Sur le chemin qui n'est pas, chaque pas est un premier et dernier pas...
‒ Miche
Tordus sont les chemins des hommes
qui, toujours, nous ramènent au même point.
Tu crois avancer, alors que tu t’en reviens.
D’interdictions en obligations, de Rome à Rome.
Chemins des incessantes répétitions.
- Qu’as-tu à sourire ainsi ?
- Maître Foudchoc, n’est-ce pas merveilleux que parmi la majorité de la population,
au sein de l’opinion publique, de plus en plus de personnes se réveillent ?
- Oh, oui, bien-sûr. On se réveille…
et on se rendort.
- Hein… ? Que voulez-vous dire ?
- Prenons une analogie : dormir. Durant la phase de sommeil, il arrive qu’on se réveille,
parfois pas tout-à-fait et on retrouve en train de flotter entre deux états d’être :
pas vraiment réveillé mais pas tout-à-fait endormi.
Durant la nuit, on peut aussi se réveiller complètement et aller aux toilettes,
avant de revenir se coucher et de s’endormir à nouveau.
Ce sont des exemples pour relever qu’on peut se réveiller et replonger aussitôt dans le sommeil.
Ténue est la frontière entre la fermeté ‒ parfois nécessaire en pédagogie et éducation ‒
et l’abus de pouvoir.
Exemple d’abus de pouvoir : gronder, voire punir, un enfant n’obéissant pas.
L’abus de pouvoir est d’autant plus malsain si l’enfant ne comprend pas ce qui lui arrive ou partiellement,
ou s’il trouve injuste ce qu’on lui ordonne de faire et ce qu'on dit de lui.
Obliger un enfant à… ne s’inscrit pas dans une démarche pédagogique
mais devient une question de dressage pouvant virer à l'obsession.
J'trouve pratique d'économiser les mots, surtout lorsqu'on est à cours d'arguments,
et d'utiliser des mots fourre-tout comme par exemple : complot.
Rappel de la définition de complot : machination concertée secrètement entre plusieurs personnes
dans le
dessein de porter atteinte à la vie, à la sûreté d'une personne, à une
institution.
Introduction
Abordons de façon simple le sujet du conscient/inconscient :
en chacun de nous, tout ce qui n'est pas conscientisé reste (en état latent) dans l'inconscient.
Ce que nous avons refoulé, surtout durant l'enfance, se trouve dans l'inconscient
(certains précisent dans la partie accessible de l'inconscient, soit : dans le subconscient).
Donc, dans l’inconscient se trouve une partie de nos élans, ceux refoulés et contenus,
et il s’y trouve également du potentiel resté latent,
potentiel dont nous ne savons rien (tant que ce potentiel ne se développe pas).
On peut dire que l’inconscient et à la fois une sorte de poubelle du non-désiré (le subconscient)
et, à la fois, une réserve de potentialités inimaginables (émanant de l’inconscient profond,
c’est-à-dire au-delà du subconscient).
Certaines circonstances, souvent brutales, peuvent stimuler l’émergence de capacités incroyables ;
ce qu’expérimentent notamment des personnes évoluant dans des situations extrêmes.
Je pense que ce que nous vivons actuellement va stimuler, en certains,
le déploiement de capacités insoupçonnées et créatives.
C'est l'affiche d'un film documentaire qui va bientôt sortir,
réalisé par Pierre Barnérias, qui connaît bien le milieu des médias officiels :
Je ne ris pas beaucoup depuis ... ?
Plusieurs semaines, mois.
Le rire nous tient en bonne santé,
peut booster notre moral, faire remonter notre bonne humeur
et, par conséquent, renforcer le système immunitaire.
Aaah, que ça fait du bien de rire de bon cœur :
« Quand ils vous mettent en colère ou vous rendent violent,
ils savent alors comment vous gérer.
Et c'est ce qu'ils veulent que vous fassiez. »
Tout se confronte à des limites ici-bas : même la patience, la docilité et l'attitude pacifique.
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Et Terre continue de tourner.
Avec ou sans humain,
avec ou sans virus, avec ou sans vaccin, avec ou sans masque,
avec ou sans consentement des humains, avec ou sans Trump,
avec ou sans propagande, avec ou sans mensonges et tricheries,
avec ou sans les richissimes capricieux fascistes se prétendant philanthropes,
avec ou sans peur, avec ou sans amour,
Terre continue de tourner.
C'est que Terre n'a pas besoin des humains pour vivre et apprécier son existence.
Nous avons tant besoin de légèreté, de rire, de danser, de sortir boire des verres avec les potes, etc.
Se divertir. Se changer les idées. Déconner.
Pas aimer, non, car c’est comme un virus contagieux.
Dire que tout ce qui se passe dans le monde, notamment en France,
émane de nous, de chacun de nous, de nos esprits, indubitablement malades.
Et dire que nombreux sont ceux qui se réjouissent, peut-être pas du confinement,
mais que Père-autorité ait serré la vis, en sortant le fouet. Enfin de l’ordre et davantage de sécurité.
Reste plus qu’à patienter que l’alerte au virus soit passée et que le vaccin soit enfin disponible.
Peut-être éviterons-nous la déjà prédite troisième vague, puis quatrième vague… de peur.
Peur, oui j’ai peur… de la docilité de la plupart semblant incapable de réfléchir.
Samedi 35 nouilles de l’an 1 après L. P. Vaccin,
à 14h sur la place des Sauces, exprimons notre désaccord.
Venez nombreux…
À moins que ne s’y mobilisent des dizaines ou centaines de milliers de participants,
à votre avis, qu’est-ce qui augure une action vaine, perdue d’avance, dans cette annonce fictive ?
Y nous reste plus qu’à prier ?
Danger concret provenant des gouvernements à la solde des richissimes
menaçant nos corps et esprits sous un prétexte… sanitaire.
Z’ont l’argument corrosif,
puisque c’est justement contre notre santé qu’agit cette dictature sanitaire !
À ce sujet et pour pousser la monstruosité de leur intention plus avant, un individu a mis en garde :
« faites attention à votre moi intérieur ».
"Leur" volonté semble consister à vouloir remplacer notre moi intérieur par le Cerveau IA central
afin de tout-contrôler au-travers de la technologie qui calcule notre comportement à notre place.
Non, pas possible de faire autrement, principe de précaution.
Plus de 7 mois (en France) que nous "vivons" à partir de supputations et de « et si » !
Émotionnel collectif resté bloqué sur peur.
État d’esprit collectif des plus confus.
Météo : fort et épais brouillard.
