les dosages avaient été relativement importants. Le corps de Janvert subissait à présent l’action
de nombreux produits chimiques d’identification. Dans très peu de temps, n’importe quel ouvrier
de la Ruche le prendrait pour un membre de la Ruche. C’était une arme à deux tranchants,
car Janvert aussi tolérerait les ouvriers de la Ruche, tous.
Son impulsion génitale avait été éliminée, de même qu’une grande partie de ses facultés critiques.
Si la métamorphose chimique fonctionnait, il deviendrait bientôt extrêmement docile.


Je relève encore le questionnement de l’agent Janvert, alors qu’il se trouve avec une collègue, Clarisse,
un autre agent du gouvernement :

- Ne t’es-tu jamais demandé si nous travaillons vraiment pour le gouvernement ?, interrogea-t-il.
Ou si nos patrons représentent un super-gouvernement derrière celui qui est visible ?
- Si tu parles de ce que je pense, je ne veux rien en connaître, dit-elle.
- Voilà une bonne attitude, très saine, répondit-il. (…)
Clarisse avait raison évidemment. Son appartement était truffé de micros.
Ils avaient su où le joindre. Pas moyen d’empêcher cela.
Quand on travaille pour faire du monde un aquarium,
on vit dans un aquarium.
L’astuce consiste à devenir l’un des observateurs des mœurs des poissons
.



Concernant ce genre de communautés et aussi, des sociétés secrètes :

Le concept d’une colonie directement implantée au milieu d’une société humaine existante
n’a rien d’exceptionnel. On trouve de nombreux groupes et mouvements secrets dans l’histoire
des hommes. Les gitans présentent encore aujourd’hui une grossière contrefaçon de notre méthode. (…)
Nous ressemblons au protozoaire colonial, « carchesium », nous tous dans la Ruche attachés
à un tronc unique avec branches, ce tronc étant dissimulé dans le sol sous l’autre société
qui se figure être les doux qui hériteront de la terre. Les doux !
À l’origine, il fallait être « muet et silencieux » pour être appelé doux.


Aux transhumanistes ayant besoin de soin psychiatrique (à mon avis) :

Sur les milliards de créatures vivantes qui peuplent la terre,
seul l’homme réfléchit à son existence.
Ses questions aboutissent à le torturer ; car il est incapable d’accepter,
contrairement aux insectes,
que l’unique but de la vie est la vie même.


A méditer : 

L’unique but de la vie est la vie même


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Note

* Philanthropathe est un terme fusionnant la prétention des « élites » génocidaires, sous un masque de philanthropie,
avec leurs troubles psychopathiques des plus inquiétants.

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jeudi 17 novembre 2022

Programmes obsolètes

 
Bientôt 58 ans, c’est beaucoup, beaucoup de pas.
Beaucoup de pas grand-chose, beaucoup de petites choses.
Plusieurs mises en relation diverses, rocambolesques mais décevantes.
Peu de vraies relations, aidantes, constructives ou simplement aimables.
Peu de chaleur humaine. Interactions insatisfaisantes. Sentiment de solitude.
Beaucoup de souffrance. Des instants de joie.
Beaucoup de questions.
Pas mal de découvertes, de moments d’émerveillement.
Quelques dépassements de soi. Sentiment de reconnaissance.

Entrevois-je quelque chose de mon Destin ?

Dérangeur de consciences atrophiées ?
Perturbateur et empêcheur de tourner en rond en se caressant le nombril ?
Guerrier au service du Juste et de la vérité-en-mouvement ?
Ou petit agneau sacrificiel placé sur l’autel du culte de la personnalité récompensée ?


Dès ma naissance, "accueillie" à contre-cœur,
il a été gravé sur ma page-persona vierge : tu vas en chier.
T’as intérêt à te tenir tranquille, à te faire discret et à obéir
.

Toutefois, sur le négatif de ma page de programmation s’inscrivait,
je ne sais comment : écoute ton ressenti, suis ta voix intérieure.

Dès ma puberté, le négatif de mon histoire-persona s’est imposé,
n’appréciant pas ce que l’on inscrivait sur mes pages :
ce que l’on projetait sur moi, sur mon avenir,
ce que l’on attendait de moi.
C’est ma vie, j’expérimente ce que j’ai choisi,
je décide quitte à me tromper, à mourir,
je suis mon élan
.


La malédiction du civilisé consiste en une mise en garde
répétée dans l’en-tête de chaque page de son roman-persona :

« Ignore les subtilités de l’existence. Seule ta page de diplômes est réelle, exploitable,
c’est scientifiquement prouvé par une ribambelle d’experts spécialisés en calcul de rentabilité.
Si par malheur improductif tu ressens le négatif de ta persona,
consultes au plus vite un psychiatre agréé par l’État de droit à la sécurité pour tous,
car le négatif est mal, faiblesse, péché originel. Autant fumer un joint d’herbe.
Si tu rencontres une personne intéressée par les négatifs, méprises-la et fuis,
vas la dénoncer aux soldats des autorités ne voulant que notre bien à tous,
tel qu’il est écrit sur chacune de tes pages, et comme assuré à la TV. »



Tel un photographe d’âmes, je cherche des modèles.


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* Je recopie la feuille de papier de G. I. Gurdjieff :

    L’homme apparaît au monde tel une feuille de papier vierge,
    et tous de salir aussitôt cette feuille en la couvrant à l’envi
    d’inscriptions de toutes sortes : éducation, leçons de morale,
    informations dites scientifiques, notions diverses de devoir,
    d’honneur, de conscience et ainsi de suite.

    Et tous proclament le caractère immuable et infaillible des méthodes
    dont ils se servent pour greffer ces branches à l’arbre de la personnalité
    de l’homme.

    La feuille peu à peu se salit, et plus elle a été salie,
    c’est-à-dire plus un homme est farci d’informations éphémères
    et de toutes ces notions de devoir, d’honneur, et autres,
    qui lui ont été inculquées ou suggérées,
    plus il passe pour « intelligent » et méritant aux yeux de son entourage.

    Et la feuille salie, voyant que les gens prennent sa saleté pour un mérite,
    finit par se considérer elle aussi de la même façon.

    Voilà le modèle de ce que nous désignons du nom d’« homme »,
    en le faisant suivre bien souvent de mots tels que « talent » ou « génie ».
    Et notre « talent », s’il ne trouve pas à son réveil ses pantoufles au pied du lit,
    est d’une humeur exécrable pour toute la journée.

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dimanche 6 novembre 2022

Résister au changement

 
La plupart des gens passent une grande partie de leur journée inconsciemment
à ressentir et à penser à partir de leurs souvenirs.
Ils le font parce qu'ils ont câblé ces expériences en y pensant à plusieurs reprises
et en y associant de nombreuses autres expériences.
Il est logique que si la plupart des gens maintiennent le même environnement
pendant de longues périodes de leur vie (où rien de nouveau ne se produit, où il n'y a pas de changement),
les stimuli répétés produiront donc la réactivation de réseaux de neurones associatifs,
qui deviendront plus développés, renforcés et raffinés.
En conséquence de ce manque de nouveauté dans les environnements et les expériences,
ils sont devenus câblés dans leurs propres mondes.
Pas étonnant que le changement soit si difficile
.
 

Traduction : par le Net
Je mets l'original ci-dessous : c'est une diapositive copiée d'une conférence de Mark Passio.


 

vendredi 4 novembre 2022

Néo-féminisme vs féminin sacré

 

Anecdote : jusqu’à l’âge d’~30 ans, je me liais d’amitié autant avec des hommes qu’avec des femmes.
J’appréciais la compagnie des hommes pour les aventures en forêt, pour les soirées à déconner ;
toutefois, concernant la qualité des interactions, bof, je compensais avec la compagnie féminine
avec qui les échanges étaient plus riches, profonds, authentiques et variés.
À la différence des femmes, les hommes évitaient de parler de leurs ressentis et sentiments.
Après mes 30 ans, ce qui a commencé à me déranger consiste au fait que les femmes (que je côtoyais alors), vivent un gros décalage entre leurs discours (du type « j’aimerais avoir un compagnon avec qui parler ou j’aimerais un homme plus compréhensif et attentionné, etc. ») et leurs comportements
puisque, dans les faits, elles étaient attirées par des machos ou des grandes gueules égotiques
ou des gars qui assurent financièrement.


Rappel : vers l’an 2013, sur mon ancien blog « Tarot ressources », j’avais publié un article pour signifier
mon étonnement et désaccord de lire dans le dictionnaire que l’intelligence pratique ‒ reliée au principe féminin ‒ est inférieure à l’intelligence conceptuelle ‒ reliée au masculin.
Ah bon ? Tiens, tiens…
Cette incongruité n’avait suscité aucune réaction, pas de commentaire sous cette publication.
Surpris, je me suis commenté parmi en écrivant que je déplorais le manque de réaction des internautes.
Une internaute est intervenue ensuite en écrivant quelque chose comme : « laisse-les faire (d’écrire
cette erreur insensée de considérer les concepts plus intelligents que les actes pratiques) ».
J’avais répondu qu’au contraire il fallait réagir à cette définition du dictionnaire
et rectifier ce préjugé afin qu’on cesse d’apprendre n’importe quoi aux enfants.
Encore une précision : sur EB (plateforme précédente), il y avait beaucoup d’enseignantes.
Chercher l’erreur.

J’ai réagi notamment au fait que nombre de femmes ne cessent de dire « ça me casse les couilles ».
Ben non, mesdames, ça ne peut tout simplement pas vous casser les couilles.
Comme dit dernièrement à une femme jurant de la sorte « tu ne prends pas de risque
vu que t’as pas de couilles 
». J’ai écrit d’autres textes sur le sujet du féminin « sacré », en liens ci-dessous.

 

Toutes les images ont été capturées sur les vidéo-conférences de Mark Passion


Cette longue introduction car il me semble que, autant les femmes que les hommes, ne saisissent pas la gravité
de notre situation, de cette guerre des sexes, en plus du reste, puisque "ils" attaquent les peuples
sur plusieurs fronts à la fois : soi-disant pandémie, théorie farfelue des genres, crise identitaire,
pollution volontaire par chemtrails (géo-ingénierie), pesticides partout, soi-disant « vaccination », 5G, etc.

Il m’a fallu attendre jusqu’en 2022 pour qu’une explication pointe à l’horizon.
J’ai écouté deux vidéos (peu d’images) d’une conférence d’~5 heures (en lien ci-dessous).
Excellent, passionnant. La conférence permet de se faire une idée concernant les véritables intentions dissimulées sous l’Agenda 2030 de l’ONU et du WEF.
L’auteur du propos, Mark Passio, connaît le sujet ésotérique, plus précisément il connaît l'obscurantisme
qui sévit en ce moment de par le monde. Il explique sa connaissance de façon claire, accessible.
Il aborde notamment le sujet du satanisme qui n'est pas ce qu'on pourrait imaginer ou croire, et que,
grâce à M. Passio, je démystifie afin d’en découvrir le visage (que et qui sont les satanistes ?
Volent-ils sur des balais, après avoir fait une grosse orgie avec le grand Cornu ?

Le conférencier évoque le néo-féminisme qui n'a plus rien à voir avec le féminisme.
Voici un quizz, dont la réponse est expliquée par M. Passio durant la conférence : selon toi,
comment les autorités parviennent-elles à tous nous manipuler (techniques d'ingénierie sociale),
femmes et hommes ?

J'ai découvert quelque chose d'autre durant ces ~5 h. de conférence : l'épi-eugénisme, une science nouvelle,
une autre façon pour "eux", plus élaborée, de pratiquer l'eugénisme ou plutôt, du dysgénisme.
Flippant, leur "progrès".

 



 



En gardant l'esprit critique, mise à part l'histoire des Anunnaki me laissant dubitatif, j'ai résonné durant toute la conférence, au point que je comprends mieux mes difficultés relationnelles éprouvées dès mon adolescence !

 




Temps des révélations

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Liens

* La conférence en deux vidéos : Unholy Feminine (traduit en Fr)
- Féminin profanateur

* Les femmes calculent comme les hommes
* Pour le féminin
* Féminin et masculin
* Féminin en friche
* La voix du féminin

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dimanche 30 octobre 2022

Noir solœil, l'illusion augmentée

 

Un soleil noir ?
Brrrr…, quel symbole effrayant !

Nos plus lointains ancêtres étaient terrifiés lorsque…
Eclipse

Un soleil noir, est-ce que un tel astre existe ?
Pour quelles raisons et à quelle fin en est-on arrivé à imaginer une telle abjection ?

Seuls des déments peuvent rêver d’un soleil noir.
Dingue, certains veulent pervertir même le soleil !


Un soleil noir ne diffuse pas de lumière, si ?
Évoluer la nuit, 24H/24 sous l’œil de webcams et l’éclat de néons "intelligents".
Ce doit être pourquoi "ils" veulent nous surveiller et contrôler autant,
afin que nous n’ayons pas peur d’un avenir sous soleil noir ?
Brrr…, rien que d’écrire cette possibilité me fait peur.

Le soleil est la source majeure d’énergie, de lumière et de vie, pour nous terriens.

Au bal cosmique,
il arrive que la lune passe devant le soleil
et alors, on voit…
un soleil noir.

 




En tant que symbole et dans son aspect péjoratif,
la lune figure le leurre, le mensonge, la fausseté, l’illusion.

La lune ne fait que réfléchir la lumière du soleil.
Le soleil éclaire les situations rendues confuses durant la nuit.

Lorsque la lune passe devant le soleil, elle éclipse le lumineux ‒ la Vérité de ce qui est, d’instant en instant.
Durant quelques instants, c’est comme si la lune voulait prendre la place du soleil.
La lune voulant devenir Calife à la place du Calife, pour nous imposer sa fausse lumière.

Le soleil noir serait l’un des symboles majeurs des satanistes.
Satan représente l’adversaire du juste, vrai, beau et bon.
C’est en reconnaissant le faux et mauvais qu’on connaît le juste et bon.
Les satanistes ne vénèrent pas, pas forcément, un cornu séducteur dépravé, ni Baal ou Moloch :
ils vouent un culte à leur propre ego, qui, comme la lune, essaye régulièrement d’occulter le soleil.
God hasn’t saved the Queen !

Et dire que l’humain se considère le plus intelligent et supérieur à toutes autres formes de vie.
Hummmh
Les transhumanistes, eux, modestes, se croient supérieur à Dieu !
Ah ? Cool ?
Régression : on est aussi abrutis que nos plus lointains ancêtres !

Comprendre leur symbolisme permet de comprendre l’(anti-)esprit des « élites » auto-proclamées.
Connais-toi toi-même et apprends à connaître ton adversaire ou ton ennemi.

Pour celles et ceux ayant besoin d’espoir ou d’espérance :
jusqu’ici, la lune ne parvient pas à dissimuler longtemps la lumière du soleil.

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vendredi 28 octobre 2022

À temps (II)

 
Il semble que Temps agisse différemment dans les diverses dimensions de vie.
Par exemple : Terre aurait entre 5 et 15 milliards d’années, et Elle serait jeune !
Bien que Terre soit elle aussi soumise à Temps, son processus de vie/mort se déroule
infiniment plus lentement que le processus de vie/mort de l’humain qui, lui, vit en moyenne ~80 ans.
« Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas », sauf que Temps se déroule en haut
différemment qu’en bas.

Mystère est Temps.

Comme l’a observé le grand J. Krishnamurti, notre rapport individuel au temps est relatif car :
1) Nous percevons le mouvement du temps par nos sens, par exemple le mouvement des corps, des saisons, etc.,
ce qui va rythmer nos habitudes, emploi du temps et agenda, cycle d’activité et de repos, etc.
2) Nous percevons également, cette fois de façon subtile, psychologique, le mouvement de nos émotions,
sentiments et pensées. Psychologiquement, notre relation au temps est comme élastique :
parfois le temps passe lentement alors qu’à d’autres moments, « on ne voit pas le temps passer ».
Toute personne pratiquant la contemplation ou la méditation ou la relaxation profonde ou la transe
a expérimenté la perte de la notion du temps.

Relevons encore qu’il s’effectue souvent un décalage entre l’âge physique et l’âge mental d’une personne.
Par exemple : j’ai travaillé auprès de personnes handicapées mentales (présentant un déficit intellectuel) qui,
bien qu’adultes, avaient un âge mental ayant stagné, qui à 5 ans, qui à 8 ans, etc.
Chaque adulte valide, comme toi et moi, peut subir ce décalage entre l’âge mental et l’âge physique.
Par exemple : un homme de 35 ans d’âge physique pourrait n’avoir que 18 ans d’âge mental (se complaisant
à répéter les mêmes comportements, par exemple, son raisonnement et vue sur le monde n’évoluant pas).

C’est comme si Temps établissait une relation individuelle avec chacun de nous.


Qu’est la pensée ?
Un mouvement mémoriel : on passe d’un souvenir à un autre, d’une émotion à une autre,
d’un sentiment à un autre, d’un calcul à un autre, d’une idée à une autre, d’un plan à un autre.
Sans Temps, pas de pensée ni possibilité de calculer ses bénéfices d’ici à l’âge de la retraite.

Qu’est Temps ?
Temps est mouvement.
Sans mouvement, pas de mort ni naissance, c’est-à-dire pas de vie.
Toi et moi ne serions pas là en train de respirer, sans l’œuvre de Temps.

Tout (sur Terre) est conséquences et effets de Temps le Transformateur.

La Création (du monde) n’a été possible qu’avec le concours de Temps.
Qui sait, peut-être que le désigné Dieu est Temps ?

Dans un espace, Temps permet de se rendre du Sud ou Nord (par exemple) ;
autrement, sans Temps ce serait l’immobilité, qui est mort lente, non-vie. Espace stérile, sans vie.

La vie est mouvement ; on peut donc penser que la vie est produite par ou grâce à Temps.
Tout ‒ Terre, océan, montagnes, fungi, végétaux et animaux, microbes, étoiles, lune et soleil ‒,
tout ce qui vit est en mouvement, soumis à des processus naturels qui dépassent notre entendement.

Temps est vie : naissance, développement, épanouissement, joie, tristesse, colère, jouissances, plaisirs…
Impermanence de tout ce qui vit.

La permanence échappe à Temps.
Il semble que l’essence de toute vie se tienne hors Temps.

Temps est extraordinaire, merveilleux.
Temps produit la Beauté, les floraisons, l’Amour éprouvé grâce à des relations saines…

 

Poussières de poussières nous sommes.
En de rares poussières, une goutte d’eau.

Ô mon âme,
L’esprit allégé des peurs et blessures passées,
Chevauchons Temps le Créateur avec courage et audace,
avant le retour inéluctable à ta Source Permanente.

 

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mercredi 26 octobre 2022

À temps (I)

 

Note à MIVILUDES : il me semble que vous ne faites pas votre travail car, sinon, vous le faites mal (selon moi)
puisque des sectes dangereuses pour l’humanité sévissent dans l’impunité, comme celle des transhumanistes
qui nous imposent leur idéologie démente (n’étant plus reliée ni avec la Réalité Naturelle ni avec Dieu).

 

Temps terrorise : aurons-nous à manger demain ? Je ne veux pas ou plus souffrir,
j’ai peur de mourir, d’être malade, de vieillir, d’aimer, de l’échec, d’être ruiné, du futur, de vivre.

Cette crainte irrationnelle du futur est propre à l’humain. Les autres animaux ne délirent pas de la sorte.
Cette peur sans motif direct, psychopathologique, découle de notre capacité à s’abstraire de la Réalité en cours
(en mouvement) et à se représenter les choses à sa façon, selon ses éducation, conditionnement,
blessures d’estime, croyances, idéaux, allégeances, fantasmes, etc.

 

Philippe Geluck



Plutôt que de profiter pleinement de vivre ici et maintenant, on appréhende la suite, jusqu’en 2030, 2050,
en répétant inlassablement des schémas de fonctionnement connus, dépassés, usants,
et des comportements le plus souvent inculqués à notre insu, qui n’ont plus rien de naturels.
On craint l’avenir tout en ravageant l’écosystème (chercher l’incohérence et l’irresponsabilité),
ce qui ne peut que nous angoisser davantage, n’est-ce pas ? C’est mathématique, logique :
plus on détruit ce qui nous nourrit, plus nous angoissons pour la suite des événements.
Alors, le délire n’ayant pas de limite, on fantasme que Temps s’arrête, avec l’idée de "vivre"
sans plus jamais mourir ni vieillir. Délire mécanique éternel généré par l’activité reptilienne
du cerveau (niveau d’intelligence le plus bas, mentalité primaire et duelle).

De se réfugier trop souvent et trop longtemps dans l’abstraction, au détriment du Vrai en mouvement,
rend dément, psychotique (évoluer hors Réalité). Vivement le « metaverse » de FessebouC.I.A.

Nos peurs irrationnelles ainsi que nos activités inconséquentes nous font courir toujours plus vite,
comme si Temps nous poursuivait avec une seringue dont on ne connaît pas le contenu.

Toi, internaute,
saches que ton corps n’est plus ton corps mais celui de l’OMS (Organisation des Moi Satanistes)
financée par Billy Gates to evil on earth.

Castrés, nous restons assis derrière des écrans contrôlés et contrôlant, au motif d’une sécurité pour tous
qui se révèle, dans les faits, être une sécurité pour "eux" uniquement.
"Leur" sécurité se paye par notre sueur et n’est rendue possible que grâce à la corruption des âmes
(système de dettes, par exemple) et aussi, par moult contraintes sur nos libertés d’être et d’agir.
Des programmeurs et des esclaves-robots.
Un esclave « augmenté » ou cyborg ne ressent rien, ne pense pas. C’est l’idéal… pour qui ?
En bref : au nom de « Sécurité pour tous », nous ne vivons plus notre  vie,
mais une vie programmée par une poignée d’humains qui veut nous contrôler
en nous assistant 24H/24 par IA, pour nous apprendre à obéir, sans rechigner.
Bip-bip – information en cours de traitement ‒ bip-bip
La technologie ? Un progrès pour "eux", uniquement,
et une régression pour tous les autres. Âme-haine.

En quoi IA pourrait représenter un danger pour l’humanité ?
L’IA n’est que calcul. Calcul sans émotion ni désir ni passion ni morale (autre que programmée)
ni empathie ni sentiment (autre que programmé), etc.
Peut-on comparer une machine à calculer à un être humain ?
Comment peut-on laisser des algorithmes décider de notre emploi du temps et de notre comportement ?

Qu’est-ce qui nous fait accepter ce qui est agendé jusqu’en 2030 notamment par l’ONU (Organisation
des Nazis Unifiés) ?
Ces sectes (Bildeberg, Club de Rome, WEF, jésuites, françs-maçons, etc.) contrôlent même notre temps !

Pourtant, ce serait simple : il suffit de dire NON, VOTRE AGENDA N’EST PAS LE MIEN.

Réfléchir ne tue pas ni ne rend malade ni n’est viral, pas besoin de masque :
toi qui lis, tu ne serais pas là, ici et maintenant, sans l’action de Temps. Rappelle-le-toi souvent.
Pour échapper à Son inéluctable processus de transformation constante, dont nous sommes le fruit,
nous fuyons dans le confort sécurisé et bétonné où on nous répète inlassablement de la propagande anxiogène.
Ou sinon,
fuyons-nous notre culpabilité de tant maltraiter notre corps ainsi que l’environnement naturel ?
Ce qui expliquerait ce nouveau culte à la psychopathie : ne plus rien ressentir, ni affect ni empathie
ni culpabilité ni sens moral ni honte. Seule la jouissance égotique des résultats immédiats compte.
Moi-je veux, moi-je prends, moi-je consomme, moi-je jette.
Regardez et constatez par vous-mêmes : Ego l’Anti-Temps, ne crée que des déchets toxiques et des malheurs.

Comprendre une chose importante : en ramenant la bataille entre le Mal et le Bien en soi-même,
nous observons que l’ego est sataniste puisque menteur, tricheur, séducteur, lâche, insatiable, vicieux, etc.
Par déduction, le Bien ne peut pas provenir de l’ego.
Donc, si Satan symbolise l’ego (en chacun), quelle part ou quoi de soi symbolise l’ange, le juste et bon ?

Prendre son temps…

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dimanche 9 octobre 2022

Bébés traumatisés, anthropomorphisme ?

 
Pour expliquer la résistance au changement de la plupart des humains conditionnés depuis leur naissance
à ne voir en le changement qu’une perte de sécurité, une prise de risque insensée non couverte
par les assurances, les humains rendus anxieux par une incessante propagande médiatique
préfèrent "vivre" en rejouant incessamment le connu, comme vu à la TV, avec davantage de "progrès",
répétant inlassablement les mêmes schémas relationnels et comportementaux, de générations en générations,
l’esclave restant esclave, le maître restant le maître, le soldat restant soldat obéissant.
L’humain contemporain, ayant réponse à tout, plus qu’omniscient grâce à IA, prétend savoir
pourquoi on résiste inconsciemment à la transformation des choses pourtant Naturelle et inéluctable :
nous aurions tous subi le traumatisme de la naissance ! Si, si,
ce serait pourquoi notre chochotte d’inconscient se refuserait à l’idée (abstraite et donc, irrationnelle)
de la souffrance. À cause de notre traumatisme de la naissance, on résiste à l’inconnu, aux transformations,
au changement pouvant pourtant mener à un mieux être et vivre.
Euh… Hein ?
Les spécialistes ont tout compris. Ben oui, ce ne serait pas des experts, autrement.
On n’y peut rien, on est tous des traumatisés.
Euh…, sauf les bébés nés par césarienne ?

Vivement les conceptions en machine-utérus-IA hyper confortable et sécurisée, sous garantie durant 59 ans.
Au moins, y aura plus à naître. Sortir du vagin du corps nous ayant donné vie pour se retrouver traumatisé à vie.
À bas les mères, vive le transhumanisme et les LGBTabcdefghijklmnopqrstuvwxyz+.

 



Soucieux d’éviter d’écrire des bêtises, j’ai fait une rapide recherche et nous devons ce « traumatisme
de la naissance » au psychanalyste Otto Rank. Quelques extraits : 

La théorie d'Otto Rank (...) définit ce traumatisme initial comme le principal facteur définissant notre vie psychique. Le traumatisme est lié à la séparation brutale de la mère. Mais aussi au passage soudain
d’un environnement protecteur à un environnement hostile.

Commentaire : étrange façon d’aborder un processus naturel. Vaudrait-il mieux que le fœtus reste dans le ventre de sa mère, je veux dire au-delà des neuf mois de gestation ? Ce nouveau-né, se dit-il « oh, quel environnement hostile, je retourne dans le ventre de ma mère ? »
Concernant l’environnement hostile : que dire de l’arrivée du fœtus en un milieu froid, stérile, où il se retrouve manipulé, pesé, piqué, par un médecin à la solde de Big Pharma, avant qu’on le laisse enfin, un moment,
avec sa mère ?

Les thèses du traumatisme de la naissance d’Otto Rank n’ont pas été suffisamment diffusées.
Malgré cela, elles sont acceptées par un nombre important de psychanalystes, psychologues et médecins.
En fait, de nombreux (professionnels) estiment que le travail thérapeutique revient à surmonter l
a naissance, à surmonter la traumatisme initial.


L’une des sources de controverse en ce qui concerne le traumatisme à la naissance est la suivante :
le cerveau du nouveau-né n’est pas suffisamment développé pour enregistrer ses expériences
comme un traumatisme (dans le sens strict du terme). Il est certain que l’enfant souffre à la naissance.
Or, pour beaucoup d’entre nous, cette souffrance ne peut pas déterminer la vie psychique de l’individu.


Commentaire : comment être « certain que l’enfant souffre à la naissance » ?

Une croyance populaire : Eve, bannie, doit dorénavant souffrir en enfantant.
Peut-être serait-il temps de laisser de côté cette Genèse n’ayant pas plus de sens que l’histoire du Père Noël ?

Au fait, c’est la mère qui souffre mais ce serait la chair de sa chair encore dans la confusion et le Mystère
qui subirait un traumatisme ?

Ne serait-ce pas une forme d’anthropomorphisme que de penser cela ?

De mon point de vue et selon ma connaissance, pour subir un traumatisme, encore faut-il avoir une mémoire fonctionnelle (un traumatisé subit une perte de mémoire) ainsi que l’émotionnel développé et aussi,
une vie intérieure (psychisme) et encore, un esprit opérationnel puisqu’on dit que l’esprit ‒ ou la conscience ‒
se dissocie du corps, comme s’il s’en extrayait, et ce, pour échapper à une souffrance insupportable (situation traumatisante). Le fœtus, chair de sa mère, prêt à sortir, serait-il déjà doté d’une mémoire, d’émotions et d’un esprit en état de fonctionner ?
Si non, je ne vois pas comment le nouveau-né pourrait être traumatisé ?

 




La chair d’une chair est expulsée lorsque son développement (fœtal) arrive à terme.
Comment et qui peut savoir ce que ressent le fœtus au moment de la « délivrance » ?

Tiens, on dit « délivrance ». Voilà encore une idée conditionnée : une délivrance serait traumatisant ?
Ben zut, j’veux pas être délivré ! Après ça, on s’étonne que l’esclave s’achète lui-même ses chaînes.

Pour ce que nous en savons, de la vie psychique du nouveau-né : ses perceptions sont confuses au point
qu’il ne se distingue pas de la mère. Il va lui falloir plusieurs mois avant que ne fonctionne sa mémoire
et plus de mois encore avant que ne fonctionne son esprit.
Peut-on, dans ces conditions, parler de « traumatisme de la naissance » ?
Cela m’apparaît ridicule, insensé.
Tout au plus, une mère insuffisamment informée, et préparée au préalable, pourrait souffrir d’un traumatisme
subi au moment d’un accouchement particulièrement difficile.

Encore un fait à considérer : si nous sommes tous des « traumatisés de la naissance », c’est donc un état normal.
Pas de quoi en faire une théorie ni lui porter importance.

La question qui en ressort :
Est-ce pour excuser et justifier notre lâcheté et nos peurs irrationnelles du changement et de la mort
que nous évoquons le « traumatisme de la naissance », qui est pure hypothèse, spéculation improuvable.
C’est selon moi, un forme d’anthropomorphisme (prêter au nouveau-né nos perceptions d’adulte en projetant
sur lui notre peur de souffrir).

 


samedi 1 octobre 2022

Ego vs Je

 

Je

Je suis

Je suis interactions


Ego n’est qu’une construction mentale
Qui en est l’architecte ?

Développement d’une personnalité
Inhibition de l’être, de l’élan de vie, de Je

Ego se débat en courant d’avidité rationalisée
Où se glissent des dettes, des formules, des équations

Moi-je parle et parle incessamment, pour se convaincre de son importance
L’esprit exalté, en quête de plaisirs immédiats, moi-je s’enivre
Mépris du féminin, du subtil, de l’Amour et de l’innocence
Enfant intérieur maltraité, rejeté, nié
Conscience muselée et refoulée
Sans foi ni loi. Des calculs.



En relation, moi-je joue la séduction, afin d’utiliser autrui
Faux-semblants, mensonges, tromperies, falsifications, etc.
Moi-je ne génère que nuisances interactives et environnementales.

Moi-je sait, a tout compris et n’a plus rien à apprendre
Défendre des opinions, considérations et croyances à la mode TV du moment

Ego méprise les individus intègres, incorruptibles

Avec toi, ego affirmé, je suis miroir
Miroir de ta conscience malmenée
Glace déformant ta superbe image
Je réfléchis ton ombre
Insupportable

Manque de discernement, tes choix en pâtissent
En réaction, tu m’accuses de tes travers, défauts et manies

Se fuir soi-même, angoissé d’être poursuivi par son ombre déniée

Ego a honte d’être de nature animale, se jugeant supérieur aux autres
Ego blesse qui ne le flatte pas, ne lui sied pas, ne l’a ni séduit ni amusé
Railleries, remarques dévalorisantes et accusations inversées
De piétiner tant d’âmes, sentiment de culpabilité refoulé


Je Vois l’image construite à mon sujet par ton regard formaté et intolérant
Tu ne vois en moi que ta frustration profonde, ton complexe, tes contradictions

Tu veux me dominer, mais ne parviens ni à me cataloguer ni à me subjuguer

Une conscience plus ou moins ensuquée ou corrompue rejette et nie ce que Je lui réfléchit

Culture de l’abstraction et du virtuel
Cultes à Progrès annihilant le Vivant de la Création


Contrôlant non pas autrui mais mon propre ego, Je tempère

Je suis Amour

Je suis

Je
 
*

samedi 24 septembre 2022

Besoin fondamental subtil

 
Il est deux choses essentielles à l’être humain pour une vie psychique saine.

Avec ses sens externes, l’humain expérimente le monde physique et matériel.
Le monde ne se limite pas à la dimension physique et tangible des phénomènes
puisque l’humain évolue également et en même temps dans des dimensions subtiles,
intangibles mais qui, néanmoins, s’éprouvent et nous influencent.

NB : le plan subtil de l’existence ne se calcule pas ni ne se théorise*,
ce qui pose un satané problème à la volonté de certains qui veulent laisser IA (programmée selon leurs idées)
diriger l’existence de la plupart des citoyens.

Le monde est tangible, apparent, constitué de formes solides et essences animées ou non,
ce qui le rend partiellement prévisible, calculable ;
et, également, le monde est intangible, vibrant, imprévisible, mystérieux.

En ce monde, tout est en interaction avec tout et aussi, avec Tout (l’Absolu Créateur),
tout dépend de tout car tout est lié à tout, tout se nourrit de tout, et chaque élément est un tout.
Chaque élément est en relation, relié, avec les autres éléments et avec tout (l’ensemble, y compris l’univers).

Une personne sensible a une perception accrue du (ou des) plan subtil des événements. 




La vie est relations, interactions ininterrompues.

L’aspect subtil de l’existence ne peut s’appréhender que par l’écoute de soi.
L’écoute porte sur l’émotionnel, le sentiment (impressions et état affectif), le ressenti,
le senti (instants de clairvoyance spontanée ou d’intuition révélatrice), l’humeur,
l’état neurologique (nervosité ou calme, par exemple), etc.


Les deux aspects essentiels pour une vie psychique saine :

1. L’humain a besoin de vivre en groupe, en tribu. De l’introduction ressort l’importance
fondamentale des interactions. La façon d’être en relation avec soi-même et avec autrui
instaure des dynamiques plus ou moins bonnes, saines, équilibrées.

2. Qu’est-ce qui motive chaque humain d’un groupe, quels que soient ses culture, couleur de peau, croyances, etc. ? On nous fait croire que c’est l’argent, la notoriété, la réussite sociale,
les possessions de biens. Toutefois, imaginons un instant cette situation : un humain
vient de toucher un million ou un milliard d’euros mais, par un concours de circonstances,
il se retrouve seul sur une île déserte.
Il y a de fortes probabilités pour que cet humain "chanceux" mais isolé ne se laisse dépérir
ou déclenche une profonde dépression ou une décompensation (crise psychotique),
alors qu’il est pourtant riche d’argent en poche et en banque, non ?
Ce n’est ni d’être riche ni d’exercer une domination qui motive en profondeur.
Le second point vital pour l’humain consiste en son besoin de se sentir utile au sein du groupe
(où il vit). Mieux vaut être considéré comme l’idiot du groupe et y avoir ainsi sa place
que d’en être banni et de se retrouver avec un sentiment d’exclusion, de rejet.



Mieux vaut se contenter de peu matériellement et pouvoir compter sur des amis
plutôt que de vouloir être riche et évoluer parmi des charognards et chiens séducteurs.

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Note

* Qu’il y ait une ou plusieurs autres dimensions, le plan subtil de l’existence s’appréhende par l’écoute de soi, de son intériorité,
on pourrait dire par l’intermédiaire de sens intérieurs dont : les ressenti et impressions, le "senti", l’instinct, ainsi que l’intuitif.
La part intangible des phénomènes est éprouvée, aussi il s’agit d’apprendre à contrôler ses réactions
et pensées émotives (ne pas réagir ni arrêter un jugement ou une considération sous le coup d’une émotion).
Notre relation avec l’intangible influe sur notre santé (comment je me sens physiquement et psychiquement ici et maintenant),
sur nos humeur et état d’esprit ; qu’on en ait conscience ou non.
L’humain a besoin de nourritures diverses, solides (aliments) et aussi, subtiles et ce,
pour le bien-être de son affect (ce qui ramène l’émotion en zone neutre) et la clarté de son esprit.
Un exemple de nourriture subtile : certains livres, leurs contenus, nourrissent l’esprit et parfois l’affect,
laissant en nous un sentiment et un point de vue autre, ce qui nourrit la pensée et élargit le regard sur le monde.

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mardi 20 septembre 2022

Légion de maux

Texte écrit en début septembre (depuis, il fait plus frais)


Cette chaleur qui dure, et l’ambiance générale,
c’est comme une lente agonie.

Gens moroses, soit exaltés, soit éteints, soit affairés comme si de rien.
Beaucoup se plaignent de maux divers.

Les pharmacies traversent les crises sans dommage. Au contraire.
De nos jours, de se sentir en bonne santé et ne pas se rendre régulièrement à la pharmacie semble suspicieux.
Quant au soi-disant « vaccin », les HOGM* n’en parlent plus, ayant refusé la quatrième dose (autour de moi).
Ils se plaignent de genre de rhumes, sinusites, etc. en plein été ! Des antibiotiques,
il nous faut de nouveaux antibiotiques encore plus efficaces.
Plusieurs sont en traitement contre un cancer. Laser, chimio, oblitération d’organes et re-chimio…

On vit une époque incroyable, excellente pour éprouver le doute profond,
ce doute qui amène l’esprit à se poser des questions vitales en recherchant la vérité.
On en est au point de se demander si même la météo n’est pas manipulée pour nous rendre la vie pénible.
Géo-ingénierie, HAARP, la Chine ayant annoncé que d’ici 2025 la météo de son pays serait sous contrôle.
Fantastique, n’est-ce pas ?
Si excitant… de jouer avec le feu du Dieu des hommes.

 



Que se passe-t-il sur Terre ?

Comme la plupart d’entre nous, je vis mes journées du mieux que je peux,
cependant des pensées me traversent l’esprit : nous sommes en plein génocide,
comment pouvons-nous continuer comme si de rien ?
C’est vrai, beaucoup d’HOGM ont donné leurs consentements.
Consentir à se faire injecter un poison bio-technologique expérimental dont ils ne savent rien !

Beaucoup sont contre l’agriculture OGM, c’est pourquoi et comme toujours,
"ils" ont trouvé la solution qui leur convient, en fait plusieurs solutions en une :
modifier notre organisme, comme celui des plantes,
en y injectant aussi des nano-conducteurs pouvant émettre et transmettre.
Ne plus nous lâcher. 24H/24 connectés à l’IA. Nos données enregistrées dans Big Data Central.
Paman* IA va veiller sur nous tous et sur chacun de nous.
Paman nous haine aime et veut notre bien, ainsi que notre sécurité en tout instant.
Imaginons un monde sans choix, sans indécision ni hésitation,
une vie toute tracée, préprogrammée par une manipulation génétique.
Naître pour obéir. Vivre pour servir la folie de grandeurs de quelques familles.


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Note

* HOGM : Humain à l’Organisme Génétiquement Modifié.
* Paman : est une entité virtuelle IA ayant pour fonction de nous "éduquer" et materner :
« pa » comme papa et « man » comme maman.


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lundi 22 août 2022

Bug big

 
Gros bug, les aminternautes, mon ordi me lâche après 9 ans.
Ai perdu mes derniers textes. Il ramait depuis quelques semaines.
Impatient, j'ai fait une fausse manipulation durant la mise à jour du système.

Mon dernier billet disait en bref que :
selon moi, ce qui nous fait le plus défaut, c'est notre façon d'interagir.
Nos relations sont malsaines. 

Sans interférence, Amour constitue toute interaction.

Je vous embrasse.

jeudi 4 août 2022

Agenda du ramassage des poubelles


Ce qui est troublant avec l'agenda 2030 des Nations Unies (ONU), c'est qu'il répond à une situation mondiale nécessitant effectivement d'être améliorée et ce, sur tous les plans : écologique, politique, économique, bancaire, administratif, judiciaire, institutionnel, etc.
Mais, il y a un MAIS, les "hic" étant nombreux concernant cet agenda, notamment et les plus graves :

- Ceux qui ont voulu et investi dans le fonctionnement industriel de ce monde,
devenu une poubelle hyper toxique,
ceux-là même veulent maintenant nous imposer leur façon de soi-disant "réparer" le monde.
Aïe !
Chercher l'erreur.
Ouroboros, quand tu nous enlaces...

- Avant le temps covidique, certains parlaient de la nécessité d'une décroissance  pour résister
à la frénésie du progrès ravageur pris dans une infernale course en avant mercantile,
destructrice du vivant et de l'innocence.
Je pense aussi qu'il nous faut revenir à l'essentiel, à un mode de vie à la fois respectueux
et simple – plus "slow", j'apprécie ce que je vis
et à la fois satisfaisant nos besoins de confort et d'assistance technologique.
Le "hic" c'est que "ils" ne savent pas mieux que nous ce que sera demain (hormis leur volonté
abstraite et intéressée transcrite dans leur agenda), quant à après-demain...
Pourtant, "ils" veulent maintenant, et jusqu'en 2030, que nous fassions des sacrifices
afin que "eux" puissent continuer leurs trains de vie de Nababs capricieux et vicieux.
« Vous n'aurez plus rien ... » clament la sélecte secte de Klausi Schwab, sans préciser toutefois
que ce sont "eux" qui posséderont et contrôleront tout (si nous laissons faire),
ce qui est abominable, démoniaque !
"Ils" utilisent et détournent la réalité des faits décriés depuis des décennies par certains
à seule fin de parvenir à réaliser leurs désirs cupides et égotiques
de psychotiques
déconnectés du Vivant palpitant.

 


Le tragique de cette histoire consiste en le fait que la majorité d'entre nous,
avec les yeux bandés et les oreilles remplies de propagandes du jour,
marchent avec assistance GPS et contrôle du CO2,
ou plutôt courent à genoux derrière "leurs" culs plaqués or,
en n'hésitant nullement à mettre en péril leur vie pour jouer à l'injection tueuse (!)
dite vaccinale par le politiquement correct aussi transparent que votre écran informatique.