Réagir pour traverser la peur

Chaque jour qui passe nous enfonce davantage, lentement mais sûrement,
dans la misère psychologique et sociale :
c'est comme si le terrain qui nous supporte était devenu sables mouvants.
 

On s'enlise et la peur étend son emprise.

Le pire, dans cette configuration, c'est que, maintenant, il y a de plus en plus de motifs réels d'avoir peur :
- depuis un an déjà, la plupart de rester tétanisé par un film de propagande TV/médias intitulé
Le Corona masqué à Hollywood (mais qu'est exactement un virus ?
Comment vérifier par soi-même sachant qu'on nous ment officiellement : test PCR trompeur,
très peu de morts covidiques, cause de décès falsifiés, vaccin qui est, en fait, une expérience ARNm,
interdiction de médicaments bon marché qui soignent en cas de grippe covidienne, etc.) ;

- peur de la situation économique et de la grande réinitialisation,
un projet dément focalisé sur le tout-contrôle de masse et de chacun
et, surtout, qui apparaît maintenant comme un effroyable complot des élites-de-l'ombre
qui ne nous ont pas demandé notre avis pour ce bouleversement total de fonctionnement.
Eux s'y préparent, à leur changement, depuis plus de dix ans, depuis plus de deux cent ans même,
alors que nous, non-préparés, choqués, terrifiés par une mort brandie tel un fouet,
on se prend un déluge de contraintes et d'interdictions insensées dans la poire,
en attendant ..., quoi ?

- peur de la 5G, des nanoparticules, de la bio-ingénierie, de l'OGMisation du vivant, de BigIA, etc.

- (pour ma part) peur des "vaccins", des tests PCR, des vaccinés, de la démence des élites,
des philanthropes, de l'idiotie collective qui, bien que masquée sur masque, transparaît plus que jamais.


Avant de penser à des actions, encore faut-il réagir, se secouer et émerger de la torpeur
puis, simplement, crier « stop, ça suffit », après avoir éteint la TV.

Il faut impérativement exprimer sa(es) peur, l'extérioriser (afin notamment de ne pas la garder en soi,
et ne pas la laisser occuper notre esprit en ressassant des arguments et contre-arguments, etc.)
Peu importe la façon d'exprimer le sentiment (impression générale) :
faire une sculpture, un collage, une enveloppe-art, un texte, une poésie,
des photos, une peinture, pousser un cri dans les bois, etc.
L'extériorisation de nos émotions et sentiments est cathartique.
Pour le moins,
cet acte (extérioriser son ressenti) engage un processus de guérison-libération (de la peur, dans cet exemple).
Comment traverser sa peur si on ne l'accueille pas ? Comment traverser sa peur si on ne la reconnaît pas ?
Comment traverser sa peur si on la nie, la dénie, la contient en voulant se contrôler
et faire bonne figure, positive attitude (plus besoin de sourire) ?

Ne pas lutter contre la peur, mais l'apprivoiser : l'émotion est sauvage.
Prendre le temps de comprendre sa raison d'être, à la peur,
et ne pas la laisser se cristalliser, devenir un sentiment durable (d'autant si l'émotion est morbide).

La peur, comme toute autre émotion, est un signal, un message ou un avertissement,
qu'il faut considérer, c'est important, cependant sans se laisser absorber ni envahir ni déborder.
Une fois le signal entendu, et exprimé s'il a besoin de l'être,
le stress émotionnel baisse d'intensité, jusqu'à revenir en zone neutre.

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