La peur est la petite mort qui conduit à l'oblitération totale. La peur tue l'esprit.
J'affronte ma peur. Je lui permets de passer sur moi, au travers de moi.
Et lorsqu'elle sera passée, je tournerai mon œil intérieur sur son chemin.
Et là où elle sera passée, il n'y aura plus rien. Rien que moi.

dimanche 30 octobre 2022

Noir solœil, l'illusion augmentée

 

Un soleil noir ?
Brrrr…, quel symbole effrayant !

Nos plus lointains ancêtres étaient terrifiés lorsque…
Eclipse

Un soleil noir, est-ce que un tel astre existe ?
Pour quelles raisons et à quelle fin en est-on arrivé à imaginer une telle abjection ?

Seuls des déments peuvent rêver d’un soleil noir.
Dingue, certains veulent pervertir même le soleil !


Un soleil noir ne diffuse pas de lumière, si ?
Évoluer la nuit, 24H/24 sous l’œil de webcams et l’éclat de néons "intelligents".
Ce doit être pourquoi "ils" veulent nous surveiller et contrôler autant,
afin que nous n’ayons pas peur d’un avenir sous soleil noir ?
Brrr…, rien que d’écrire cette possibilité me fait peur.

Le soleil est la source majeure d’énergie, de lumière et de vie, pour nous terriens.

Au bal cosmique,
il arrive que la lune passe devant le soleil
et alors, on voit…
un soleil noir.

 




En tant que symbole et dans son aspect péjoratif,
la lune figure le leurre, le mensonge, la fausseté, l’illusion.

La lune ne fait que réfléchir la lumière du soleil.
Le soleil éclaire les situations rendues confuses durant la nuit.

Lorsque la lune passe devant le soleil, elle éclipse le lumineux ‒ la Vérité de ce qui est, d’instant en instant.
Durant quelques instants, c’est comme si la lune voulait prendre la place du soleil.
La lune voulant devenir Calife à la place du Calife, pour nous imposer sa fausse lumière.

Le soleil noir serait l’un des symboles majeurs des satanistes.
Satan représente l’adversaire du juste, vrai, beau et bon.
C’est en reconnaissant le faux et mauvais qu’on connaît le juste et bon.
Les satanistes ne vénèrent pas, pas forcément, un cornu séducteur dépravé, ni Baal ou Moloch :
ils vouent un culte à leur propre ego, qui, comme la lune, essaye régulièrement d’occulter le soleil.
God hasn’t saved the Queen !

Et dire que l’humain se considère le plus intelligent et supérieur à toutes autres formes de vie.
Hummmh
Les transhumanistes, eux, modestes, se croient supérieur à Dieu !
Ah ? Cool ?
Régression : on est aussi abrutis que nos plus lointains ancêtres !

Comprendre leur symbolisme permet de comprendre l’(anti-)esprit des « élites » auto-proclamées.
Connais-toi toi-même et apprends à connaître ton adversaire ou ton ennemi.

Pour celles et ceux ayant besoin d’espoir ou d’espérance :
jusqu’ici, la lune ne parvient pas à dissimuler longtemps la lumière du soleil.

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vendredi 28 octobre 2022

À temps (II)

 
Il semble que Temps agisse différemment dans les diverses dimensions de vie.
Par exemple : Terre aurait entre 5 et 15 milliards d’années, et Elle serait jeune !
Bien que Terre soit elle aussi soumise à Temps, son processus de vie/mort se déroule
infiniment plus lentement que le processus de vie/mort de l’humain qui, lui, vit en moyenne ~80 ans.
« Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas », sauf que Temps se déroule en haut
différemment qu’en bas.

Mystère est Temps.

Comme l’a observé le grand J. Krishnamurti, notre rapport individuel au temps est relatif car :
1) Nous percevons le mouvement du temps par nos sens, par exemple le mouvement des corps, des saisons, etc.,
ce qui va rythmer nos habitudes, emploi du temps et agenda, cycle d’activité et de repos, etc.
2) Nous percevons également, cette fois de façon subtile, psychologique, le mouvement de nos émotions,
sentiments et pensées. Psychologiquement, notre relation au temps est comme élastique :
parfois le temps passe lentement alors qu’à d’autres moments, « on ne voit pas le temps passer ».
Toute personne pratiquant la contemplation ou la méditation ou la relaxation profonde ou la transe
a expérimenté la perte de la notion du temps.

Relevons encore qu’il s’effectue souvent un décalage entre l’âge physique et l’âge mental d’une personne.
Par exemple : j’ai travaillé auprès de personnes handicapées mentales (présentant un déficit intellectuel) qui,
bien qu’adultes, avaient un âge mental ayant stagné, qui à 5 ans, qui à 8 ans, etc.
Chaque adulte valide, comme toi et moi, peut subir ce décalage entre l’âge mental et l’âge physique.
Par exemple : un homme de 35 ans d’âge physique pourrait n’avoir que 18 ans d’âge mental (se complaisant
à répéter les mêmes comportements, par exemple, son raisonnement et vue sur le monde n’évoluant pas).

C’est comme si Temps établissait une relation individuelle avec chacun de nous.


Qu’est la pensée ?
Un mouvement mémoriel : on passe d’un souvenir à un autre, d’une émotion à une autre,
d’un sentiment à un autre, d’un calcul à un autre, d’une idée à une autre, d’un plan à un autre.
Sans Temps, pas de pensée ni possibilité de calculer ses bénéfices d’ici à l’âge de la retraite.

Qu’est Temps ?
Temps est mouvement.
Sans mouvement, pas de mort ni naissance, c’est-à-dire pas de vie.
Toi et moi ne serions pas là en train de respirer, sans l’œuvre de Temps.

Tout (sur Terre) est conséquences et effets de Temps le Transformateur.

La Création (du monde) n’a été possible qu’avec le concours de Temps.
Qui sait, peut-être que le désigné Dieu est Temps ?

Dans un espace, Temps permet de se rendre du Sud ou Nord (par exemple) ;
autrement, sans Temps ce serait l’immobilité, qui est mort lente, non-vie. Espace stérile, sans vie.

La vie est mouvement ; on peut donc penser que la vie est produite par ou grâce à Temps.
Tout ‒ Terre, océan, montagnes, fungi, végétaux et animaux, microbes, étoiles, lune et soleil ‒,
tout ce qui vit est en mouvement, soumis à des processus naturels qui dépassent notre entendement.

Temps est vie : naissance, développement, épanouissement, joie, tristesse, colère, jouissances, plaisirs…
Impermanence de tout ce qui vit.

La permanence échappe à Temps.
Il semble que l’essence de toute vie se tienne hors Temps.

Temps est extraordinaire, merveilleux.
Temps produit la Beauté, les floraisons, l’Amour éprouvé grâce à des relations saines…

 

Poussières de poussières nous sommes.
En de rares poussières, une goutte d’eau.

Ô mon âme,
L’esprit allégé des peurs et blessures passées,
Chevauchons Temps le Créateur avec courage et audace,
avant le retour inéluctable à ta Source Permanente.

 

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mercredi 26 octobre 2022

À temps (I)

 

Note à MIVILUDES : il me semble que vous ne faites pas votre travail car, sinon, vous le faites mal (selon moi)
puisque des sectes dangereuses pour l’humanité sévissent dans l’impunité, comme celle des transhumanistes
qui nous imposent leur idéologie démente (n’étant plus reliée ni avec la Réalité Naturelle ni avec Dieu).

 

Temps terrorise : aurons-nous à manger demain ? Je ne veux pas ou plus souffrir,
j’ai peur de mourir, d’être malade, de vieillir, d’aimer, de l’échec, d’être ruiné, du futur, de vivre.

Cette crainte irrationnelle du futur est propre à l’humain. Les autres animaux ne délirent pas de la sorte.
Cette peur sans motif direct, psychopathologique, découle de notre capacité à s’abstraire de la Réalité en cours
(en mouvement) et à se représenter les choses à sa façon, selon ses éducation, conditionnement,
blessures d’estime, croyances, idéaux, allégeances, fantasmes, etc.

 

Philippe Geluck



Plutôt que de profiter pleinement de vivre ici et maintenant, on appréhende la suite, jusqu’en 2030, 2050,
en répétant inlassablement des schémas de fonctionnement connus, dépassés, usants,
et des comportements le plus souvent inculqués à notre insu, qui n’ont plus rien de naturels.
On craint l’avenir tout en ravageant l’écosystème (chercher l’incohérence et l’irresponsabilité),
ce qui ne peut que nous angoisser davantage, n’est-ce pas ? C’est mathématique, logique :
plus on détruit ce qui nous nourrit, plus nous angoissons pour la suite des événements.
Alors, le délire n’ayant pas de limite, on fantasme que Temps s’arrête, avec l’idée de "vivre"
sans plus jamais mourir ni vieillir. Délire mécanique éternel généré par l’activité reptilienne
du cerveau (niveau d’intelligence le plus bas, mentalité primaire et duelle).

De se réfugier trop souvent et trop longtemps dans l’abstraction, au détriment du Vrai en mouvement,
rend dément, psychotique (évoluer hors Réalité). Vivement le « metaverse » de FessebouC.I.A.

Nos peurs irrationnelles ainsi que nos activités inconséquentes nous font courir toujours plus vite,
comme si Temps nous poursuivait avec une seringue dont on ne connaît pas le contenu.

Toi, internaute,
saches que ton corps n’est plus ton corps mais celui de l’OMS (Organisation des Moi Satanistes)
financée par Billy Gates to evil on earth.

Castrés, nous restons assis derrière des écrans contrôlés et contrôlant, au motif d’une sécurité pour tous
qui se révèle, dans les faits, être une sécurité pour "eux" uniquement.
"Leur" sécurité se paye par notre sueur et n’est rendue possible que grâce à la corruption des âmes
(système de dettes, par exemple) et aussi, par moult contraintes sur nos libertés d’être et d’agir.
Des programmeurs et des esclaves-robots.
Un esclave « augmenté » ou cyborg ne ressent rien, ne pense pas. C’est l’idéal… pour qui ?
En bref : au nom de « Sécurité pour tous », nous ne vivons plus notre  vie,
mais une vie programmée par une poignée d’humains qui veut nous contrôler
en nous assistant 24H/24 par IA, pour nous apprendre à obéir, sans rechigner.
Bip-bip – information en cours de traitement ‒ bip-bip
La technologie ? Un progrès pour "eux", uniquement,
et une régression pour tous les autres. Âme-haine.

En quoi IA pourrait représenter un danger pour l’humanité ?
L’IA n’est que calcul. Calcul sans émotion ni désir ni passion ni morale (autre que programmée)
ni empathie ni sentiment (autre que programmé), etc.
Peut-on comparer une machine à calculer à un être humain ?
Comment peut-on laisser des algorithmes décider de notre emploi du temps et de notre comportement ?

Qu’est-ce qui nous fait accepter ce qui est agendé jusqu’en 2030 notamment par l’ONU (Organisation
des Nazis Unifiés) ?
Ces sectes (Bildeberg, Club de Rome, WEF, jésuites, françs-maçons, etc.) contrôlent même notre temps !

Pourtant, ce serait simple : il suffit de dire NON, VOTRE AGENDA N’EST PAS LE MIEN.

Réfléchir ne tue pas ni ne rend malade ni n’est viral, pas besoin de masque :
toi qui lis, tu ne serais pas là, ici et maintenant, sans l’action de Temps. Rappelle-le-toi souvent.
Pour échapper à Son inéluctable processus de transformation constante, dont nous sommes le fruit,
nous fuyons dans le confort sécurisé et bétonné où on nous répète inlassablement de la propagande anxiogène.
Ou sinon,
fuyons-nous notre culpabilité de tant maltraiter notre corps ainsi que l’environnement naturel ?
Ce qui expliquerait ce nouveau culte à la psychopathie : ne plus rien ressentir, ni affect ni empathie
ni culpabilité ni sens moral ni honte. Seule la jouissance égotique des résultats immédiats compte.
Moi-je veux, moi-je prends, moi-je consomme, moi-je jette.
Regardez et constatez par vous-mêmes : Ego l’Anti-Temps, ne crée que des déchets toxiques et des malheurs.

Comprendre une chose importante : en ramenant la bataille entre le Mal et le Bien en soi-même,
nous observons que l’ego est sataniste puisque menteur, tricheur, séducteur, lâche, insatiable, vicieux, etc.
Par déduction, le Bien ne peut pas provenir de l’ego.
Donc, si Satan symbolise l’ego (en chacun), quelle part ou quoi de soi symbolise l’ange, le juste et bon ?

Prendre son temps…

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dimanche 9 octobre 2022

Bébés traumatisés, anthropomorphisme ?

 
Pour expliquer la résistance au changement de la plupart des humains conditionnés depuis leur naissance
à ne voir en le changement qu’une perte de sécurité, une prise de risque insensée non couverte
par les assurances, les humains rendus anxieux par une incessante propagande médiatique
préfèrent "vivre" en rejouant incessamment le connu, comme vu à la TV, avec davantage de "progrès",
répétant inlassablement les mêmes schémas relationnels et comportementaux, de générations en générations,
l’esclave restant esclave, le maître restant le maître, le soldat restant soldat obéissant.
L’humain contemporain, ayant réponse à tout, plus qu’omniscient grâce à IA, prétend savoir
pourquoi on résiste inconsciemment à la transformation des choses pourtant Naturelle et inéluctable :
nous aurions tous subi le traumatisme de la naissance ! Si, si,
ce serait pourquoi notre chochotte d’inconscient se refuserait à l’idée (abstraite et donc, irrationnelle)
de la souffrance. À cause de notre traumatisme de la naissance, on résiste à l’inconnu, aux transformations,
au changement pouvant pourtant mener à un mieux être et vivre.
Euh… Hein ?
Les spécialistes ont tout compris. Ben oui, ce ne serait pas des experts, autrement.
On n’y peut rien, on est tous des traumatisés.
Euh…, sauf les bébés nés par césarienne ?

Vivement les conceptions en machine-utérus-IA hyper confortable et sécurisée, sous garantie durant 59 ans.
Au moins, y aura plus à naître. Sortir du vagin du corps nous ayant donné vie pour se retrouver traumatisé à vie.
À bas les mères, vive le transhumanisme et les LGBTabcdefghijklmnopqrstuvwxyz+.

 



Soucieux d’éviter d’écrire des bêtises, j’ai fait une rapide recherche et nous devons ce « traumatisme
de la naissance » au psychanalyste Otto Rank. Quelques extraits : 

La théorie d'Otto Rank (...) définit ce traumatisme initial comme le principal facteur définissant notre vie psychique. Le traumatisme est lié à la séparation brutale de la mère. Mais aussi au passage soudain
d’un environnement protecteur à un environnement hostile.

Commentaire : étrange façon d’aborder un processus naturel. Vaudrait-il mieux que le fœtus reste dans le ventre de sa mère, je veux dire au-delà des neuf mois de gestation ? Ce nouveau-né, se dit-il « oh, quel environnement hostile, je retourne dans le ventre de ma mère ? »
Concernant l’environnement hostile : que dire de l’arrivée du fœtus en un milieu froid, stérile, où il se retrouve manipulé, pesé, piqué, par un médecin à la solde de Big Pharma, avant qu’on le laisse enfin, un moment,
avec sa mère ?

Les thèses du traumatisme de la naissance d’Otto Rank n’ont pas été suffisamment diffusées.
Malgré cela, elles sont acceptées par un nombre important de psychanalystes, psychologues et médecins.
En fait, de nombreux (professionnels) estiment que le travail thérapeutique revient à surmonter l
a naissance, à surmonter la traumatisme initial.


L’une des sources de controverse en ce qui concerne le traumatisme à la naissance est la suivante :
le cerveau du nouveau-né n’est pas suffisamment développé pour enregistrer ses expériences
comme un traumatisme (dans le sens strict du terme). Il est certain que l’enfant souffre à la naissance.
Or, pour beaucoup d’entre nous, cette souffrance ne peut pas déterminer la vie psychique de l’individu.


Commentaire : comment être « certain que l’enfant souffre à la naissance » ?

Une croyance populaire : Eve, bannie, doit dorénavant souffrir en enfantant.
Peut-être serait-il temps de laisser de côté cette Genèse n’ayant pas plus de sens que l’histoire du Père Noël ?

Au fait, c’est la mère qui souffre mais ce serait la chair de sa chair encore dans la confusion et le Mystère
qui subirait un traumatisme ?

Ne serait-ce pas une forme d’anthropomorphisme que de penser cela ?

De mon point de vue et selon ma connaissance, pour subir un traumatisme, encore faut-il avoir une mémoire fonctionnelle (un traumatisé subit une perte de mémoire) ainsi que l’émotionnel développé et aussi,
une vie intérieure (psychisme) et encore, un esprit opérationnel puisqu’on dit que l’esprit ‒ ou la conscience ‒
se dissocie du corps, comme s’il s’en extrayait, et ce, pour échapper à une souffrance insupportable (situation traumatisante). Le fœtus, chair de sa mère, prêt à sortir, serait-il déjà doté d’une mémoire, d’émotions et d’un esprit en état de fonctionner ?
Si non, je ne vois pas comment le nouveau-né pourrait être traumatisé ?

 




La chair d’une chair est expulsée lorsque son développement (fœtal) arrive à terme.
Comment et qui peut savoir ce que ressent le fœtus au moment de la « délivrance » ?

Tiens, on dit « délivrance ». Voilà encore une idée conditionnée : une délivrance serait traumatisant ?
Ben zut, j’veux pas être délivré ! Après ça, on s’étonne que l’esclave s’achète lui-même ses chaînes.

Pour ce que nous en savons, de la vie psychique du nouveau-né : ses perceptions sont confuses au point
qu’il ne se distingue pas de la mère. Il va lui falloir plusieurs mois avant que ne fonctionne sa mémoire
et plus de mois encore avant que ne fonctionne son esprit.
Peut-on, dans ces conditions, parler de « traumatisme de la naissance » ?
Cela m’apparaît ridicule, insensé.
Tout au plus, une mère insuffisamment informée, et préparée au préalable, pourrait souffrir d’un traumatisme
subi au moment d’un accouchement particulièrement difficile.

Encore un fait à considérer : si nous sommes tous des « traumatisés de la naissance », c’est donc un état normal.
Pas de quoi en faire une théorie ni lui porter importance.

La question qui en ressort :
Est-ce pour excuser et justifier notre lâcheté et nos peurs irrationnelles du changement et de la mort
que nous évoquons le « traumatisme de la naissance », qui est pure hypothèse, spéculation improuvable.
C’est selon moi, un forme d’anthropomorphisme (prêter au nouveau-né nos perceptions d’adulte en projetant
sur lui notre peur de souffrir).

 


samedi 1 octobre 2022

Ego vs Je

 

Je

Je suis

Je suis interactions


Ego n’est qu’une construction mentale
Qui en est l’architecte ?

Développement d’une personnalité
Inhibition de l’être, de l’élan de vie, de Je

Ego se débat en courant d’avidité rationalisée
Où se glissent des dettes, des formules, des équations

Moi-je parle et parle incessamment, pour se convaincre de son importance
L’esprit exalté, en quête de plaisirs immédiats, moi-je s’enivre
Mépris du féminin, du subtil, de l’Amour et de l’innocence
Enfant intérieur maltraité, rejeté, nié
Conscience muselée et refoulée
Sans foi ni loi. Des calculs.



En relation, moi-je joue la séduction, afin d’utiliser autrui
Faux-semblants, mensonges, tromperies, falsifications, etc.
Moi-je ne génère que nuisances interactives et environnementales.

Moi-je sait, a tout compris et n’a plus rien à apprendre
Défendre des opinions, considérations et croyances à la mode TV du moment

Ego méprise les individus intègres, incorruptibles

Avec toi, ego affirmé, je suis miroir
Miroir de ta conscience malmenée
Glace déformant ta superbe image
Je réfléchis ton ombre
Insupportable

Manque de discernement, tes choix en pâtissent
En réaction, tu m’accuses de tes travers, défauts et manies

Se fuir soi-même, angoissé d’être poursuivi par son ombre déniée

Ego a honte d’être de nature animale, se jugeant supérieur aux autres
Ego blesse qui ne le flatte pas, ne lui sied pas, ne l’a ni séduit ni amusé
Railleries, remarques dévalorisantes et accusations inversées
De piétiner tant d’âmes, sentiment de culpabilité refoulé


Je Vois l’image construite à mon sujet par ton regard formaté et intolérant
Tu ne vois en moi que ta frustration profonde, ton complexe, tes contradictions

Tu veux me dominer, mais ne parviens ni à me cataloguer ni à me subjuguer

Une conscience plus ou moins ensuquée ou corrompue rejette et nie ce que Je lui réfléchit

Culture de l’abstraction et du virtuel
Cultes à Progrès annihilant le Vivant de la Création


Contrôlant non pas autrui mais mon propre ego, Je tempère

Je suis Amour

Je suis

Je
 
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