Il me vient une envie de présenter mon veux pour 2022 :
Fasse que Le "vaccin" (ou autres, mais qu'il faut impérativement présenter comme "vaccin") soit trouvé ;
puisse Le vaccin des vaccins être enfin mis sur le marché de la santé (bientôt en Bourse)
pour vite l'inoculer dans nos corps bradés à la science du commerce de la voie unique.
Dans les ténèbres allumés de mensonges,
j'évolue parmi des ombres d'êtres voulant paraître.
Entre indifférence, tristesse et colère,
je suis ma voie de lumière.
Les excès annihilent le plaisir et perturbent l'intensité vibratoire interactive,
ce qui ne génère qu'interférences et malentendus relationnels. Fréquences basses. Ça vole pas haut.
Les corps sont bourrés de toxiques en tout genres (alcool, médicaments et drogues, vaccins et "vaccins", etc.)
Les blablablas sont incohérents, les promesses vont avec le vent, et les croyances virevoltent
en ne se référant ni à du concret tangible (la raison devrait croire ce qu'elle voit, non ?)
ni à la logique. Les excès éloignent du sensé, et le bon sens se perd.
Les esprits s'embrument ou s'emballent. L'énergie vitale est consumée en vain.
Quel gâchis ! Que de dommages êtriques*.
Oser un tel bras d'honneur à l'Intelligence ! ... ?
Des relations attribuables au hasard. Destin ?
Je n'ai pas choisi ma tribu du moment.
Ce sont les événements qui m'ont amené ici.
Les conjonctures ont rapproché des personnes qui,
en d'autres circonstances, se seraient à peine regardées.
Des liens se nouent, se dénouent, se brisent, et se relient parfois.
Avant de débuter son activité du moment, tenir compte des événements naturels, dont les météorologiques.
Ici, le temps s'est mis à la pluie.
D'innombrables gouttes tambourinent contre le toit,
contentes qu'elles sont de leur retour sur Terre.
La température dégringole.
Cette configuration naturelle invite au repos,
à rester emmitouflé(s) sous des couvertures, dans sa tanière.
Celles et ceux ayant vécu une expérience en nature (à l'état sauvage) ont dû constater, amèrement,
combien nous sommes fragiles physiquement, nos corps étant dépourvus de protection.
C'est bizarre, c'est comme si le corps humain n'était pas, ou plus, adapté pour vivre en nature,
dans son milieu d'origine, ayant pourtant donné naissance à toutes les formes de vie, dont l'humaine.
Nos pieds sont devenus hyper sensibles (pour marcher sur les cailloux et épineux, par exemple),
difficulté à supporter le froid notamment pour dormir (sans un attirail de vêtements et couvertures, etc.),
difficulté de se reposer à même le sol (sans matelas, sans protection contre l'humidité, etc.),
désœuvrement en cas de fortes pluies ainsi que durant l'hiver
et, surtout, incapacité à se nourrir sans magasin ou producteur (méconnaissance des propriétés des plantes,
champignons, et les viandes hormonales sont achetées en commerces, etc.)
Ici, un lieu ailleurs, 7 septembre 2021
C'est une étape, certes. Sûrement.
Avec mes mots, j'ai écrit que c'est un temps de transition.
Il y eut un avant : moult histoires et endroits, plusieurs vies.
Il y aura probablement un après, après ce lieu.
Une étape peut se dérouler rapidement ou peut durer longtemps.
On peut s'impatienter et vouloir quitter l'endroit pour se confronter à la suite, enfin.
On peut n'avoir pas envie de passer à la suite, auquel cas on fait durer le temps d'arrêt.
Étirer le temps autant que je peux, et profiter pleinement de cette étape.
On peut même s'y éterniser, qui sait ?
Ecrit le 5 septembre 2021.
Fin août dernier, j'ai entendu à la radio, clamé toutefois au subjonctif, sur un ton supposé,
qu'il resterait à peu près 10 millions de français(e)s non "vaccinés".
Hallucinant, je trouve.
~68 millions de français moins 10 millions = ~58 millions - les enfants =
plus de ~75% de la population auraient accepté de se faire injecter un "vaccin" dont ils ne savent rien !
... ?
Un président efficace a été élu en 2017, à constater l'écrasante majorité de gens qui obéissent, qui suivent.
Majorité bien marquée, sans contestation possible. Et vive le « passe sanitaire »,
nous préparant au passeport numérique ;
puis, à la démonétisation et au crédit social, probablement ?
Que penser de cette situation ?
Comment l'analyser, la comprendre ; comment l'accepter ?
Comment se projeter dans un « monde d'après » à QR codes ?
Quelle sera la prochaine exigence « bonne pour tous », la nouvelle contrainte,
les savants décrets et lois dictés par l'urgence sanitaire ou autres menaces invérifiables ?
Preuve est qu'uniquement une petite minorité de personnes réfléchissent par elles-mêmes de par le monde entier !
Comme lors du test de Milgram : 75 à 80% des gens sont dociles, faisant ce qui leur est demandé,
jusqu'à se laisser injecter Kalachnikov sait quoi à l'intérieur même d'un corps qui aurait pu être le leur
mais qui ne l'est pas, plus, car ce corps appartient à la science, aux multinationales détenant nos données, etc.
C'est de cela que j'ai peur : de plus de 75% d'humanoïdes ou plutôt d'HOGM (Humains à l'Organisme
Génétiquement Modifié) réagissant sur commande, sans prendre de recul ; c'est pourquoi,
tout en croyant bien faire, ils en viennent à faire le pire, déresponsabilisés qu'ils sont de leurs actes,
les braves et gentils, polis et souriants civilisés techno-modernes
Purée (chimique) !
Ma gratitude à l'égard d'un généreux personnage hors norme.
Je me souviens de mon arrivée en ce lieu, en marchant, le sac au dos.
Les vacances d'été débutaient, les prix augmentaient : je commençais à appréhender la suite du périple.
Cela faisait un peu plus d'un mois et demi que j'étais en vadrouille, officiellement en pèlerinage.
Depuis mon dernier domicile, j'ai marché, fais du stop et pris des autobus.
J'avais repéré cet endroit une semaine auparavant, depuis un bus.
Écrit le 3 septembre dernier.
Il est dit que : afin que les travailleurs et autres gens du peuple soient dociles,
il leur faut du pain et des jeux.
Mais est-ce vraiment suffisant pour tenir le couvercle populaire de la cocotte-minute sociale ?
Selon mon observation, en plus du pain, il nous faut à tous de l'ivresse.
NB : l'ivresse est à entendre ici au sens large du terme, se présentant sous toutes ses formes et ce,
que l'état d'altération de conscience soit dû à l'alcool, aux médicaments et drogues, au sexe excessif,
au sang qui coule (en guerre, par exemple), aux montées d'adrénaline (sport extrême, par exemple),
à la jouissance égotique que procure le pouvoir sur autrui (la hiérarchie, par exemple), etc.
Probablement que l'humain subit des mutations ;
des mutations "naturelles", mais surtout des mutations voulues et provoquées par ce dernier.
Rappel : au début du XXe siècle, durant la guerre 14-18, une quantité incroyable de gaz
a été lâchée dans l'atmosphère.
Rockefeller le fêlé et Pasteur l'imposteur ont réussi à nous faire avaler des médocs chimiques
et de la nourriture bourrée de phosphates, ainsi que des vaccins qui ne servent
qu'à nous faire prescrire davantage de médocs.
Les nazis et leurs expériences dont nous ne savons pas grand chose, qui ont été,
et sont encore poursuivies de nos jours.
Les catastrophes industrielles qui ont pollué l'environnement naturel et les nappes phréatiques
ainsi que les catastrophes nucléaires. Etc.
Et, dorénavant, des "vaccins" géniques agissant sur notre ADN !
En ce moment, je me "débats" entre un besoin de sédentarisme (repos et repas équilibrés)
et le besoin de marcher encore, de découvrir de nouveaux paysages, etc. Le plaisir du nomadisme.
Je tiens compte du fait que c'est la période touristique : prix augmentés, voitures innombrables,
et plein de mondes un peu partout, causant et bouffant.
Tiens, une autre dichotomie en laquelle je nage, frétille : entre le besoin de sociabilité
et le besoin de solitude, de calme, de silence (pas de blablas et bruits naturels, oiseaux, cigales, etc.)
Questionnement : prendre plaisir à être avec les autres, et se retrouver à boire de l'alcool.
Pourquoi est-ce si difficile d'apprécier partager sans avoir à se saouler ni à "faire la fête", etc. ?
C'est dingue, j'étais encore en couple, donc depuis plus de vingt ans que je me questionne sur ce sujet :
pour quelles raisons est-ce que les autres sont dérangés que je ne boive pas d'alcool alors que de mon côté,
je m'en fiche qu'ils boivent ou non ?
Le périple continue,
enfin, si mon souci administratif s'arrange.
Pour l'instant, je remercie ma bonne étoile
et me sens plein de gratitude eu rapport à ce que je vis et découvre.
Marcher le jour.
Il faut dormir aussi.
Me suis arrêté dans un gîte abordable et dors...
dans une cabane construite dans un arbre !
Belles expériences.
Rappelles-toi
Rappelles-toi toi-même, le plus souvent possible.
Rappelles-toi à toi-même, à soi, à l'entièreté de ta personne,
car tu es une entité holistique vibrante
plaquant un accord harmonieux à au moins 3 notes :
- une note à basse fréquence, physique, matérielle, mécanique, tangible et mouvante,
où les apparences conformes mènent le bal des ombres ambitieuses, avides et cupides ;
 |
| Être son propre esclave : j'me suis noué des ceintures. |
Je commence cette publication par un souvenir d'adolescent (texte revu et raccourci
déjà paru vers 2013 sur mon premier blog) :
Attention ! Se méfier de ceux qui promettent le bonheur pour demain,
la paix, l'égalité, la fraternité, au nom de la liberté pour tous.
Le bonheur n'est pas une question de volonté mentale
ni de discipline ni d'obéissance à des "supérieurs".
Le bonheur n'est pas fonction de ses avoirs bancaires.
Le bonheur ne s'éprouve pas sur un lit de contradictions.
Choix, décision et sacrifice (renoncement à une option) s'imposent.
Mystère de la vie/mort.
De Esprit-Mystère Créateur,
nommé « Dieu » par l'humain,
proviennent des étincelles pouvant s'incarner dans la matière, et l'animer.
Terre : fréquence vibratoire intermédiaire
entre les hautes fréquences du Ciel
et les basses fréquences de la Lune (vie planétaire dépendant de la Terre).
Sur Terre, qui a donné vie à la Lune, se déploie une vie dite sus-planétaire
qui prend diverses formes : minérale, végétale et animale.
En Terre, des semences-étincelles d'Esprit prennent corps et s'animent.
Et l'âme fut.
Durant notre existence, une seule chose nous appartient : notre corps.
Prendre soin de son corps et y porter notre attention.
Grâce à cette merveille qu'est le corps, nous avons une conscience.
Conscience de soi et du monde, d'avoir un corps instinctif, émotif et intellectuel.
L'humain ne peut être réduit à son cerveau ou à sa pensée.
Le cerveau est l'aboutissement (à ce jour) du développement de notre corps à travers les millénaires.
Sans corps, pas de cerveau, ni conscience ni pensée ni calcul ni amour ni plaisir. Pas de vie.
Être et rester vigilant : "ils" s'en prennent à nos corps et conscience.
Les vaccinés et/ou pucés (RFID), continueront-ils de rêver ?
Triant mes livres, je suis tombé sur un ouvrage de J. Krishnamurti dont je ne me souvenais plus.
Le premier chapitre tombe à point par rapport à notre actualité, qui rancit et macère,
perdurant depuis plus d'un an !
Une crise en dissimule une autre (dans un autre domaine), et en prépare une autre ;
le tout pour permettre un Plan, maintenant révélé : de nouvelles règles de techno-jeu social sans monnaie.
Les mots suivants sont extraits du « Journal de Krishnamurti ». Ce dernier les a écrits en 1973.
Titre du chapitre copié : Une nouvelle conscience.
Une conscience et une morale totalement nouvelles sont indispensables
à l'avènement d'un changement radical au sein de la culture et des structures sociales actuelles.
C'est une évidence,
pourtant ni la gauche, ni la droite, ni les mouvances révolutionnaires n'ont l'air de s'en inquiéter.
Les dogmes, les formules, les idéologies, quelle qu'en soit la nature,
font partie de notre vieille conscience passée ;
ce sont des élaborations d'une pensée qui fonctionne de manière fragmentaire
– en politique, la droite, la gauche et le centre en sont l'illustration.
Cette activité parcellaire entraîne inévitablement des effusions de sang
orchestrées soit par la droite, soit par la gauche,
ou bien elle mène au totalitarisme.
Telle est la situation dont nous sommes témoins.
Nous voyons la nécessité d'un changement sur le plan social, économique et moral,
mais les réponses émanent de cette vieille conscience qui laisse à la pensée le rôle principal.
Le désordre, la confusion et la détresse qui sont le lot de l'humanité font partie du paysage
de cette vieille conscience, et, faute d'y apporter de profonds changements,
toute activité humaine – qu'elle soit d'ordre politique, économique ou religieux –
ne nous poussera qu'à une destruction réciproque et à l'anéantissement de la planète.
C'est l'évidence même pour tout être sensé.
Remarque : de « laisser le rôle principal à la pensée » signifie que l'ego (moi-je) commande en la personne ;
et ce rôle est joué, se le rappeler, dans l'abstraction, virtuellement (on abstrait une situation du réel
afin de conceptualiser, réfléchir, théoriser, idéaliser, etc.)
Ego : mensonge sur soi et manipulation de la perception du monde, par intérêts.
Être ou avoir, a écrit Erich Fromm.
Ego s'oppose à Être (Je) ; c'est-à-dire que, en chacun,
soit c'est l'ego qui mène la barque,
soit c'est l'Être.
Pas de compromis ni de juste milieu en ce choix essentiel, crucial, à faire.
Il faut être à soi-même sa propre lumière.
Note : en ce moment, le terme « souveraineté » est à la mode. Penser à établir des liens
et associations : être à soi-même sa propre lumière équivaut à être son propre souverain.
Cette lumière est la seule et unique loi : il n'en existe pas d'autre.
Toutes les autres lois émanent de la pensée, et sont donc fragmentaires et contradictoires.
Être à soi-même sa propre lumière, c'est refuser de suivre la lumière d'un autre,
si raisonnable, si logique, si exceptionnel, si convaincant soit-il.
Vous ne pouvez pas être votre propre lumière si vous êtes plongé dans les ténèbres de l'autorité,
des dogmes, des conclusions hâtives.
(...)
Être à soi-même sa propre lumière : là est la vraie liberté
– et cette liberté n'est pas une abstraction, elle n'est pas le fruit de la pensée.
(…)
Être à soi-même sa propre lumière, c'est s'être dégagé des structures mêmes de la pensée.
Au sein de cette lumière, il n'y a place que pour l'agir,
de sorte que jamais l'action ne peut être contradictoire.
La contradiction n'existe que lorsque cette lumière est dissociée de l'action,
lorsqu'il y a clivage entre l'acteur et l'action.
Tout idéal, tout principe n'est qu'un processus mental stérile,
et il ne peut coexister avec cette lumière – l'un est la négation de l'autre.
(…)
Seule compte la perception lucide, qui se confond avec l'action.
C'est à travers vos yeux que doit se former cette vision, non à travers ceux d'un autre.
Cette lumière, cette loi n'appartiennent ni à vous ni à l'autre.
La lumière – rien d'autre ne compte que la lumière. Voilà ce qu'est l'amour.
 |
Au fond, la vie sociale si vile est simple.
En relation, distanciée, que la personne soit masquée ou non :
- soit on a affaire à un salopard,
- soit on a affaire à un connard,
- soit on a affaire à un juste.
Nos relations autant interpersonnelles que sociales se résument à ces deux mots : mensonges et vérité.
Les salopards servent et se servent du mensonge enrobé d'expertises et de statistiques,
et les connards s'échinent à le répandre pour un supplément de carottes.
Ça craint.
Des personnes renommées, jusqu'ici pacifiques, ne voient plus d'autre solution que la violence.
Quel dommage que l'humain attende toujours la dernière minute pour réaliser et réagir.
Les réactions "au pied du mur" deviennent vite un tsunami.
Depuis que j'ai ouvert ce blog, je rends attentif sur le besoin d'exprimer la colère,
ce qui n'est possible qu'en l'accueillant (accepter et reconnaître que l'on est en colère) ;
et il faut en parler ou sinon, en faire quelque chose comme l'écrire, la peindre, la sculpter, la crier, etc.
Il en va de même pour toutes émotions déstabilisantes ou lourdes.
Une émotion cristallisée (non extériorisée, niée et contenue) devient sentiment durable.
Éviter la cristallisation d'une émotion, surtout si déplaisante ou volcanique (comme la colère).
Concernant un « Deep State », État profond en français :
il semblerait qu'une poignée de familles dirigent le monde depuis les coulisses.
Elles cultivent un esprit globaliste (pensée unique, mondialisme), eugéniste et transhumaniste.
De sûr, on y trouve notamment les familles Rothschild, Rockefeller, Soros, Schwab, la Couronne anglaise.
Le pouvoir du choix
Libre de pouvoir agir
Droit fondamental et inaliénable de pouvoir choisir ?
Je se demande :
parmi les plus de 75 % d'accros d'utilisateurs de smartphones,
combien choisiraient de s'en passer
plutôt que de se laisser submerger par le techno-IA-Système des pass, puces et codes numériques ?
Au choix de chacun :
avoir un smartphone
ou plutôt revenir aux libertés (de mouvement, de choix de consommation, d'expression, etc.) ?
Ce qui me fait penser que nous atteignons le fond de l'ignominie vicieuse de perversité sans limites
réside dans la formulation de leur Plan, dans les mots employés.
Un seul exemple : Klaus Schwab, "philanthrope" défenseur du vivant (se rappeler qu'il faut inverser)
a écrit un truc du style « vous ne posséderez rien, et vous serez heureux ».
Dégoût et rage
Contre moi, contre tout le monde.
Vivre l'instant, c'est aussi faire le point.
Que ressort-il de tout ce merdier organisé ?
Nous n'en sommes pas la cause, ça non.
Nous y participons pleinement, ça oui.
Nous voulons donc ça, dans nos têtes.
Vivre l'instant : mille fois oui,
je pense,
mais c'est plus facile à dire (ou à écrire) qu'à vivre.
Il est difficile de résister au courant de la conformité,
des soucis du quotidien et de la crainte de l'avenir,
à quoi s'ajoute plus d'un an d'hystérie collective qui dure et qui dure.
Avant-propos
1. Rappel (sujet souvent traité sur ce blog) :
l'humain est une trinité "êtrique" puisqu'il fonctionne sur trois plans vibratoires.
Par exemple, pour vivre l'humain a besoin de 3 sortes d'énergie différentes :
- de l'énergie provenant des aliments (fruits, céréales, etc.) ainsi que de l'eau ;
- de l'énergie affective circulant grâce aux sentiments partagés (qualité relationnelle, vie sociale) ;
- l'humain réfléchit et échange avec autrui des idées, points de vue et informations,
ce qui nourrit son esprit (à distinguer du cerveau ainsi que de l'activité mentale
qui ne font que mémoriser, calculer et rationaliser, même l'ignoble et insensé).
L'humain rassasié (ventre et affect) a besoin d'énergie dite spirituelle (notamment pour donner sens à sa vie).
En 1902, en France, le vaccin antivariolique a été obligatoire.
En 1920, les trois fameux "BCG-diphtérie-tétanos" deviennent obligatoire.
Cent ans de vaccination : déjà plusieurs générations vaccinées.
Saviez-vous qu'à ce jour aucun cas concret, réel, de tétanos n'a été observé ?
Des médecins notamment américains ont fait une recherche : aucun dossier de patient trouvé !
Le tétanos serait donc une infection théorique avec des maux et troubles imaginés !
Ces dernières années, sous prétexte que le vaccin 3 en 1 n'était plus disponible,
sans avertir la population,
les "médecins" injectaient un vaccin 5 en 1, plus cher.
La population a commencé à réagir.
Réponse du gouvernement Macron ?
11 vaccins obligatoires !!
Mutisme des français amenant leurs propres enfants se faire injecter divers germes de maladies,
sans parler des adjuvants et Science sait quoi d'autres.
Confiance aveugle en les préconisations "scientifiques" de Rockefeller.
Depuis fin 2020 : sous la trompeuse sainte dénomination de vaccination,
ils injectent un produit "thérapie génétique" ;
un produit dont les effets sont encore en cours d'expérimentation, phase 3.
Le terme de cette expérience inédite est fixé à... fin... 2022 !
Hein ? Quoi ?
Consentement éclairé du patient ?
Vraiment ?
Avis :
que ceux se faisant "vacciner" demandent à être payés, puisqu'ils sont des cobayes
utilisés dans le cadre d'une expérimentation génétique en laboratoire à ciel ouvert.
Pour quoi, au nom de quoi, une telle insistance à cette "vaccination" mondiale ?
Revenons aux années 1920
et considérons avec attention les incroyables ressenti et pressenti de Rudolf Steiner :
À savoir : nous avons des glandes régulatrices importantes dans le cerveau.
Les glandes pituitaire et pinéale régulent en grande partie notre processus hormonal.
Elles correspondent à un petit centre de pouvoir au sein de notre cerveau.
D’ailleurs, Descartes les a définies comme étant le siège de notre âme.
Ainsi, ce laboratoire chimique sophistiqué intervient dans des processus basiques
tels que le sommeil et la relaxation, le vieillissement, l’équilibre de la thyroïde…
L’être humain règle ses rythmes biologiques en synchronisation avec la nature.
La lumière du soleil configure ce canal qui stimule les petits noyaux de notre cerveau.
Les glandes pituitaire et pinéale sont comme des chefs d’orchestre.
Elles imposent un rythme parfait à notre croissance, notre maturité sexuelle,
notre température et même nos émotions…
Un quelconque déséquilibre impacte directement notre bien-être.
Du peu que nous savons au sujet de la glande pinéale :
une obstruction ou un dysfonctionnement de cette glande a pour conséquence
de nous couper de notre relation avec la conscience et la dimension spirituelle des choses.
Plus cette glande dysfonctionne et plus l'individu se robotise, dans le sens que son état d'être
conscient reste uniquement matériel (la conscience n'accède plus à la dimension spirituelle).
 |
| Le point lumineux situe la glande pinéale |
Nous pensons,
nous sommes donc humains
et non plus des animaux ?
... ?
Nous pensons le monde...
et le monde est à panser.
Nous pensons le relationnel,
et la politique nous embrouille l'esprit.
 |
| Pawel Kuczynski |
Nous pensons la morale,
et l'immoralité devient valeur en Bourse.
Nous pensons fraternité et démocratie,
mais le totalitarisme s'impose,
voulant enfermer chaque frère et sœur OGM dans une bulle aseptisée,
« pour pouvoir revenir à la normale et vivre comme avant »,
prétendent les scientifiques au nom de leurs dieux Gates&Cie.
Nous pensons liberté,
et nous allons bouffer une puce RFID pour qu'on ne nous perde plus de vue.
Nous pensons santé,
et les Big Pharma propagent les maladies.
Nous pensons santé alimentaire,
et nous ensemençons les nuages (ô, qu'c'est bô !),
en plus d'envenimer les sols et les cours d'eau.
Nous pensons, certes ;
peut-être un peu trop, non ?
Il est quelque chose d'important à comprendre au sujet des interférences.
Il y a des interférences provenant de l'extérieur (les infos de la TV*, par exemple)
et il y a les interférences que chaque individu génère lui-même, en son intériorité,
dans son rapport à lui-même.
Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au magazine Time,
et aux autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions
et respecté leurs promesses de discrétion depuis presque quarante ans.
Il aurait été pour nous impossible de développer notre projet pour le monde
si nous avions été exposés aux lumières de la publicité durant ces années.
Mais le monde est aujourd'hui plus sophistiqué et préparé à l'entrée dans un gouvernement mondial.
La souveraineté supranationale d'une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux
est assurément préférable à l'autodétermination nationale des siècles passés.
– David Rockefeller, Commission Trilatérale 1991
Boire Voir le verre à moitié plein :
ce qui est bien avec le port du masque obligatoire,
consiste en une protection contre la mauvaise haleine.
Certaines personnes ont une haleine... indescriptible : fétide, inhalant la pourriture.
Des haleines de charognes et des comportements de charognards.
- Ô immense et vénéré Maître Foudchoc...
- Eh bien, incommensurable et précieux idiot, que veux-tu ?
- Hum, oui,
j'me demandais si vous aviez un conseil à donner aux français et autres humains de la planète ?
- Bah..., euh..., bof..., un conseil ? ...
- ... ? ...
- Tiens, oui, voici un conseil pour ceux qui vivent dans une grande ville :
au lieu de continuer à enrichir les richissimes et faire tourner leur Machine démoniaque
qui va coloniser et prendre le contrôle de vos corps et têtes,
commencez donc à casser du goudron et y dégager de la terre
pour y faire pousser des patates, des carottes, du blé et vos indispensables tomates.
N'avez-vous pas remarqué que depuis mars 2020, depuis un an !,
nous vivons "en live" 24h/24h le test de Milgram ?
Son observation (de Milgram) se confirme dans le monde entier :
plus de 75 % d'entre nous obéissent aveuglément, sans se poser de question.
On se croirait dans un programme de TV-réalité genre "le loft".
Hallucinant (faut le vivre pour y croire) !
La plupart des angoissés hypocondriaques et anti-mort que nous sommes devenus
s'accroche et caresse constamment, sûrement pour se rassurer d'exister,
une plaque de métal à selfies, tenue dans l'une de leurs mains
sur laquelle, tels des Narcisse, ils se mirent et se mirent durant leur ceinte journée minutée,
agendée de plein de contacts, en plus de leurs innombrables e-contacts. Que de connexions ! Orgiaque !
Qu'est-ce qu'on "progresse" bien et vite,
avec autant de mondes pas « cas contacts » et "connectés",
en se sentant seul et désemparé dans sa cellule TV-Internet inclus,
pendant que des "scientifiques" « ensemencent les nuages » (ô, orgasme poétique)...
Accolade
- Yo, ça roule ?
- Putain, ça fait du bien de se toucher, de voir ta sale face de rat sans masque,
et de m'étendre près de toi. T'as pas peur au moins ?
- Peur de quoi ? De tes microbes ? De mourir ?
- Ouais, au final c'est bien de mourir qu'il s'agit.
Un vieil indien explique à son petit-fils
que chacun de nous a en lui deux loups qui se livrent bataille.
Le premier loup représente la Sérénité, l'Amour et la Gentillesse.
Le second loup représente la Peur, l'Avidité et la Haine.
« Lequel des deux loups gagne ? » demande l'enfant.
« Celui que l'on nourrit » répond le grand-père.
– Sagesse amérindienne
C'est fou, visionnaire de la part des humanistes de la fin du XIVème siècle*,
ils ont vu, pressenti, ce que deviendrait l'humain du XXIème siècle,
euh, non pardon, le transhumain transgenre
(de l'écrire a modifié mon état de conscience,
hypnose quand tu nous tiens),
en dessinant l'arcane le Diable
portant le nombre XV (10 = 1 + 5 = ...)
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Note
* L'origine des arcanes majeurs du Tarot reste inconnue.
Il se pourrait que ce soient des humanistes italiens qui les ont créé.
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Les femmes, ont-elles une façon propre de penser le monde et de réfléchir ?
D'après le dictionnaire, il y aurait deux formes d'intelligence :
- l'intelligence pratique, associée aux femmes,
- l'intelligence conceptuelle, associée aux hommes.
Rappel : il est dit dans la Genèse qu'Eve a été extraite de la hanche d'Adam.
La femme serait donc "un produit" créé à partir d'un homme ?
Au niveau du penser et de l'esprit (à distinguer du cerveau),
on pourrait comprendre que la femme réfléchit (conceptualise) en suivant le modèle des hommes.
Pour le dire autrement,
les hommes ont appris aux femmes à penser (conceptualisation)... comme eux.
Au début de l'écriture, qui ont écrit de "saintes écritures" et des lois et des actes de propriétés ?
Qui avaient accès aux études ?
Principalement les hommes, n'est-ce pas ?
Qui sont devenus obsédés et fanatiques des mathématiques ?
Les hommes.
Les transhumanistes ont reconnu que la plupart d'entre eux sont des hommes.
Nous vivons dans un monde pensé et voulu par les hommes.
Les femmes y pensent comme des hommes leur ont appris à procéder.
Le jour où les femmes se réapproprieront leurs corps
et imposeront leur façon propre de penser le monde,
alors beaucoup de choses trouveront un meilleur équilibre, je pense.
Traitez les gens comme s'ils étaient ce qu'ils devraient être
et vous les aiderez à devenir ce qu'ils peuvent être.
– Goethe
Pawel Kuczynski
6. Et pourquoi, à quelle fin, de la censure ?
Rien à se reprocher, rien à censurer.
7. Âme-haine
 |
| Pawel Kuczynski |
Mise à part de notre conditionnement intergénérationnel,
que chacun peut changer*,
l'unique chose dont nous sommes victimes nous ramène, comme un boomerang, à nos choix et décisions.
En chaque choix et décision que nous agissons se trouvent les châtiment et récompense.
Justice immanente.
C'est Paul Diel qui m'a confirmé ce que je ressentais sans parvenir à en parler (conceptualiser) :
de chacune de nos décisions se déploie des conséquences ; ce que nous considérerons par la suite
comme étant négatif, malchance, échec, punition ou sinon, positif, chance, réussite, récompense (à nos efforts).
En cas d'agression l'animal réagit de 3 façons :
- la défense (la contre-attaque, par exemple) ;
- rester figé (se tenir immobile, en attendant que le danger s'éloigne ou que l'agression se termine) ;
- la fuite (notons que la fuite peut être psychologique : je fais allusion au mystère du détachement
du corps, c'est le principe du traumatisme et de la perte de mémoire conséquente).
La vengeance sert au ré-équilibrage : en effet, en cas d'agression,
la victime est déséquilibrée par l'agresseur.
La vengeance consiste donc, pour la victime, à retrouver un équilibre.
Il s'agit de rétablir les choses, comme on dit.
Se questionner, chacun,
et penser, ensemble, à la vengeance ou au pardon.
Tous deux, vengeance ou pardon, influent directement sur les sentiments inhibiteurs de culpabilité
et honte (honte d'avoir subi un dommage ou une violence) aussi, par conséquent,
cela influe sur nos humeur, état d'esprit, comportement et raisonnement.
Acte de pardonner : renoncer à punir la faute.
Il est important de saisir que pardon et vengeance impactent sur notre estime de soi ;
estime de soi qui est centrale en toute personne.
L'estime de soi peut être considérée tel l'axe ou essieu de notre bien-être (santé, force,
confiance en soi, capacité de penser et de prendre des initiatives, d'être créatif, persévérant, etc.)
On ne peut manipuler que celui qui est un imbécile ;
et que même un idiot,
on ne le trompe jamais éternellement.
‒ Sagesse Kongo
 |
| Pawel Kuczynski |
Et le Verbe fut.
Il fut... à quelle fin ?
Pour manipuler le peuple ?
Le pouvoir subjuguant des mots,
d'autant si prononcés d'une certaine façon, dans une certaine ambiance,
durant un rituel remis constamment en scène de la même manière…
Transe collective.
Saviez-vous qu'en technique de mise sous hypnose un seul mot entendu, par exemple à la TV,
peut modifier instantanément votre état de conscience ?
Peu ont été les artistes "people" à réagir à cette pseudo pandémie et à ses conséquences,
puis à exprimer leur sentiment en utilisant leurs arts ;
pourtant, la "grande réinitialisation" comporte également un point concernant la main mise sur la culture ;
aïe, vous y penserez peut-être lorsque vous prendrez conscience
que les artistes sont des esclaves comme les autres.
Notons en écoutant ce qui suit,
qu'il arrive (trop) souvent que les accusateurs soient eux-mêmes les coupables
ou instigateurs de l'objet de leurs accusations.
Il s'avère maintenant irréfutable que les élites complotent contre plus de 7 milliards d'humains,
pendant que leurs fifres et sous-fifres accusent les chercheurs de vérité de...,
ben oui, y sont pas créatifs ni intelligents (c'est pourquoi ils ont tant besoin d'IA),
de complotisme ou de théorie de la conspiration.
Voix à J.-M. Bigard, en rage justifiée (et partagée par certains),
ainsi qu'à quelqu'un qui l'a remixé en y ajoutant un fond musical.
Morceau entendu à la fin du film "Hold-up+" que je vous encourage à voir-écouter
(ça peut aider à garder le cap du Bon Sens).
On s'enlise et la peur étend son emprise.
Nous sommes dotés de 5 sens de perception pour interagir avec l’extérieur, avec le monde naturel.
Ce sont les : vue, ouïe, odorat, toucher, goût.
Depuis longtemps j’entends parler d’un sixième sens. Certains le désignent par « troisième œil ».
Il se pourrait que le « voir » exprimé notamment par les Natifs d’Amérique puisse être relié au sixième sens.
Pour ma part, dans ce blog, j’écris souvent « sentir » (en italique, le distinguant ainsi des sens externes)
pour évoquer que nous avons également des sens internes nous permettant de ressentir le monde.
Beaucoup d'entre nous savent qu'ils ont raison de se comporter docilement tels de fiers crétins savants ;
ils en sont sûrs et certains, d’avoir raison de penser comme ils pensent, « c’est scientifique », clament-ils.
Et ils ont peur d’ils ne savent pas quoi au juste concernant le monde (ou dimension) microscopique,
dont même les grands experts ne savent pas grand-chose, en dehors du regard de leur microscope high-tech.
Ils sont angoissés de « tomber malade », comme si c’était la pire des épreuves,
qui aurait comme conséquence... quoi ?
C’est sûr qu’un ou deux jours de fièvre, en devant rester alité,
quelle horreur inadmissible !
Bah, rassurez-vous, arrivent les robots qui ne tomberont pas malades, jamais,
mais qui boggeront probablement…
Je pense que notre plus gros problème, notre pire conditionnement, se résume à :
notre relation à l’autorité.
Observons les derniers animaux sauvages pour constater que :
cette notion d’autorité (récente, datant de 960 après J-C) est purement mentale.
Bien-sûr, nous pouvons observer un et une alpha chez les loups, par exemple,
cependant est-ce que l’un de vous a vu ces derniers abuser de leur pouvoir ?
Est-ce que l’alpha fait régulièrement des crises d’autorité à sa meute, genre
« vous devez m’obéir, je vous suis supérieur, je veux que vous me fassiez des courbettes » ?
L’alpha n’impose pas à la meute de vivre selon sa conception des choses. Etc.
Pas de pyramide hiérarchique dans la Nature.
« Depuis qu'on porte des masques, tous les masques sont tombés »
‒ Rav Haïm Dynovisz (un déçu de la politique de son pays, Israël,
« à la solde des gouvernementaux occidentaux » ;
ou, peut-être, M. Dynovisz, "complice" des occidentaux ?)
Liens
Le sujet du masque m'inspire depuis quelques années, puisque sous le masque sanitairement indispensable,
sans preuve, nous devions déjà porter un masque de convenance (notion psychologique de persona) :
* Âme de souk, persona
* Non au voile, oui au masque (écrit en 2017)
* Masque sur masque
* Derrière le voile
+ Les médias officiels du monde entier, travaillent-ils de concert ?
Titre : Ceci n'est pas un complot, de Bernard Crutzen
(Prévoir ~1h10) :
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Qu'est-ce qui, quoi, nous sauvera ?
Qui nous sauvera ?
On peut toujours espérer et attendre un secours extérieur, un programme politique parfait,
un coup d'État, un miracle...,
pendant que "eux" continue à mettre en place leur Plan,
avant et après avoir violé, peut-être torturé et tué quelques-uns de vos enfants et adolescents.
Aimez-vous vous-même,
ainsi vous serez amenés, naturellement, à respecter toute forme de vie,
et cette autre merveille qu'est notre semblable qui, le plus souvent, ne le sait pas,
ne se respecte pas, trop tourné qu'il est vers l'extérieur (à lui-même) en espérant un mieux,
en stressant pour sauver... son image sociale, son confort et ses mauvaises habitudes addictives.
Et si c'était vous, toi, qui nous sauverez tous ?
Que diriez-vous si, multimilliardaire, j'annonçais que dorénavant pour pouvoir vivre "normalement"
il faut que toute la population de la planète entière accepte de se mettre, à vie, une bille dans l'anus ?
Questionnement :
Que penser d'une femme, informaticienne de métier,
mariée à un informaticien, riche fils de banquier,
‒ qui n'a même pas créé le système d'exploitation Windows (!) ‒
que penser de leur ... désir ?
Caprice ?
Lubie ?
Vœu ?
Rêve ?
Volonté ?
Volonté philanthropique, à n'en point douter, surtout envers « les pauvres et les noirs ».
Introduction
Trois notions découlent de l’Ego : l'égoïsme, l'égocentrisme et l'égotisme.
J’ai relu les définitions et il me semble que la différence entre égoïsme et égocentrisme n’est pas claire,
insuffisamment distinguée.
Note : on observant les autres animaux ou les arbres, on voit qu’ils sont égoïstes, non ?
L’égoïsme consiste à penser à soi, à ses intérêts personnels.
Contrairement à ce que relève le dictionnaire, l’égocentrisme me semble être davantage
que de penser à ses intérêts puisque l’égocentrique ramène tout à lui,
au point qu’il n’hésite pas à modifier des faits afin de s’assurer le bon rôle, la bonne place.
Pour l’égocentrique, le monde tourne autour de son nombril ; ce qui n’est pas le cas pour l’égoïste.
Rappel d’un b. a.-ba, de niveau d’âge mental d’environ 12 ans :
« Tomber malade », une expression maladroite, est tout-à-fait normal.
Se comporter de façon hystérique face à une grippe est tout-à-fait anormal.
Pire, sur le plan psychologique, ce qui se passe depuis mars 2020 est carrément inquiétant
pour notre santé ainsi que pour la suite, pour les années à venir.
Plus nous aurons peur d’être malades, plus de gens seront malades.
Idiocratie, pathocratie, totalitarisme
et dictature sanitaire (pour imposer un nouveau modèle économico-industriel).
Est-ce cela que nous voulons vivre en 2021, 2022, … ?
Je ne sais pas la distance
Pour moi il n'y a pas de séparation
J'ai appris à mes dépends
Qu'il n'en est pas de même pour tous.
Maintenant la distance est celle que l'autre pose
Moi, je m'en fous.
‒ Miche
* * *
Sous « commentaires » de la publication de Miche :
Eric E : il m'est arrivé souvent de me sentir à grande distance de personnes
avec qui je me trouvais en présence physique...
Miche : Oui ... parfois même le sentiment de ne pas appartenir au même monde...
Mais ce sentiment d'étrangeté vient-il de toi ou de l'autre ?
Arrêt-image sur une situation socio-politique
traitée avec esprit binaire assisté IA,
esprit toujours ambivalent
qui sépare tout entre rentable et nuisible :
En France,
nous ne pouvons même pas parler d'euthanasie (pratiquée dans certains pays),
tout en cultivant des idées eugénistes !
Euthanasie : non.
Eugénisme : pourquoi pas ?
Et, d'une pierre deux coups,
en profiter pour faire des expériences©Bill Gates inédites,
bonnes pour tous (les rescapés collaborant).
‒ Extraits de l'ouvrage de Andrew M. Lobaczewski intitulé : La ponérologie politique. ‒
(Les présentation et mises en caractères gras sont de mon fait)
En ce moment nous sommes tous affligés à cause d'une soi-disant pandémie.
La peur rend la plupart hystérique (nous verrons plus avant dans les extraits d'où nous vient
cette tendance à l'hystérie), un phénomène macro-social de ponérologie :
Lorsqu’un processus ponérogénique affecte toute la classe dirigeante d’une société ou d’une nation,
ou bien lorsque l’opposition par des sociétés de gens normaux est entravée (en conséquence du caractère
de masse du phénomène ou bien du recours à la fascination et à la contrainte physique),
nous sommes en face d’un phénomène ponérologique macro-social.
(…)
Ces observations (menées sur de petits groupes) nous permettent d’hasarder une hypothèse :
il se peut que les lois générales de la ponérogenèse soient toutes analogues,
peu importe l’importance et la portée du phénomène dans le temps et l’espace.
(…)
(…) deux phases (de la ponérogenèse).
La première est une période de crise spirituelle d’une société
que l’historiographie associe au déclin des valeurs idéologiques, morales et religieuses
qui jusque là alimentaient la société en question.
L’égoïsme augmente parmi les individus et les groupes sociaux,
les liens du devoir moral et des réseaux sociaux se relâchent.
Des sujets insignifiants dominent ensuite le mental des humains
jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de place pour l’imagination par rapport aux affaires publiques,
ou un sentiment d’engagement par rapport à l’avenir. (…)
Nous pouvons associer ces périodes de crise à la phase bien connue de « l’hystéricisation sociale ».
Que se passe-t-il de par le monde ?
Pourquoi tout ça ?
Pour quoi, au nom de quoi et à quelle fin ?
« Atteintes à nos libertés », clament certains.
Liberté ?
Kesako ?
‒ Extraits de l'ouvrage de Andrew M. Lobaczewski intitulé : La ponérologie politique. ‒
A. Lobaczewski détaille quelques techniques utilisées par les psychopathes
(penser à établir des parallèles, par exemple avec les discours médiatiques) :
« Blocage inversif » : Le fait de faire valoir avec insistance quelque chose qui est à l’opposé de la vérité
empêche le mental de l’homme moyen de percevoir la vérité.
Au nom d’un sain bon sens il s’efforce de trouver la "juste moyenne" entre la vérité et son opposé,
et finit par trouver une contrefaçon relativement satisfaisante.
Les gens qui pensent ainsi ne réalisent pas
que c’est précisément l’intention de la personne qui les a soumis à cette méthode.
L'intention technocrate :
 |
| Pawel Kuczynski |
* * *
L'idéal technocrate :
 |
| Pawel Kuczynski |
C’est maintenant flagrant que nous ne savons pas prendre soin de nous-mêmes.
Effarant ! Consternant.
Maman, papa, au secours : nous sommes des incompétents ignares et irresponsables !
À quel moment devient-on un collaborateur de la ponérisation
(participation à la diffusion ignominieuse du mal) ?
Comment déterminer si on est devenu un collaborateur ou non ?
Chacun devrait se poser cette question en son for intérieur.
‒ Extraits de l'ouvrage de Andrew M. Lobaczewski intitulé : La ponérologie politique. ‒
Voyons un autre paragraphe décrivant la différence entre l’attitude d’un névrosé
et l’attitude d’un psychopathe :
Le patient névrosé est généralement taciturne et (il rencontre difficulté) à expliquer
ce qui lui fait le plus mal. (…)
Les névrosés se sentent extrêmement coupables d’actes qui pourraient être aisément pardonnés.
Ces patients sont à même d’éprouver un amour profond et durable,
mais ne parviennent pas à l’exprimer ou à réaliser leurs rêves.
Le comportement du psychopathe est aux antipodes de ces phénomènes et difficultés.
Le premier contact se caractérise par un bavardage qui coule avec aisance et évite les sujets
très importants (…), (et aussi) les sujets dont la représentation est absente de sa vision du monde.
Depuis que j’ai vu que même Nagui se faisait vacciner,
je me suis inscrit afin d’être certain d’y passer rapidement
et de peur « qu’il n’y en ait pas pour tous ».
Principe de précaution, prévoir à l’avance, s’assurer de faire partie des premiers de cordée.
Conformité. Foi en Nagui. Foi en Notre Gouvernement. Foi en l’OMS à Bill Gates.
Vivement le pique-pique dans le bras
et l’invasion d’extra-ARNs dans mon corps.
Mon système immunitaire le mérite bien.
J’ai le trac, comme avant de monter sur scène,
et mes anticorps qui s’impatientent. Du calme là-dedans.
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Pitoyables nous sommes, les humains.
Un exemple :
Il est dit que pour voyager notamment en avion
il faudra être vacciné et avoir le passeport numérique (avec validation sanitaire).
Ok
Pourquoi pas, penseront les plus anxieux, pourvu qu’on puisse re-voyager comme avant.
Sauf que une question en dissimule une autre :
quel plaisir aurons-nous à voyager si, partout dans le monde,
on retrouvera la même cryptomonnaie, la même cuisine, les mêmes boutiques avec les mêmes prix,
le même langage, la même culture (programmes de théâtres, expositions de peintures, etc.) ?
L’inconscient est Mystère.
Matière et vacuité ;
jour, visibilité, et nuit noire ;
conscience et inconscient ;
logique et alogique ;
raison et mystère…
L’inconscient se définit par rapport à la conscience.
Tout ce qui n’est pas conscientisé est inconscient.
Vaste, infini, insondable est l’inconscient.
À la place de l’image de l’île (conscience) au milieu de l’océan (inconscient),
on peut aussi visualiser l’univers : la conscience y serait la planète Terre
et l’inconscient engloberait toutes les constellations dont nous ne savons rien.
La logique est une hypothèse comme une autre.
‒ Miche
Il y a logique rationnelle, propre à chacun,
et il y a logique fonctionnelle, "mécanique".
En effet,
on peut parler de « logique » pour désigner l’enchaînement des phénomènes
(que ce soient d’un discours, d’actes, de gestes, de l’application d’un plan, etc.)
Dans ce cas, avec ce regard, la logique ne fait allusion ni à une théorie ni à un dogme,
mais à un constat d’enchaînement fluide et harmonieux des événements.
Par exemple, si je plante des semis en terre, logiquement quelques-uns vont germer
et ils seront d’abord des pousses fragiles, etc.
Si de terre surgit un arbre, ce ne serait pas logique.
Un processus de développement se déroule de façon logique, en suivant des étapes.
‒ Extraits de l'ouvrage de Andrew M. Lobaczewski intitulé : La ponérologie politique. ‒
A. Lobaczewski poursuit son ouvrage en abordant les effets nuisibles des drogues licites :
Depuis plusieurs décennies,
la médecine utilise une série de drogues susceptibles de déclencher des effets secondaires graves :
elles attaquent le système nerveux et laissent derrière elles des dommages irréparables.
Ces handicaps généralement discrets donnent parfois lieu à des modifications de la personnalité
qui peuvent être socialement très dommageables.
Question : par « ces handicaps généralement discrets », faut-il comprendre que la plupart d’entre nous,
au quotidien, ne remarquons pas les personnes ayant un comportement déviant ou inquiétant ou bizarre
(ce qui expliquerait en partie le fait que les psychopathes agissent non seulement en toute impunité
mais que la plupart d'entre nous les écoutent, les trouvent brillants et leur obéissent) ?
Comme relevé, la psychiatrie ne fait aucun progrès depuis plus de 100 ans.
Régulièrement, elle renomme, "re-classe" les psychopathologies.
Par exemple : un maniaco-dépressif se dit aujourd'hui un bipolaire.
Néanmoins, l'unique question essentielle (à mon avis) reste à solutionner : comment accompagner
sur la voie de la guérison (meilleur équilibre) un maniaco-dépressif, par exemple, (rôle de la médecine) ?
On n'en sait pas plus à ce sujet, sauf qu'il y a des médicaments à prescrire.
Une psychopathologie, à une époque, désignait une maladie mentale.
Logiquement, un psychopathe désigne une personne souffrant de troubles mentaux, psychiques.
La maladie mentale "névrotique" n'est pas grave dans le sens que la personne peut se soigner
(psychothérapie, par exemple) et, surtout, elle reste bien ancrée dans la Réalité.
La maladie mentale "psychotique" est grave car la personne évolue en ne tenant pas compte de,
ou en transformant, la Réalité. On peut dire (en simplifiant un maximum) que :
un psychotique a tendance à prendre sa réalité pour la Réalité.
‒ Extraits de l'ouvrage de Andrew M. Lobaczewski intitulé : La ponérologie politique. ‒
Les causes de déviance peuvent être biologiques, selon l’auteur qui a observé cliniquement que :
Le tissu cérébral est très limité dans sa capacité de régénérescence.
L’importance et les fonctions du tissu cérébral sont les suivantes :
Le tissu cérébral intact conserve les propriétés psychologiques naturelles de notre espèce.
Cela est particulièrement évident dans les réactions instinctives et affectives,
qui sont naturelles mais souvent insuffisamment contrôlées.
