La médecine occidentale contemporaine ?
Un moyen de nier le corps
et d’évoluer dans le déni de son expression.
Notre relation à la médecine – et donc à notre corps, à notre santé –
se construit sur : la négation de son pouvoir d’autoguérison.
Résultat : on ne s’écoute pas !
On se contente de suivre les Saintes recommandations du docteur
et ce, afin que ce dernier puisse déterminer quels médicaments il faut consommer ;
y compris le médicament pour contrer ou pallier aux effets secondaires du(es) médicament préconisé…
?
C’est une histoire de dingues, non ?
Expérience faite (chercher sur Internet) : sur plus de 50% des personnes testées,
un placebo (un faux médicament, sans effet) a soigné autant qu’un vrai médicament !
« J’ai mal à la tête, je prends une aspirine et puis continuer à faire pour faire…
J’ai un peu de fièvre, je cours chez le docteur.
Je me sens super bien, mais il faut que j’aille voir le docteur,
c'est que ça fait déjà un an que je n’y suis pas allé (et il me manque, le dr, chuut). »
Nous avons perdu le réflexe naturel, spontané, de s’arrêter, de se reposer,
et de se demander « qu’est-ce que le corps exprime par ce mal de tête (par exemple),
et qu’est-ce qui peut en être la ou les cause(s) ? »
« Je suis nerveux, je vais prendre un calmant ;
je dors mal, je prends un somnifère ;
j’me sens stressé et avales un tranquillisant », etc.
Tous les moyens sont utilisés pour ne pas s’écouter,
en continuant à produire, consommer et commenter le dernier match,
un verre d'alcool dans la main, que l'on voit à moitié plein plutôt que vide.
La Machine ne doit pas s’arrêter.
Le Système reste en permanence affamé.
Et, avec la médecine-sparadrap,
tout va.
Quel est le tout premier être humain
auquel chacun de nous s’est confronté dès la naissance ?
Ta mère ?
Ha, ha, ha, elle est bonne celle-là (non, pas ta mère).
Comme avec les animaux d’élevage,
on nous a habitué dès la naissance à la présence indispensable des docteurs.
Bienvenue dans le monde médicalisé de la croissance du PIB.
Où naissent les bébés ?
Dans un hôpital.
À quoi servent les hôpitaux ?
À soigner des malades, des accidentés, des personnes âgées mourantes.
Ah ?
Et pourquoi nous naissons dans un tel sordide établissement ?
?
Qui est la dernière personne que l’on voit (le plus souvent) ?
Un médecin.
Qui nous vaccine, sans raison autre que économique ?
(Si mon enfant n’est pas vacciné, c’est mon problème. En cas d’épidémie,
si le tien est vacciné, que peut te faire que le mien ne le soit pas ?
Ceux sans argent ni Sécu, on les leur offre les 11 vaccins obligatoires ?)
Qui suit notre évolution en décidant quand et si nous allons bien ou non ?
Qui, en France, est parvenu à s’imposer jusque sur les lieux de travail ?
Et pour quel résultat (en faisant le bilan à ce jour) ?
L’Ordre des médecins.
Un Ordre intouchable
qui ne se remet jamais en question,
et que personne n’ose remettre en question.
Notre corps appartient à la médecine,
ainsi que nos organes,
et notre sang,
et notre avis,
et nos symptômes que seuls les médecins sont censés lire et comprendre !
Déni de la connaissance du corps et de son langage.
Pourquoi nous cache-t-on que l’on peut se guérir soi-même ?
Car, autrement, cela n’enrichirait pas de clinquants deniers dorés,
ni ne procurerait le "jouissif" sentiment de toute-puissance
aux Vénérables et Honorables Docteurs.
Contrôle sur toute la population, de la naissance à la mort.
Une médecine qui déprécie le corps,
et dont la seule action efficace consiste à l’anesthésier,
qu’en penser ?
Notre médecine mène une guerre contre le corps ;
et aussi, contre la mort, l’autre aspect de la vie.
Une médecine irrespectueuse de la vie/mort, quoi.
Qu’en penser ?
Et, surtout, comment s’y fier ?
* * *
Que fait un docteur, au juste ?
Il est censé aider ce qu’il appelle son « patient ».
Que penser d'un médecin ne s'intéressant pas aux techniques de communication
(autres que de management) et de relation d'aide ?
N'est-ce pas une relation d'aide qu'il devrait instaurer avec son patient ?
Comment aider une personne lorsque, volontairement,
on ne l’écoute pas, c’est-à-dire qu’on ne tient pas compte
des informations que le patient et sa famille transmettent ?
Répondre à des questions prédéfinies coupe la spontanéité
– vivement les robots –,
et cette méthode comporte le risque de laisser de côté des informations
que le patient aurait exprimées de lui-même, mais que le questionnaire
a renvoyé aux oubliettes de sa mémoire béate d’être en présence du docteur.
Comment aider une personne que l'on regarde de haut
alors que, de là-haut, les gents paraissent si… ignares ?
Voici un sketch des Inconnus bluffant de réalisme (bien vu, Cres).
Relevons que cette équipe de doués résume parfaitement la relation docteur-patient
avec les deux mots « médecin papa » :
Il y a, depuis des années, débat sur l’euthanasie,
sujet encore tabou en France (!).
L’euthanasie est pratiquée dans certains pays, même en Europe.
Est-ce un faux et bientôt éternel débat servant à détourner l’attention
d’un vrai débat restant dans l’ombre ?
Mise en situation (inspirée de faits réels) :
Le débat ne porte pas tant sur l’euthanasie, me semble-t-il,
que plutôt sur l’acharnement thérapeutique.
Nous avons des moyens pour faire partir dignement des personnes,
comme beaucoup le font pour leurs animaux de compagnie,
mais nous ne le faisons pas, pas pour les humains !
Sous prétexte du serment de l’autre, là.
Pourquoi, pour quelles raisons et au nom de quoi,
ces personnes doivent-elles vivre
non pas jusqu’au bout
mais jusqu’à ce que la médecine ne puisse plus rien… consommer ?
Le débat sur l’euthanasie ne paraît être qu’un prétexte,
une diversion,
servant à ne pas entamer le véritable débat qui s’impose :
faut-il encore continuer de s’acharner médicalement
lorsque la personne est condamnée
et qu’elle demande elle-même à partir ?
Acharnement médical, soi-disant thérapeutique,
au nom du serment d’Hippocrate,
consonance proche d’hypocrite.
À qui profitent, économiquement, tous ces médicaments, matériels, etc. ?
Aux malades ?
Ou aux multinationales comme Bayer, qui a racheté… Monsanto !
Hein, quoi ?
Ils font des médicaments-soi-disant-pour-soigner et, en même temps,
ils fabriquent des pesticides et autres poisons-qui-rendent-malades
à pulvériser sur les terres en infectant l'eau des nappes phréatiques ?
Le commerce autour de la santé est malsain, très.
Preuve en est, s'il en faut, que ce n’est qu’une affaire de sous :
dans les pays pauvres, si ces derniers ne payent pas d’avance,
ils ne sont pas soignés !
Ils sont sivilement rejetés dans la rue par les Vénérés Docteurs.
Ouhouh, y a quelqu’un ?
On se réveille,
le cauchemar se termine…
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Lien
* S’adresser au docteur
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Un moyen de nier le corps
et d’évoluer dans le déni de son expression.
Notre relation à la médecine – et donc à notre corps, à notre santé –
se construit sur : la négation de son pouvoir d’autoguérison.
Résultat : on ne s’écoute pas !
On se contente de suivre les Saintes recommandations du docteur
et ce, afin que ce dernier puisse déterminer quels médicaments il faut consommer ;
y compris le médicament pour contrer ou pallier aux effets secondaires du(es) médicament préconisé…
?
C’est une histoire de dingues, non ?
Expérience faite (chercher sur Internet) : sur plus de 50% des personnes testées,
un placebo (un faux médicament, sans effet) a soigné autant qu’un vrai médicament !
« J’ai mal à la tête, je prends une aspirine et puis continuer à faire pour faire…
J’ai un peu de fièvre, je cours chez le docteur.
Je me sens super bien, mais il faut que j’aille voir le docteur,
c'est que ça fait déjà un an que je n’y suis pas allé (et il me manque, le dr, chuut). »
Nous avons perdu le réflexe naturel, spontané, de s’arrêter, de se reposer,
et de se demander « qu’est-ce que le corps exprime par ce mal de tête (par exemple),
et qu’est-ce qui peut en être la ou les cause(s) ? »
« Je suis nerveux, je vais prendre un calmant ;
je dors mal, je prends un somnifère ;
j’me sens stressé et avales un tranquillisant », etc.
Tous les moyens sont utilisés pour ne pas s’écouter,
en continuant à produire, consommer et commenter le dernier match,
un verre d'alcool dans la main, que l'on voit à moitié plein plutôt que vide.
La Machine ne doit pas s’arrêter.
Le Système reste en permanence affamé.
Et, avec la médecine-sparadrap,
tout va.
Quel est le tout premier être humain
auquel chacun de nous s’est confronté dès la naissance ?
Ta mère ?
Ha, ha, ha, elle est bonne celle-là (non, pas ta mère).
Comme avec les animaux d’élevage,
on nous a habitué dès la naissance à la présence indispensable des docteurs.
Bienvenue dans le monde médicalisé de la croissance du PIB.
Où naissent les bébés ?
Dans un hôpital.
À quoi servent les hôpitaux ?
À soigner des malades, des accidentés, des personnes âgées mourantes.
Ah ?
Et pourquoi nous naissons dans un tel sordide établissement ?
?
Qui est la dernière personne que l’on voit (le plus souvent) ?
Un médecin.
Qui nous vaccine, sans raison autre que économique ?
(Si mon enfant n’est pas vacciné, c’est mon problème. En cas d’épidémie,
si le tien est vacciné, que peut te faire que le mien ne le soit pas ?
Ceux sans argent ni Sécu, on les leur offre les 11 vaccins obligatoires ?)
Qui suit notre évolution en décidant quand et si nous allons bien ou non ?
Qui, en France, est parvenu à s’imposer jusque sur les lieux de travail ?
Et pour quel résultat (en faisant le bilan à ce jour) ?
L’Ordre des médecins.
Un Ordre intouchable
qui ne se remet jamais en question,
et que personne n’ose remettre en question.
Notre corps appartient à la médecine,
ainsi que nos organes,
et notre sang,
et notre avis,
et nos symptômes que seuls les médecins sont censés lire et comprendre !
Déni de la connaissance du corps et de son langage.
Pourquoi nous cache-t-on que l’on peut se guérir soi-même ?
Car, autrement, cela n’enrichirait pas de clinquants deniers dorés,
ni ne procurerait le "jouissif" sentiment de toute-puissance
aux Vénérables et Honorables Docteurs.
Contrôle sur toute la population, de la naissance à la mort.
Une médecine qui déprécie le corps,
et dont la seule action efficace consiste à l’anesthésier,
qu’en penser ?
Notre médecine mène une guerre contre le corps ;
et aussi, contre la mort, l’autre aspect de la vie.
Une médecine irrespectueuse de la vie/mort, quoi.
Qu’en penser ?
Et, surtout, comment s’y fier ?
* * *
Que fait un docteur, au juste ?
Il est censé aider ce qu’il appelle son « patient ».
Que penser d'un médecin ne s'intéressant pas aux techniques de communication
(autres que de management) et de relation d'aide ?
N'est-ce pas une relation d'aide qu'il devrait instaurer avec son patient ?
Comment aider une personne lorsque, volontairement,
on ne l’écoute pas, c’est-à-dire qu’on ne tient pas compte
des informations que le patient et sa famille transmettent ?
Répondre à des questions prédéfinies coupe la spontanéité
– vivement les robots –,
et cette méthode comporte le risque de laisser de côté des informations
que le patient aurait exprimées de lui-même, mais que le questionnaire
a renvoyé aux oubliettes de sa mémoire béate d’être en présence du docteur.
Comment aider une personne que l'on regarde de haut
alors que, de là-haut, les gents paraissent si… ignares ?
Voici un sketch des Inconnus bluffant de réalisme (bien vu, Cres).
Relevons que cette équipe de doués résume parfaitement la relation docteur-patient
avec les deux mots « médecin papa » :
Il y a, depuis des années, débat sur l’euthanasie,
sujet encore tabou en France (!).
L’euthanasie est pratiquée dans certains pays, même en Europe.
Est-ce un faux et bientôt éternel débat servant à détourner l’attention
d’un vrai débat restant dans l’ombre ?
Mise en situation (inspirée de faits réels) :
Service de chirurgie d’un hôpital de zone,
une femme d’environ 60 ans a rejoint le service.
Les chirurgiens lui ont sorti un kyste gros comme un pamplemousse,
et ont découvert un cancer généralisé bien avancé.
Tout est pourri en elle, l’intestin, etc.
Brusquement dit : la dame est foutue.
La femme geint, souffre énormément.
Des tuyaux traversent ses deux bras,
et des sondes la transpercent de partout,
dont l’une rattachée à un sac pour évacuer les urines,
et une autre pour évacuer les selles.
Moment de soins,
la femme se plaint, refuse qu’on s’occupe d’elle,
- Laissez-moi, laissez-moi mourir
- Mais non Madame, il faut vivre, accrochez-vous...
- Aah, aaah, noon…
La femme est sous morphine,
les docteurs savent qu’elle peut mourir à tout instant.
Elle en a pour, au plus, quelques semaines,
les infirmières le savent aussi,
les aides-infirmiers le sentent.
Mais tout continue comme si de rien,
♫ tout va très bien, Mme la Marquise ♪
soins, toilettes, repas par intraveineuse.
- Il faut tenir Madame
- Noon, aah, laissez-moi mourir, aaah
Quelques visites défilent durant les après-midis.
Avec un air à la fois emprunté et dégoûté (de l’état de Madame),
les visiteurs ne savent que dire, alors ils articulent des banalités,
comme « ça va aller, t’en fais pas », susurrées sur un ton mal assumé.
Ils lui tiennent la main un moment,
puis s’en vont, rapidement.
Le débat ne porte pas tant sur l’euthanasie, me semble-t-il,
que plutôt sur l’acharnement thérapeutique.
Nous avons des moyens pour faire partir dignement des personnes,
comme beaucoup le font pour leurs animaux de compagnie,
mais nous ne le faisons pas, pas pour les humains !
Sous prétexte du serment de l’autre, là.
Pourquoi, pour quelles raisons et au nom de quoi,
ces personnes doivent-elles vivre
non pas jusqu’au bout
mais jusqu’à ce que la médecine ne puisse plus rien… consommer ?
Le débat sur l’euthanasie ne paraît être qu’un prétexte,
une diversion,
servant à ne pas entamer le véritable débat qui s’impose :
faut-il encore continuer de s’acharner médicalement
lorsque la personne est condamnée
et qu’elle demande elle-même à partir ?
Acharnement médical, soi-disant thérapeutique,
au nom du serment d’Hippocrate,
consonance proche d’hypocrite.
À qui profitent, économiquement, tous ces médicaments, matériels, etc. ?
Aux malades ?
Ou aux multinationales comme Bayer, qui a racheté… Monsanto !
Hein, quoi ?
Ils font des médicaments-soi-disant-pour-soigner et, en même temps,
ils fabriquent des pesticides et autres poisons-qui-rendent-malades
à pulvériser sur les terres en infectant l'eau des nappes phréatiques ?
Le commerce autour de la santé est malsain, très.
Preuve en est, s'il en faut, que ce n’est qu’une affaire de sous :
dans les pays pauvres, si ces derniers ne payent pas d’avance,
ils ne sont pas soignés !
Ils sont sivilement rejetés dans la rue par les Vénérés Docteurs.
Ouhouh, y a quelqu’un ?
On se réveille,
le cauchemar se termine…
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Lien
* S’adresser au docteur
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Salut,
RépondreSupprimeroui je pense que vouloir mourir en "dignité" ça se comprends... Mais faut bien le payer le cancer du cachet, argent d’abords, humanité après. Avec un ami, on se parle de nos vies, lui il prend des medocs car il peut entendre des voix qui ont augmenté après un traitement ainsi que(je peux pas y dire)... Pour moi, j'aie eu des hallucination vers 19 20 ans, qui se sont arrêter avec les medocs que je ne peu plus arrêter sans prendre des risques. Bizarre j'avais arrêter le shit pour les hallucination, sa na rien changer.. La j'aie eu un bon psy qui m'a beaucoup aider a me stabiliser et a m’émanciper... Y'a du bon dans beaucoup de chose (surtout le lepticur!!!)..
@++ merci pour tes textes et bon weekend (sans musique ;)))
:)) "le cancer du cachet, argent d'abord, humanité après", voilà l'esprit. Bien résumé.
SupprimerY a de bons docteurs, de bons psys, de bons cordonniers,
de bons travailleurs sociaux, et même de bons politiciens, etc.
Par rapport à ce que tu dis, Cres, il y a des personnes qui sont sensibles à des "choses" différentes, genre métaphysiques ou extra-lucides...
Le problème, c'est que les médecins jugent cela "pas normal".
Nous savons tous que les choses irrationnelles sont mal perçues par l'idéologie hyper rationnelle du Système, notamment parce que cela échappe au besoin de tout contrôler...
Les personnes éprouvant le monde autrement se retrouvent désemparées,
et seules avec leur "don", ne sachant qu'en faire, comment vivre avec, etc. ;
et les médecins leur conseille un traitement pour contrer ces ressentis.
C'est mon avis sur le sujet.
Bon w-e aussi Cres ;)
https://www.youtube.com/watch?v=RFLxu5_m3r8
RépondreSupprimerPour finir avec le sourire :))))
Oh, putain ! C'est exactement ça !! Mdr
SupprimerMerci Cres
(Suivre le lien, c'est les Inconnus sévissant dans un hôpital...)
Trop fort Cres, merci
SupprimerJe constate juste que plus on prend de médicaments plus on est malade ! :D
RépondreSupprimerEuh, cauchemar ? Réalité oui !
j'ai revu avec grand plaisir le sketch des inconnus !
J'l'ai intégré au texte, le sketch, car c'est ça, exactement ça, l'esprit docteur.
SupprimerBon jour Vi ;)
Eric,
RépondreSupprimerC'est clair qu'il y a des failles dans le système...
Bon dimanche.
Thierry
Comme l'enfant, je suis irrésistiblement attiré par les failles
Supprimer:o
"Failles" sonne comme un euphémisme à mon oreille.
Bon jour à toi aussi, Thierry
Bjr Eric,
RépondreSupprimerNotre corps appartient à la médecine,(non à moi)
ainsi que nos organes,(moi aussi)
et notre sang,(moi aussi)
et notre avis,(à moi de décider)
et nos symptômes que seuls les médecins sont censés lire et comprendre !(sans commentaires sur les médecins car il y à + des mauvais que des bons et surtout pour encaisser une consultation)
Kikou Eric :-)
Je suis anti médecins pendant des années j'en avais pas besoin , ensuite j'ai dus
en prendre un mais juste parce que mon assurance maladie me demandait d'en avoir un
(médecin de famille) donc cela fait depuis trois ans.
Moi pour le moment ben j'ai pas à me plaindre questions santé que des petites bricoles,mais pour le reste de ma vie je me méfie des médecins!!!
J'ai dus tant me battre pour la famille.
A l'époque mon papa avait très mal au dos subitement et perte d'appétit, quand je l'es amené chez son médecin, il lui à juste prescris un anti douleurs et des vitamines pour le manques d'appétit.Mon père avait de + en + mal , mais rien même
pas une radio du dos à été exigée par le médecin!!
Deux mois plus tard j'ai fais venir un médecin à domicile et mon père à été hospitalisé,mon père avait un cancer mais tellement avancé qu'il est décédé trois semaines + tard.
En gros la plupart des médecins ne sont pas à l'écoute du patient!
Des failles oui il y en à bcp trop.
Je déteste les blouses blanches:-))
Bon dimanche
Ouch...
SupprimerÊtre à l'écoute, le grand besoin du moment (qui dit besoin, dit manque),
et surtout (ce devrait être évident, pas besoin d'en parler) de ceux qui sont censés aider, oui.
Merci Lucette pour ton témoignage.
;) agréable soir à toi
Elle ma bien fait rire la vidéo des inconnus:-))
RépondreSupprimer;))
SupprimerIls savent observer, les Inconnus.