La peur est la petite mort qui conduit à l'oblitération totale. La peur tue l'esprit.
J'affronte ma peur. Je lui permets de passer sur moi, au travers de moi.
Et lorsqu'elle sera passée, je tournerai mon œil intérieur sur son chemin.
Et là où elle sera passée, il n'y aura plus rien. Rien que moi.

jeudi 23 juin 2022

Imagination bridée, étroitesse d'esprit

 
L'humain se distingue des autres animaux par le développement de son intellect, permettant :
son activité mentale capable d'abstraire et de calculer, ses capacités à conceptualiser
et à réfléchir sur une façon de réagir ainsi que pour élaborer des stratégies d'action, etc.

Il est une autre capacité qui distingue l'humain des autres animaux : son imagination.

À savoir ou à se rappeler : l'imagination peut se révéler morbide ou créative.
Les stimulation et orientation de l'imagination vers la morbidité ou la créativité dépendent de chacun :
de nos croyances et façons de fonctionner, ainsi que de notre mode de régénération, de récupération (de se "ré-énergiser", de récupérer des forces) notamment par la façon de nourrir nos trois corps (physique, émotivo-affectif et spirituel) et encore, de se reposer.

On peut rattacher à l'imagination les fantasmes sexuels et égotiques, les hallucinations (en cas d'épisode délirant), les idéologies comme celle de croire en un Dieu barbu ou encore,
comme de croire qu'en sacrifiant un enfant ou un être humain, on vivra plus longtemps.

Notons que les croyances, souvent abstraites, sont rendues possible par l'imagination :
par exemple, d'avoir imaginé des anges et archanges au côté d'un Dieu barbu
ou, plus récemment, de s'imaginer un humain fusionnant avec une machine à IA.

Il est intéressant de considérer la seconde séphira (en partant du bas) de l'arbre de vie cabalistique.
La première sephira est « Malkout, le Royaume » : la Terre, le domaine des 4 éléments (4 états matériels)
constituant le corps et l’univers visible ; l'accumulation de toutes les énergies, actives et passives ;
et, en l’humain, sa nature profonde
.
Maintenant, considérons attentivement la seconde séphira et ses connections :
Yesod, la Fondation ou le Fondement : l'imagination ; l'ego ou persona (image de soi et défenses psychiques
servant à protéger et pouvant emprisonner tout à la fois la nature essentielle de l’individu) ;
l'élan de vie (sephira qui ouvre ou non les portes sur le monde) ; la sexualité ; le reflet de reflet (de Kether,
se trouvant au sommet de l'arbre de vie)
.

NB : l'ego est produit de l'imagination (selon la Cabale).


L'imagination influe sur notre santé tant psychique que physique.


Pour être « ouverte » et créative, l'imagination a besoin que l'individu fasse tabula rasa : qu'il se détache du passé
et du connu (dont il a tiré une leçon en ayant compris ses erreurs), en calmant son émotion
et en se détendant le corps, en lâchant prise mentalement (des ruminations, commentaires,
opinions et autres blablas ou images récurrentes).
Respirer. Respirer profondément. Faire le vide. Respirer profondément en restant détendu.
Il s'agit de comprendre que sans stimulation, l'imagination devient morbide au fil du temps
à cause des répétitions de schémas obsolescents et aussi, à cause de la pauvreté de "nourriture"
subtile (émotivo-affective, philosophique et spirituelle).
En ne la stimulant pas consciemment, l'imagination opère inconsciemment, pour le meilleur ou le pire.
Par manque d'interaction (en soi-même, avec soi-même) et de saines nourritures subtiles,
l'imagination ne peut que devenir morbide à plus ou moins long terme et, comme vu avec la séphira Yesod, l'imagination reste « fermée au monde » (vue d'esprit étroite, hyper rationnelle, conditionnée
et conforme à la mode culturelle et "scientifique" du moment).
Un exemple : se laisser aller à assouvir toujours plus de stimuli sexuels ne stimule que la part morbide
de l'imagination (les fantasmes). Par contre, découvrir de nouveaux plaisirs et positions sexuelles
stimule la part créative de l'imagination.
Saisissez-vous la nuance ? 


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lundi 20 juin 2022

Espérer... vivre

 


L’espoir, fait-il vivre ?

Quelques proverbes à ce sujet :

« L'espoir fait vivre ».
« Tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir ».
« L'espoir est le pilier du monde »
(! ... ? Ben ça alors !)


Les autres formes de vie et animaux, espèrent-ils quelque chose ?

Espérer... quoi ?
Puisque l'on vit – ce qui est merveilleux, extraordinaire – on ne peut qu'espérer... mourir la conscience en paix.

Le plus souvent, on espère ce que l'on n'a pas et/ou ce que l'on n'est pas. Profond sentiment d'insatisfaction.
En cas d'insatisfaction, plutôt que d'espérer, il vaut mieux réagir et agir,
en commençant par se remettre en question notamment concernant ses choix,
sa façon de se nourrir (corps, affect et esprit), son comportement et son mode d'être en relation...
Apprendre à se connaître et à oser dire NON selon son ressenti, quand nécessaire.

C'est lorsque l'on s’ennuie ou se sent insatisfait qu'on commence à espérer un mieux, autre chose,
un autrement ou un ailleurs. Par exemple : on espère s'améliorer ou que la chirurgie esthétique
nous rendra plus beau et désirable, ou que demain on devienne plus intelligent et riche, etc.
Inacceptation et rejet de qui l'on est, de comment Dieu (ce qui dépasse notre entendement) nous a fait.

Les croyants (d’une religion) espèrent que Dieu fasse ceci ou cela,
que Dieu reconnaîtra (quand ?)  les gens bons et les distinguera des autres,
et qu’après la mort il y aura un paradis ou, pour le moins, le purgatoire.

Lorsque l'on s’efforce d’être gentil, poli et conciliant, on espère, consciemment ou non,
une sorte de récompense : que les autres s’en rendent compte, qu’ils en soient reconnaissants,
ou qu’on plaise et soit apprécié par des "supérieurs" hiérarchiques,
que Dieu nous distingue et protège davantage que les autres, etc.

L'espoir signale qu'on peine à accepter ce qui se passe, ce qui est,
c'est-à-dire le déroulement des événements (dont on oublie souvent notre part de responsabilité).
L'espoir nous maintient dans l'inaction ainsi que dans l'abstraction (évoluer hors Réalité).
L'espoir, rend-il psychotique ?
Un bon exemple me semble être celui de la secte des transhumanistes qui renient l’œuvre de la Nature,
du Ciel et de la Terre (de Dieu), qui jugent l'humain imparfait, qui espèrent un humain obéissant
à « augmenter », et que les élites soient immortelles. Espoir de devenir des dieux.
Délire et mégalomanie.

L’espoir nous projette en avant, dans le futur – ce qui est rejet du présent, de "ce qui est ici et maintenant" –
avec le désir d’un mieux et d'un plus, ce qui ramène au sentiment d'une profonde insatisfaction.
L’espoir nous rattache de la sorte à des idéaux, des ambitions et désirs : j’espère qu’elle/il m’aime,
j'espère devenir P-DG (pour le moins) et être riche.
J’espère que mon enfant sera avocat et heureux dans une maison avec piscine. Etc.


Certains pensent sûrement : d'accord, l'espoir nous joue des tours, mais il y a l'espérance.
Selon moi, kiffe-kiffe, virevolte mentale. Certes, l'espérance comprend le sentiment de confiance en l'avenir,
ce qui est semblable à la foi, mais, pour le reste, l'espérance est pareil à l'espoir (cf. les définitions du dico).

Je vais jusqu’à penser, à ce jour (ce n’était pas le cas auparavant),
que l’espoir égare l’esprit et nous empêche d'agir avec bon sens ainsi que de réagir à nos dysfonctionnements
et face aux dysfonctionnements du Système sociétal ! L'espoir, rend-il docile ?
L'espoir nous fait accepter l'inacceptable, en se convainquant que demain sera mieux
grâce à on ne sait quel tour de passe-passe fantastique ou sinon, grâce à un sauveur.
Pensée magique de l'enfant immature.


Lorsque l'on vit pleinement d'instant en instant, intensément, on n’y pense pas à l’espoir, n'est-ce pas ?
C'est donc lorsque l'on se sent insatisfait de son mode de vie – de ses choix effectués – ou sinon,
de qui on est comme on est, qu'on espère autre chose.
Espérer provient de notre hyper activité mentale et aussi, de nos désirs frustrés.


Comme digestif, voici un commentaire (situé sous les proverbes) d'un Mr Chalopin qui prétend que :
« L'origine de cette expression (l'espoir fait vivre) est toute autre.
Elle nous vient du vieux François et de ses amours éthyliques.
On la retrouve déjà au XVe siècle dans les poèmes de François Villon : l'eau d'es poires ou eau de vie de poire.
Les siècles auront eu raison de cette nouvelle tournure comme bien d'autres expressions françaises (…)
Ce n'est donc pas l'espoir, mais bien "les poires qui fait (font) vivre »
.

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Lien

* Espoir, danger

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samedi 18 juin 2022

Chercheurs de vérité

 



La vie étant mouvement et donc, changement constant, les formes se renouvellent à chaque instant.

Ce qui était vrai hier ne l’est plus forcément aujourd’hui.

Ce qui semble juste aujourd’hui ne le sera plus forcément demain.


En la vie donnant forme à la matière, une essence.
Il s'agit de distinguer le fond (l'essentiel) de la forme
forme qui n'est qu'apparence momentanée.

L’essence des choses ne paraît pas subir le temps,
contrairement à la forme que prennent les phénomènes ;
c’est la raison pour laquelle il vaut mieux douter, rester sceptique
car, au niveau des formes, la vérité ne peut que se révéler multiple et changeante.
Il se pourrait que l’essence des choses se transforme également, mais ses rythme et processus
de transformation semblent se dérouler beaucoup plus lentement que pour les phénomènes.

À partir de ces observations, nous pouvons postuler que :

La vérité ne peut avoir été énoncée et écrite une fois pour toute
(je pense notamment aux livres saints).
La vérité n’est et ne sera donc jamais acquise une fois pour toute.

Bien que cela puisse paraître inconfortable, il nous faut l'accepter et rester souple et vierge d'esprit.

La quête de vérité est un combat quotidien qui nécessite une grande capacité d’adaptation
face aux incessants changements de formes, ce qui implique une rigoureuse détermination
mobilisant la faculté de l’esprit critique en ne se laissant pas enfermer par des jugements
ni des certitudes ni des savoirs qui sont éphémères.

Égarés depuis des millénaires, nous avons besoin de vérité,
vérité sur soi-même et sur le fonctionnement du monde,
ce qui mobilise toute notre personne : nos sens, notre instinct, notre ressenti, notre raison,
ainsi que de l’intuition.

L'humain devrait apprendre à diriger et focaliser son attention sur l’essentiel plutôt que sur la forme.

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Lien

* De la vérité

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jeudi 16 juin 2022

Vampirisation énergétique

 

Le langage limite et, souvent, nous embrouille l'esprit ;
esprit lui-même embarrassé par l'activité mentale et l'immaturité émotionnelle.


Il est important de distinguer le pouvoir personnel  du pouvoir s'exerçant sur autrui,
pouvoir rendu possible notamment par l'argent et la renommée
ainsi que par une méconnaissance au sujet de notre pouvoir personnel.

En société, le pouvoir sur autrui n’engendre que compétitivités, corruption, mésententes,
clivages, abus, excès, incompréhensions, disputes et guerres, injustices, iniquités,
déséquilibres, agressivité, brutalité et violence.

Le pouvoir est généralement et quasi automatiquement associé à la domination.
La domination n’est rendue possible que par les mensonges et tromperies ainsi que,
de façon subtilement retorse, par le conditionnement de nos esprits, dès notre plus jeune âge,
à la soumission face aux autorités et aux experts, spécialistes, etc. ; de la sorte, ce conditionnement
nous laisse dans l'ignorance concernant notre potentiel, ce qui nous rend dociles et malléables.

L'influence sur autrui permet d'imposer ses vision du monde, croyances, volonté et desiderata.
Toutefois, plus une personne a conscience de son pouvoir personnel, moins elle se laisse influencer et soumettre.
Je veux dire que toutes ces personnes qui obéissent aveuglément n'ont pas suffisamment conscience
de leur propre pouvoir
.

NB : ni la monnaie ni l’or ni la renommée ne procurent de pouvoir personnel.
La richesse génère uniquement un sentiment  de puissance.
Le pouvoir sur autrui de certains est renforcé par notre adhésion au Système,
Système favorisant les prises de pouvoir des richissimes.
Réfléchir :
si le système monétaire s’effondrait et si l’or n’était plus considéré que comme du métal,
tous les dirigeants, magnats et autres se retrouveraient le bec dans l’eau,
sans plus de pouvoir sur autrui qu’un affamé ou qu’un ouvrier ;
c’est pourquoi nous sommes conditionnés depuis plus de deux mille ans à accepter une hiérarchie.
La hiérarchie représente un gros canular ne servant qu'à vampiriser notre énergie,
notre pouvoir personnel
.


Plus chacun prend conscience et se réapproprie son pouvoir,
moins les ploutocrates et oligarques ont de pouvoir de décision sur nos modes de vie.
Effet balancier.

Le pouvoir personnel est fonction de l'utilisation de notre énergie propre
(ce qui englobe notre façon de prendre soin de soi et donc, notre santé tant physique que psychique)
ainsi que de notre capacité à se responsabiliser.
Mieux on se nourrit (physiquement, affectivement et spirituellement),
plus on agit avec conscience, bon sens et économie,
plus on est équilibré, en phase avec soi-même,
et plus on accumule de l'énergie et donc, du pouvoir.
C'est-à-dire que mieux on se connaît soi-même, la globalité de son être et son mode de fonctionnement,
plus on acquière de pouvoir personnel.


Qui suis-je ?

 

Ce qui semblait acquis et certitude hier ne l'est plus aujourd'hui.
Tu n’es pas ce que tu pensais être, et pourtant tu en résultes.

Tu n'es pas ce qu'on t'as fait croire être.

 

Tu es ce que tu penses et ce qui nourrit tes corps, cœur et esprit.

Tu deviens ce que tu choisis, décides et agis (ou non)
ainsi que comment tu te comportes (réactions), là, maintenant.

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Les autres

 

L'enfer c'est les autres...
les autres "moi", en soi-même, s'efforçant de supplanter "Je"


dimanche 12 juin 2022

Pédopathie

 
Préambule

En ce qui concerne la psychologie, comme vous pouvez le constater sur certaines publications de ce blog,
mes références majeures sont notamment C. G. Jung et Paul Diel.
Je ne suis pas Freudien, l'ayant rejeté à cause notamment de sa théorie sur le développement psychosexuel
qui ne me "parlait" pas du tout. Néanmoins, on peut dire que S. Freud a apporté sa pierre à l'édifice.


Propos

Je suis choqué, scandalisé et profondément peiné de la volonté politique d'éveiller les enfants avant l'heure
à la sexualité, (dans quel but, avec quelle intention et à quelle fin ? )
en leur proposant de l'éducation sexuelle à l'école avant leur puberté et encore,
ce qui nous vient des USA, en banalisant le changement de sexe ou le travestissement,
ce qui amène les enfants à se mépriser tel qu'ils sont comme ils sont, à ne pas aimer leur corps,
et à croire en des chimères, par exemple qu'on serait plus heureux en changeant de sexe.
Sans parler des bénéfices financiers pour... Big Pharma.
Fort heureusement, j'entends plusieurs personnes s'en offusquer.
Pas une seule de ces personnes ne rappelle toutefois un fait irréfutable mis en avant par S. Freud :
si on peut observer quelques érections sur les bébés et tout jeunes enfants mâles,
très vite autant les filles que les garçons entrent dans une période de latence sexuelle
et ce, jusqu'à leur puberté
.


Témoignage 

Si vers l'âge de 8 ans on peut être intrigué et curieux de l'autre sexe,
par exemple pour un garçon de voir la culotte des filles en se demandant ce qu'il y a dessous
(puisqu'elles n'ont pas de robinet), ça n'allait pas plus loin.
Cette curiosité naïve est dépourvue de désir et d'élan sexuel, jusqu'à la puberté.
Tout au plus, les enfants, imitant les grands, peuvent avoir envie de faire comme les adultes ou à la TV :
par exemple de vouloir s'embrasser sur la bouche, sans désir sexuel (puisqu'ils traversent
une période de latence à ce niveau. On pourrait dire que les enfants sont asexués).
À mon époque, quelques cours d'éducation sexuelle ont été mis en place à l'école,
mais nous avions environ 12-13 ans et non pas 8 ans.
Ayant un frère plus âgé et ayant vécu dans un quartier avec beaucoup d'enfants de tous âges,
très vite on entendait des choses sur la sexualité, mais cela ne représentait pas grand chose,
on ne comprenait pas tout-à-fait, jusqu'à la puberté et les premières érections et masturbations.
J'ai un exemple précis : on se traitait de « pd » les uns les autres, et je n'ai vraiment compris cette injure
qu'après la puberté. Même si vers 10 ans je pouvais dire que ça signifiait qu'un garçon (ou une fille)
couchait avec un autre garçon, cela restait confus, sans image ni autre forme de représentation
de ce type de rapport.



Évidence
 

Sur le plan physique, chacun peut voir avec ses yeux que le corps d'un enfant n'est pas du tout prêt
à la sexualité avant la puberté
; au contraire, les rapports sexuels le choque et dégoûte
(s'il voit des images pornos, par exemple) ; et, comme vu, psychologiquement il est en période de latence.
Tous les arguments disant le contraire sont affabulation, délire et projection du désir des adultes sur l'enfant.
Certains adultes interprètent de travers le comportement des enfants ; par exemple,
lorsqu'un enfant imite les jeux de séduction des adultes.
Un enfant peut se montrer parfois séducteur parce qu'il sent  que c'est ce que veulent les adultes et,
surtout, pour leur plaire et se faire aimer tendrement (et non pas sexuellement).
Un enfant a besoin d'amour inconditionnel, non-sexué, tendre, réconfortant et rassurant.
Un enfant a besoin d'affection et éventuellement qu'on réponde à ses questions,
par exemple sur le robinet du garçon ou comment naissent les bébés, etc.

Quelle décadence !
Quelle perte de repères moraux !
Quel irrespect de la Nature et de ce que nous sommes !

L'humain est-il pire qu'un animal ?
Que je sache aucun animal n'abuse de ses petits
.

Grave, c'est très grave ce qui se passe.

Pour le moment, la perversion se banalise et devient norme.
Au lieu de se questionner sur cette attirance sexuelle anormale d'un adulte pour un enfant,
on la rationalise, la banalise, la normalise !

Aimer un enfant, c'est respecter le fait que ni son corps ni son psychisme ne sont prêts à la sexualité,
car autrement c'est abuser de l'enfant, de sa vulnérabilité, de sa candeur, de son impossibilité à se défendre.
Un enfant est trop facile à manipuler, alors tout ce qui se dit sur le sujet est du pipeau,
arguments démoniaques.

S'en prendre aux enfants fait de nous, adultes, ni plus ni moins que des bêtes inhumaines, des monstres.

Pour reprendre le conte du chaperon rouge : les loups se multiplient et imposent au monde entier
leur désir morbide, perverti.

Je l'avais écrit il y a quelques années déjà : "ils" s'en prennent non seulement au Vivant
mais aussi à l'innocence.

Ce monde devient un enfer, non pas symboliquement mais réellement.

Les enfants déjà informés sur la sexualité, voire la pratiquant déjà, grandissent.
Qu'en sera-t-il demain avec cette nouvelle génération qui, en plus, est choquée, traumatisée pour certains,
par toutes les mesures subies pour rien, au nom d'un soi-disant pandémie...


ON SE RÉVEILLE MAINTENANT, C'EST URGENT.


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vendredi 10 juin 2022

Hypocrise

 
Les petits esprits à la conscience endormie
sont incapables de reconnaître l'hypocrisie
de leurs interlocuteurs experts en flatteries.

Séduire avec des sourires étudiés
et des discours adaptés
conformes à ce que l'on a envie et/ou besoin d'entendre
et, comme l'appât que jette un pêcheur, des poissons viennent et se font prendre.
C'est somme toute facile puisqu'il suffit d'être hypocrite, menteur, falsificateur, manipulateur.
Les pervers, psychopathes et sociopathes, sont de doués prestidigitateurs.

 


 

Le pouvoir de l'hypocrisie

 
Les petits esprits se reconnaissent entre eux, et ils apprécient se distraire ensemble,
c'est-à-dire s'égarer (d'eux-mêmes) ensemble.

Pour certaines choses, la mémoire est courte,
semblant ne plus se souvenir des survenus des mois et années passés.
Pour d'autres choses, la mémoire est vaste
puisqu'on peut se souvenir d'un détail (généralement nous ayant dérangé, contrarié ou blessé)
survenu il y a plusieurs mois et années.
Par exemple : certaines personnes particulièrement susceptibles entretiennent un désir de vengeance
durant des années, parfois pour une bagatelle et, souvent, en faisant fi de leur propre responsabilité
dans le survenu (accuser l'autre de ses déconvenues ou de son mal-être, par exemple).

Un exemple de mémoire courte : en 2020, combien se sont souvenus qu'en 2009,
"ils" avaient déjà tenté de tous nous "vacciner" contre la H1N1 ?
Ceux qui s'en sont souvenus se sont méfiés de la soi-disant pandémie de co/vide,
pendant que tous les autres (la majorité), hystériques, paniquaient.

Puissants sont l'hypocrisie et le mensonge auprès des personnes à la mémoire courte, qui,
charmées par des discours, promesses et manières, font fi des survenus des mois précédents.
Ces personnes ne se fient ni aux faits ni aux condamnations pénales, ce qui est grave
(comme par exemple avec l'entreprise Pfizer multi condamnée) !
C'est incroyable, je trouve.
À cause de cette incongruité, les personnes se comportant depuis des années de façon honorable
et honnête – et qui n'ont donc plus rien ni à démontrer ni à prouver –
se voient mal-jugées (ou pire) pour un fait isolé, parfois pour des mots malheureux,
ou simplement à cause de leur posture éthique.
N'est-ce pas hallucinant ?

Un exemple de contresens : des savants expérimentés et reconnus dans le monde entier
tels que les Pr Raoult, Toussaint, Montagnier, Schaler, Perrone, Henriot-Claude, etc.,
ont été traînés dans la boue et se voient maintenant raillés par des irresponsables corrompus
ainsi que par une trop grosse partie du peuple au cerveau lessivé par la TV et autres médias toxiques.

Les petits esprits apprécient être séduits,
par des compliments, de la politesse et de la "gentillesse" dégoulinante,
sans se soucier des éventuelles intentions cachées ou du passé de leurs "adorables" interlocuteurs.

Un mal de ces dernières décennies me semble consister en l'incapacité de considérer une situation
ainsi que des personnalités sur une période de temps plus ou moins longue.
Voyez avec le président Macron : si l'on peut concevoir que les richissimes et les corrompus le soutiennent,
comment comprendre que parmi le peuple victime de ses cinq années de mandat
certains aient pu voter pour ce bourreau exécutant les ordres de ploutocrates, américains pour la plupart ?
Certains parlent d'une forme de syndrome de Stockholm.

Quand comprendrons-nous que les pervers et psychopathes sont doués pour mentir
ainsi que pour séduire leurs proies ?
Beaucoup semblent croire qu'il est écrit sur leurs fronts :
attention, danger, je suis un pervers et je vais te niquer.


Les psychopathes, sociopathes et autres pervers ont le vent en poupe en ce moment ;
en effet, ces déviés (d'eux-mêmes) sont, soit des séducteurs manipulateurs,
soit des richissimes qui corrompent leurs interlocuteurs à coup de dessous de table
ou de promotions professionnelles ou de promesses d'immortalité, etc.

Il est bien plus difficile et courageux d'être sincère, vrai (être qui l'on est), droit et incorruptible.

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lundi 6 juin 2022

La vanité du futile

 
Vertigineux, l'écart qui s'est formé en chacun de nous
entre ce que l'on veut et ce dont on a besoin (pour se sentir satisfait).

Cet écart, ce fossé en l'intériorité de chacun, nous affaiblit et rend nos esprits confus,
ce qui profite aux gouvernants de l'OMS du NOM.

Embrouillé par un excès d'informations et de contre-informations,
l'humain, ne sachant plus ce dont il a besoin, veut avec sa tête qui calcule sans cesse
et rationalise même l'horreur en idéalisant la science à Progrès des oligarques.
Il veut toujours plus et mieux avec moins de ceci et davantage de cela...
 


Des besoins futiles sont créés et produits à haut rendement
afin de rendre les gens toujours plus dépendants d'un Système de dettes et crédits.

Et dire qu'il suffit de respirer et de s'écouter (ses sensations, son instinct, son ressenti)
pour connaître ses besoins du moment tant fondamentaux que secondaires.
Les déments tremblant de peur face à l'imprévisible force du Vivant
nous font croire que nos besoins sont connus une fois pour toute,
qu'ils sont les mêmes pour tous les habitants de la planète,
et qu'IA les gérera beaucoup mieux que nous, pour nous.
Ben voyons !
Délire quand tu nous prends.
À chaque instant nos besoins diffèrent, se transforment, évoluent.
Mise à part les besoins fondamentaux, les besoins secondaires sont propres à chacun
– selon son rythme propre, son histoire, ses blessures psychiques (affectives et autres)
et aussi, selon sa corpulence, sa culture, sa façon d'occuper ses journées,
ses ambitions, ses idéaux, ses désirs et motivations, etc.
Notons que même la satisfaction des besoins fondamentaux est propre à chacun – quantité
et sortes de nourritures, heures et nombre de repas quotidien, etc.

Les philanthropathes* mettent en avant une soi-disant préoccupation pour notre santé à tous,
mais qui mieux que toi sait si tu vas bien ou non ? Hein, dis ?
Est-ce que tu penses qu'une machine IA, programmée par des pharmaciens et docteurs mercantiles
à la solde des ploutocrates, saura mieux que toi si tu vas bien ce matin ?

"Ils" s'en prennent au libre-arbitre de chacun, ainsi qu'à notre conscience.

Une personne n'écoutant pas sa conscience devient complètement dépendante des innombrables experts
formés aux mêmes écoles ; écoles dont le programme d'enseignement a été mis au point par les oligarques
tel que la famille Rockefeller (qui a imposé notamment la médecine allopathique à médicaments pétrolifères déclenchant des effets secondaires, c'est-à-dire d'autres complications, voire des maladies).

Vous l'aurez compris : de notre santé et nos besoins, ils s'en fichent comme de l'an 40.
Ce qu'ils veulent c'est nous téléguider, nous contrôler et nous surveiller 24H/24.
Ensuite, qui sait, ils joueront avec nous.
Nous deviendrons réellement leurs pions, leurs esclaves, leurs jouets.

Sombre est le ciel.

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Note et liens

* Philanthropathe : philanthrope autoproclamé afin de dissimuler ses complots et crimes contre l'humanité
souffrant de psychopathie ou de sociopathie.

* Omnipotent ordre des médecins

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IA pour annihiler le relationnel

 

Contrairement à ce que laisse penser sa dénomination, trompeuse comme il se doit,
l'IA (Intelligence Artificielle) semble avoir été conçue pour tenir la population dans l'ignorance
et les rapports futiles unilatéraux (du type binaire : qui a raison, qui a tort ; qui dit vrai, qui dit faux ;
c'est blanc ou c'est noir).

Distractions et jeux, pour tenir chacun éloigné de soi-même en captivant nos attentions et énergies.

L'IA, pour abêtir, déresponsabiliser, empêcher de penser par soi-même,
et permettre aux ploutocrates et oligarques de contrôler chacun de nous. 

Tous suspects (de quoi ? ), tous à surveiller (sauf "eux", pourtant d'infâmes comploteurs).

Têtes à l'envers, monde en enfer.


Or, ce qui fait l’humain, c’est avant tout notre capacité d’empathie,
d’imagination, d’auto-analyse, d’esprit critique.

La conscience, l'esprit qui anime le corps, c’est la vie. 

– Extraits d'un édito de FranceSoir

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mercredi 1 juin 2022

Des connectés

 
Les déconnectés d'eux-mêmes et du Vivant vibrant
fantasment en coulisse de l'abstraction équationnelle :
ils veulent un monde d'humains et HOGM* connectés à une IA Centrale.
En bande organisée, ils agissent en sorte que nous soyons tous connectés à leur centrale de contrôle
et de manipulation des individus formant le peuple.
... ?
Euh...
Ben ça, alors ! Quelle entourloupe !


Des déconnectés connectés à la non-vie,
c'est-à-dire surveillés 24H/24 par des machines,
à devoir recevoir des appréciations, des bonus, des recommandations (ordres), des privations.
Euh..., ... ?
Un peu comme à l'école, non ?


 



Civil en apparence, si vil en âme et conscience.


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Note

* HOGM : Humain à l'Organisme Génétiquement Modifié.


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Complices contre tous

 
La complicité – en amitié, couple, relation professionnelle et autres – permet à chacun des individus
de se projeter l'un sur l'autre et, de la sorte, de se conforter en se caressant mutuellement le nombril.
Par conséquent, la complicité stimule le narcissisme de chacun (se voir et s'apprécier en l'autre)*.
Effet miroir : se laisser fasciner par son reflet.
Psychopathologie.

La complicité, comme la passion, sont quête de fusion (âge mental d'un petit enfant).
Les complices se croient pareils (mêmes idées et/ou sentiments, désirs, vision des choses, etc.)

Exemple d'actualité : les transhumanistes, complices des ploutocrates,
veulent que tous les humains se comportent et pensent pareillement.
Tous complices des gouvernants, qui sont à la solde des ploutocrates.
De façon déviée du bon sens, délirante,
ils fantasment également de faire fusionner la techno-IA avec l'humain
pour le rendre docile au point de pouvoir le téléguider à distance.
Dieu Progrès, complice des oligarques, se méfie du peuple, on dirait.


En groupe, en société, les autres deviennent insignifiants ou sont méprisés par les complices arrogants,
ce qui renforce leur sentiment d'une complicité.

Il est donc malsain de vouloir entretenir une, des relations de complicité.
À moyen et long terme, ce type de relation embrouille les esprits qui ne savent plus qui pense quoi.

Les adeptes de sectes, sociétés secrètes, clubs privés, etc., entretiennent des relations de complicité.

Les manipulateurs, les pervers et les psychopathes utilisent cette tendance à la complicité,
c'est une de leur approche pour s'imposer, une technique de séduction à fin d'asservissement.

 



Note

* Le narcissisme n'est pas pareil à se sentir en juste estime de soi et s'apprécier.
Je trouve que les chats en sont un bon exemple : le chat s'aime sans être narcissique,
semblant juste avoir conscience de son être et le respect de son corps.

Le narcissique s'éprend de son image, de ce qu'elle représente pour l'autre, du regard des autres, etc.
Il aime le personnage qu'il joue, son apparence et/ou son prestige, son verbiage, son succès, etc.
Le narcissisme consiste à entretenir une fausse estime de soi, estimation magnifiée.

L'estime de soi s'obtient par l'auto-observation (le plus objective possible) d'un ensemble de choses
relevant notamment de l'équilibre de vie, de la santé, du bien-être avec soi-même et avec les autres.
L'estime de soi est fonction également de la façon de nourrir ses trois corps, les physique, émotionnel et intellectuel,
ainsi que d'entretenir ses relations avec soi-même comme avec autrui, la façon de s'être comporté, etc.
Plus l'on se rapproche de son être – de son élan de vie propre et de ses aspirations profondes, de sa vérité –
plus l'estime de soi est satisfaisante et stable, ce qui amène à se sentir bien dans sa peau et dans le monde ;
alors on apprend à s'Aimer (aimer son corps extraordinaire, son âme mystérieuse, son esprit curieux d'apprendre,
sa capacité de ressentir et éprouver la vie, etc.)

Le narcissique aime son image, la représentation qu'il s'en fait.
L'individu en juste estime de soi aime ce qui constitue son être, ce qui lui permet de vivre.


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Illusion d'un possible (II)

 



Poursuivons avec le propos précédent.
Il me semble qu'un aspect interactif de la vie sociale reste insuffisamment pris en compte :
avec et face à des personnalités perverses ou psychopathes et sociopathes*
il est impossible de s'arranger à l'amiable et de parlementer,
de négocier
afin de trouver des accords de fonctionnement satisfaisant diverses parties.

Ces non-êtres – les pervers, dont les psycho-sociopathes et autres démons – ne renoncent jamais,
ni à leurs idées et volontés, ni à leur soif de pouvoir et de puissance, ni à leurs prérogatives,
ni à leur plaisir sadique morbide, ni à leur cupidité, etc.
Cependant, ces illusionnistes du verbe, hypocrites et fourbes, tel le "philanthropathe"* Billy Gates,
assurent vouloir le bien de tous en ne pensant pourtant qu'à leurs désirs, bénéfices et idéal à eux.

Ces égarés (d'eux-mêmes, de leurs âme et conscience) ne sont capables de penser le monde
que sur un mode binaire – comme en informatique avec l'IA –
et donc, de façon partielle, puérile et compétitive : soit on est le meilleur et on domine, soit on se soumet.
Pas d'autre alternative. Soit on est supérieur, soit on est inférieur ;
soit c'est blanc, soit c'est noir, ni le gris ni les couleurs ne sont pris en compte.

En interaction, les pervers n'ont qu'un but :
trouver la faille de l'autre (ou du groupe), son point faible, sa vulnérabilité
et ce, afin de l'asservir ou de le soumettre à sa volonté ou encore, pour le moins,
de le tenir le plus possible sous sa coupe, sous contrôle.

Ils n'entretiennent des relations que pour parvenir à leurs fins et faims égotiques et despotiques.

Pour ces déments exaltés par leur sentiment de supériorité les autres ne sont que des inférieurs
ou des insignifiants, des pions utilisables et jetables, ou des obstacles à démonter,
ou des pigeons à plumer, ou des cafards à torturer, ou des innocents à corrompre.
Tel est leur élan de non-vie, leur mission : détourner autrui vers le vice et les ténèbres
en s'appropriant le plus possible de ses avoirs, idées, et autres choses de rentable.
Il s'agit de comprendre que ces déments nient et se contrefichent des besoins et sentiments d'autrui.
Ils ne ressentent pas la culpabilité et ils n'éprouvent pas de remords de conscience.
Dès lors, que ce soit l'amitié, la fraternité, la collaboration, le partenariat, la démocratie, l'équité :
rien n'est envisageable avec eux
.

Symboliquement : les pervers ont un cœur de pierre obscur,
alors que les psychopathes et les sociopathes n'ont pas de cœur.


Comment engager un véritable dialogue, sain – où chacun peut exposer ses points de vue, besoins et idées –,
en présence de tels non-êtres ne pensant qu'à leurs intérêts, bénéfices, idéaux et jouissances égotiques ?

C'est une croyance sentimentale et un défaut de projection de sa propre façon d'être (sur autrui)
de penser qu'il doit y avoir moyen de s'entendre avec des individus souillant leurs propres âmes.

Vouloir transiger avec eux est comme demander à une jeune biche
d'aller convaincre le loup affamé de ne pas la manger.


Il s'agit de distinguer un pervers d'un individu tendant à la bonté :
l'élan du pervers est destructeur, malsain. Le Mal attire le perverti, l'excite, le fait jouir.

Un esprit tendant à la bonté et au juste ne peut comprendre un esprit perverti
car ce sont des esprits étrangers, incompatibles, fonctionnant sur un mode différent,
qui regardent dans une direction opposée.
Exemples d'un défaut de sentimentalité :
un esprit tendant à la bonté justifie et excuse "automatiquement" les actes nuisibles d'un dément
probablement pour essayer de les comprendre et parvenir à les "digérer", à faire avec (le survenu) ;
alors qu'un dément – certain de tout savoir et se croyant tout-puissant – ne cherche pas à comprendre l'autre.
Hyper susceptible, le dément ni n'oublie ni ne pardonne, ayant l'esprit à la revanche et la vengeance.

Un esprit tendant à la bonté doit impérativement apprendre à se protéger des interférences interactives
causées par les pervers notamment en cessant d'écouter leurs mots séducteurs, prometteurs
ou accusateurs et culpabilisants.

Un esprit tendant à la bonté doit être ferme et oser s'affirmer face aux pervers
notamment en refusant leur délire, en leur disant « NON , stop, ça suffit »
sans leur donner d'explication ni justification ni autres car ils n'écoutent les arguments d'autrui
que pour les pervertir et les ré-utiliser à leur convenance, tels de nouvelles armes
de persuasion
ou de torture.

Selon moi, il s'agit de ne pas leur prêter d'importance et donc, de leur porter un minimum d'attention.


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Notes

* Les psychopathes et sociopathes sont des malades mentaux graves relevant de la psychose. Ils évoluent en pleine démence.
Certains de ces déments parviennent à paraître "normaux", intégrés, adaptés et conformes. Nombre d'entre eux sont riches
et influents, costards et cravates, comme par exemple Jacquou Attali-Nostradamnus et Klausi Schwab.

Pour parler "Gurdjieffien" : les psychopathes et sociopathes paraissent ne fonctionner que sur deux des trois centres êtriques (des humains),
puisqu'ils sont comme handicapés sur le plan émotionnel. Pour le dire autrement, ils évoluent en n'utilisant que leur fonction intellectuelle
et leur fonction sensitivo-instinctive. Notons encore que sur le plan sensitif, ils sont le plus souvent comme anesthésiés,
insensibles et froids comme des reptiles instinctifs à tête pleine d'IA.

* Philanthropathe : un terme nouveau pour désigner un soi-disant philanthrope, autoproclamé, souffrant de psycho ou sociopathie.


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