La peur est la petite mort qui conduit à l'oblitération totale. La peur tue l'esprit.
J'affronte ma peur. Je lui permets de passer sur moi, au travers de moi.
Et lorsqu'elle sera passée, je tournerai mon œil intérieur sur son chemin.
Et là où elle sera passée, il n'y aura plus rien. Rien que moi.

dimanche 1 novembre 2020

Et si on jouait différemment ?

 



Non, pas possible de faire autrement, principe de précaution.

Plus de 7 mois (en France) que nous "vivons" à partir de supputations et de « et si » !

Émotionnel collectif resté bloqué sur peur.
État d’esprit collectif des plus confus.
Météo : fort et épais brouillard.

 




Dictature instaurée au travers de mesures sanitaires délirantes,
après avoir provoqué une terreur collective irrationnelle et invérifiable :
nous menons une guerre contre le siège mondial de la vie microscopique
dirigé par son président du moment : Virus Co-vide, dont nous ne savons rien.

« Avec des si, on pourrait mettre Paris en bouteille », dit l’adage.
Avec des si, ils ont mis quelques 7 milliards d’individus en bouteille !, ressort de l’actualité.

Cela a démarré par une alerte à un virus :
« et s’il tuait des millions de gens ? », nous mettait-on en garde en mars dernier.
Fin octobre, pas davantage de morts que d’autres causes de morts.

Et si l’hécatombe c’était pour demain ?

 

 

En fait, depuis plus de 7 mois, nous sommes en état d’urgence,
consistant notamment à se tenir éloignés les uns les autres et à mettre des masques,
en se basant sur des suppositions sanitaires, des hypothèses et un principe de précaution. 


Et si on reprenait notre vie, tout simplement ?



C’est que, des virus, comme des vaccins, on ne peut rien vérifier par soi-même, on ne peut pas savoir,
on ne peut que les croire sur paroles, les représentants officiels de Virus ;
aussi, depuis 7 mois, nous vivons mal, reclus, méfiants, nourris à la peur et masqués, maintenant re-confinés.

Après l’invérifiable Dieu (des hommes) ‒ l’innomé, l’incréé, provenant de l’infiniment et éternel Ciel-paradis,
avec son épouvantable Enfer pour les réveillés pas-gentils-ni-obéissants-aux-supérieurs ‒,
voici le tout autant invérifiable et éternel Virus, l’invisible sournois provenant de l’infiniment petit.

Certains serviteurs des autorités prétendent savoir comment va se comporter Virus,
alors qu’ils se trompent puisque, dans les faits, ce qu’ils ont prétendu craindre ne s’est pas vérifié.

Et si ces gens-là (scientifiques des multinationales, politiciens, médias des actionnaires des multinationales)
n’en savaient pas davantage que nous sur Virus ?
Et si Virus ainsi que son inséparable Vaccin étaient une de leurs inventions ?


Virus ou non, apeurés ou écœurés, nous perdons nos repères.
Tout devient confus dans nos têtes.

Il ne leur reste plus qu’à instaurer de nouveaux repères de normalité,
fort probablement déjà suggérés par les représentants de Virus Global Technology.

 




Virus  a déjà supplanté Dieu du vieux monde,  à voir l’inquisition qui a commencé
(notamment par une censure ciblée contre la recherche de vérités).


Ô Virus,
fais de moi un citoyen exemplaire doté d’un gros crédit social.



Les paris sont ouverts, Messieurs-dames, qui l’emportera : Dieu ou Virus ?

Notons que nos croyances sont systématiquement dirigées vers l’inconnaissable, tel Dieu ou Virus,
ce qui offre un terrain manipulatoire fertile aux richissimes capricieux voulant imposer leur vision du monde.

Relevons pour terminer ce bilan incroyable que :
rien ne change ni ne progresse, au fond.


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6 commentaires:

  1. Oui, avec des si... et des mensonges aussi
    Et encore la volonté de contrôler.
    Oui, tu le dis fort justement !

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    1. Des si... et des mensonges, cela ferait un bon titre de roman à la Dostoïevski.

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  2. Ce soir j'ai entendu ce toubib

    https://www.youtube.com/watch?v=mFNSYAUntsw&feature=emb_logo

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    1. Merci Saby
      Excellent entretien avec cette docteur bardée de diplômes, titres, distinctions, etc.
      A écouter d'urgence

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  3. "De plus en plus dépassé je me sens" dixit tmor en mode ioda qui se demande ce que fait la force. Mais cela n'empêchera pas de regarder le ciel et l'arbre qui me fait face. Belle journée à toi.

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