Qui ou que suis-je ?
Tel un feu de forêt,
après mon passage, la désolation.
Contrairement au feu, purificateur, qui,
une fois consumé, permet la repousse du vivant,
après mon passage ne subsiste que de la souillure empoisonnée.
Opérant comme un typhon,mon sens de l’équité et du partage se résume à :tout aspirer, s’approprier du plus possible, le plus vite possible.Tel un fleuve en crue lors d’inondations,mon activité laborieuse emporte et noie tout élans de liberté et de créativité.Ma vue est aussi courte que celle d’une vieille taupe agonisante.Dépourvu d’émotion et d’affect,mon incessant chant dissonant et idéaliste brouille les événements,
comme en pleine tempête durant la nuit.Mes démonstrations d’amour et de paix ont l’effet d’une catastrophe nucléaire :sur le moment, ça va bien, puis, au fil des semaines…Mon sens de la loyauté est aussi éphémère que la vie d’un papillonmalchanceux de s’être posé sur une pierre, près d’un lézard.
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Tu as au moins le mérite d'être honnête :)
RépondreSupprimerBon jour, Eric. Bises.
;)) excellent !
SupprimerTu as le mérite de me faire rire de bon coeur.
Agréable journée, Julie, bises
Dans le mille ! Les chiens, toujours...
RépondreSupprimerLes mille et un chiens, fiers de l'être.
SupprimerCiao Thierry
Rien n'est jamais "totalement" mauvais !
RépondreSupprimerOlllolllolol
Tout passe...
:)) excellent... le final (enfin, comme je l'entends)
SupprimerYouh youh youh Miche
Rien que le fait d'en faire le constat, ça change tout ! le pire étant ceux qui ne se rendent même pas compte...
RépondreSupprimerEffectivement, reconnaître (faire le constat), et déjà on passe sur un autre versant des choses.
SupprimerA + Vi