La peur est la petite mort qui conduit à l'oblitération totale. La peur tue l'esprit.
J'affronte ma peur. Je lui permets de passer sur moi, au travers de moi.
Et lorsqu'elle sera passée, je tournerai mon œil intérieur sur son chemin.
Et là où elle sera passée, il n'y aura plus rien. Rien que moi.

dimanche 12 juin 2022

Pédopathie

 
Préambule

En ce qui concerne la psychologie, comme vous pouvez le constater sur certaines publications de ce blog,
mes références majeures sont notamment C. G. Jung et Paul Diel.
Je ne suis pas Freudien, l'ayant rejeté à cause notamment de sa théorie sur le développement psychosexuel
qui ne me "parlait" pas du tout. Néanmoins, on peut dire que S. Freud a apporté sa pierre à l'édifice.


Propos

Je suis choqué, scandalisé et profondément peiné de la volonté politique d'éveiller les enfants avant l'heure
à la sexualité, (dans quel but, avec quelle intention et à quelle fin ? )
en leur proposant de l'éducation sexuelle à l'école avant leur puberté et encore,
ce qui nous vient des USA, en banalisant le changement de sexe ou le travestissement,
ce qui amène les enfants à se mépriser tel qu'ils sont comme ils sont, à ne pas aimer leur corps,
et à croire en des chimères, par exemple qu'on serait plus heureux en changeant de sexe.
Sans parler des bénéfices financiers pour... Big Pharma.
Fort heureusement, j'entends plusieurs personnes s'en offusquer.
Pas une seule de ces personnes ne rappelle toutefois un fait irréfutable mis en avant par S. Freud :
si on peut observer quelques érections sur les bébés et tout jeunes enfants mâles,
très vite autant les filles que les garçons entrent dans une période de latence sexuelle
et ce, jusqu'à leur puberté
.


Témoignage 

Si vers l'âge de 8 ans on peut être intrigué et curieux de l'autre sexe,
par exemple pour un garçon de voir la culotte des filles en se demandant ce qu'il y a dessous
(puisqu'elles n'ont pas de robinet), ça n'allait pas plus loin.
Cette curiosité naïve est dépourvue de désir et d'élan sexuel, jusqu'à la puberté.
Tout au plus, les enfants, imitant les grands, peuvent avoir envie de faire comme les adultes ou à la TV :
par exemple de vouloir s'embrasser sur la bouche, sans désir sexuel (puisqu'ils traversent
une période de latence à ce niveau. On pourrait dire que les enfants sont asexués).
À mon époque, quelques cours d'éducation sexuelle ont été mis en place à l'école,
mais nous avions environ 12-13 ans et non pas 8 ans.
Ayant un frère plus âgé et ayant vécu dans un quartier avec beaucoup d'enfants de tous âges,
très vite on entendait des choses sur la sexualité, mais cela ne représentait pas grand chose,
on ne comprenait pas tout-à-fait, jusqu'à la puberté et les premières érections et masturbations.
J'ai un exemple précis : on se traitait de « pd » les uns les autres, et je n'ai vraiment compris cette injure
qu'après la puberté. Même si vers 10 ans je pouvais dire que ça signifiait qu'un garçon (ou une fille)
couchait avec un autre garçon, cela restait confus, sans image ni autre forme de représentation
de ce type de rapport.



Évidence
 

Sur le plan physique, chacun peut voir avec ses yeux que le corps d'un enfant n'est pas du tout prêt
à la sexualité avant la puberté
; au contraire, les rapports sexuels le choque et dégoûte
(s'il voit des images pornos, par exemple) ; et, comme vu, psychologiquement il est en période de latence.
Tous les arguments disant le contraire sont affabulation, délire et projection du désir des adultes sur l'enfant.
Certains adultes interprètent de travers le comportement des enfants ; par exemple,
lorsqu'un enfant imite les jeux de séduction des adultes.
Un enfant peut se montrer parfois séducteur parce qu'il sent  que c'est ce que veulent les adultes et,
surtout, pour leur plaire et se faire aimer tendrement (et non pas sexuellement).
Un enfant a besoin d'amour inconditionnel, non-sexué, tendre, réconfortant et rassurant.
Un enfant a besoin d'affection et éventuellement qu'on réponde à ses questions,
par exemple sur le robinet du garçon ou comment naissent les bébés, etc.

Quelle décadence !
Quelle perte de repères moraux !
Quel irrespect de la Nature et de ce que nous sommes !

L'humain est-il pire qu'un animal ?
Que je sache aucun animal n'abuse de ses petits
.

Grave, c'est très grave ce qui se passe.

Pour le moment, la perversion se banalise et devient norme.
Au lieu de se questionner sur cette attirance sexuelle anormale d'un adulte pour un enfant,
on la rationalise, la banalise, la normalise !

Aimer un enfant, c'est respecter le fait que ni son corps ni son psychisme ne sont prêts à la sexualité,
car autrement c'est abuser de l'enfant, de sa vulnérabilité, de sa candeur, de son impossibilité à se défendre.
Un enfant est trop facile à manipuler, alors tout ce qui se dit sur le sujet est du pipeau,
arguments démoniaques.

S'en prendre aux enfants fait de nous, adultes, ni plus ni moins que des bêtes inhumaines, des monstres.

Pour reprendre le conte du chaperon rouge : les loups se multiplient et imposent au monde entier
leur désir morbide, perverti.

Je l'avais écrit il y a quelques années déjà : "ils" s'en prennent non seulement au Vivant
mais aussi à l'innocence.

Ce monde devient un enfer, non pas symboliquement mais réellement.

Les enfants déjà informés sur la sexualité, voire la pratiquant déjà, grandissent.
Qu'en sera-t-il demain avec cette nouvelle génération qui, en plus, est choquée, traumatisée pour certains,
par toutes les mesures subies pour rien, au nom d'un soi-disant pandémie...


ON SE RÉVEILLE MAINTENANT, C'EST URGENT.


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4 commentaires:

  1. Oui, les enfants sont toujours les premières victimes !

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  2. Ah ben mince j' avais laissé un commentaire ici me semble t il un soir où je m'étais enfin poser un peu .........pfff je sais plus du coup .....
    ben tamp, une bise en passant vite ce matin à plus

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