Sauve-toi et tu en sauveras d'autres

 
Qu'est-ce qui, quoi, nous sauvera ?
Qui nous sauvera ?

On peut toujours espérer et attendre un secours extérieur, un programme politique parfait,
un coup d'État, un miracle...,
pendant que "eux" continue à mettre en place leur Plan,
avant et après avoir violé, peut-être torturé et tué quelques-uns de vos enfants et adolescents.


Aimez-vous vous-même,
ainsi vous serez amenés, naturellement, à respecter toute forme de vie,
et cette autre merveille qu'est notre semblable qui, le plus souvent, ne le sait pas,
ne se respecte pas, trop tourné qu'il est vers l'extérieur (à lui-même) en espérant un mieux,
en stressant pour sauver... son image sociale, son confort et ses mauvaises habitudes addictives.

Et si c'était vous, toi, qui nous sauverez tous ?

Se réveiller (ouvrir les yeux, les oreilles et également les sens intérieurs comme le ressenti),
respirer profondément,
apprendre à prendre soin de soi, à penser par soi-même (pas besoin d'avoir étudié pour réfléchir),
représenter sa propre autorité (si vous en ressentez le besoin), son propre gouvernement (être à la fois
le roi, le ministre, le sage et le peuple de son royaume, pourrions-nous dire à partir du Yi-King).

Notre futur n’est pas écrit sur un plan ou dans un livre pensés par quelques humains,
déviants et psychopathes pour la plupart.

Notre futur ainsi que la santé et le mieux-vivre ensemble émanent du fond de nous-mêmes,
de chacun d’entre nous.

Avoir un plan d'avenir : répétition du passé, avec un patron, une marche à suivre,
faisant croire et espérer que « demain sera mieux, en plus progressé et augmenté ».

Le futur, c'est toi, c'est vous, c'est moi,
ce sont vos enfants et leurs élans naturels (provenant du fond de leurs personnes).

Pas besoin d'autorité pour retrouver goût à la vie.
Pas besoin de médecin pour rester en bonne santé.
Pas besoin de politicien pour diriger son existence.
Pas besoin d'expert estampillé "scientifique" pour se poser des questions et apprendre.

Comprenez-vous le mouvement sain de l'égoïste, ni égocentrique ni égotiste,
juste conscient d'être une merveille corps-esprit non-séparé ?

 

Il faut cesser d’opposer la matérialité à la spiritualité,
ce n'est pas le bien contre le mal, les hommes ou les femmes,
c'est une question d'équilibre, équilibre qui s'appréhende par le bon sens,
c'est pourquoi les profanes (non-universitaires) peuvent faire preuve d'un esprit bien plus sensé,
ouvert et créatif, que les universitaires à l'esprit labyrinthique rempli de formules toutes faites
et d'équations à résoudre sous l'œil vigilant de leurs professeurs formatés conformes.
Leurs recherches s'effectuent à partir d'hypothèses et postulats.
Saisir l'absurdité limitante de cet état d'esprit et le monde se portera mieux.


Considérons un fait : de ce que nous savons, Jésus Christ a commencé par s'intéresser au premier testament.
Une démarche classique, conventionnelle. On peut dire qu'il était un jeune bigot.
Ensuite, il a voyagé, s'est isolé dans le désert, a probablement été initié par les Esséniens...
Je veux dire que, égoïstement, il est allé se rencontrer lui-même, l'esprit ouvert,
en se tenant loin du tumulte social et de la propagande des dirigeants
(propagande servant à maintenir notre conditionnement à l'obéissance
et à n'ingérer que certaines informations au détriment d'autres).
C'est par cette démarche que Jésus a senti  ce qu'est une personne (dans sa globalité :
corps-instinct, émotion et esprit) dotée d'un potentiel latent inouï (sommeillant en chacun).
À partir de là, de lui-même, il est retourné dans le tumulte des villes, sans peur,
n'attendant plus rien de l'extérieur (plus besoin du testament ni de politiciens),
étant devenu sa propre source d'inspiration, sa propre autorité...