Et le Verbe fut.
Il fut... à quelle fin ?
Pour manipuler le peuple ?
Le pouvoir subjuguant des mots,
d'autant si prononcés d'une certaine façon, dans une certaine ambiance,
durant un rituel remis constamment en scène de la même manière…
Transe collective.
Après avoir abordé le sujet des mots "détonateurs", je reviens sur le sujet de l'hypnose :
la plupart entende le mot « hypnose » et, aussitôt, comme en un réflexe mental, le rejette,
soit parce qu'il fait peur, soit parce qu'on en parle peu et de façon péjorative dans les médias,
soit on ne sait même pas pourquoi au juste, mais on s'en méfie.
Comme la psychologie, on n'aime pas.
Pensez-vous que "eux" ne font recours ni à la psychologie (individuelle et sociale)
ni aux techniques d'hypnose et autres ?
Démystifier l'hypnose : l'hypnose n'est qu'un terme pour définir une intervention par un tiers
sur la fluctuation incessante des états de conscience.
Voilà, c'est tout.
Naturellement, et sans s'en rendre compte, nos états de conscience fluctuent
tout au long de chaque journée et nuit.
Par exemple : on conduit sur un tronçon connu, il y a peu de circulation et, hop,
notre niveau de conscience se modifie, légèrement,
on dit en ce cas qu'on conduit « en mode automatique ».
Un autre exemple : on est sur son lieu de travail dans un certain état de conscience (qui fluctue
au long de la journée et des événements et aussi, de son humeur, de celle des collègues
et, surtout, de celle des cadres et encore, du cul de rêve qui passe, etc.) ;
on rentre chez soi où l'ambiance cocooning nous ramène dans un autre état de conscience ;
on allume la TV et on passe à un autre état de conscience ;
à 20 h, rien qu'en entendant le générique des sacro-saintes "infos" et, hop, notre état de conscience change,
et comme nous sommes occupés à penser à mille et un trucs très importants, on ne s'en rend pas compte.
Lorsqu'on demande à quelqu'un « t'es dans la lune ? », on parle de conscience modifiée (il semble ailleurs).
Dans l'exemple des infos de 20h., du temps de PPD'A, une fois le générique nous ayant ramené
dans un certain état de conscience (collectif), la voix de PPD'A, chaque soir la même,
se diffusant sur la même tonalité, nous maintenait dans un état de conscience propre à écouter...
leurs fadaises.
Comprendre que la modification (et fluctuation) de nos états de conscience est tout-à-fait normale, naturelle.
S'en rendre compte demande d'y porter attention et de s'observer avec un certain recul.
S'en rendre compte permet de prendre le contrôle sur son état de conscience fluctuant.
L'hypnose est technique de manipulation de nos états de conscience.
Pour un thérapeute, l'hypnose est un outil, un moyen.
L'hypnose, est-ce dangereux ?
Un marteau aux mains d'un bricoleur est un outil utile, nécessaire,
mais aux mains d'un assassin, un marteau peut servir à tuer.
Est-ce le marteau qui est dangereux ?
Pour l'hypnose c'est pareil, on peut l'utiliser pour manipuler autrui contre son gré,
et on peut l'utiliser pour effectuer des manipulations thérapeutiques avec le consentement de la personne.
Ce n'est donc pas de l'hypnose qu'il faut se méfier mais de l'intention et des motivations de ceux qui l'utilise.
Ce n'est pas ce qui est mis en lumière qu'il faut craindre, mais ce qui reste dans l'ombre.
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Souci concernant les dégâts psychologiques à venir
Pour le moment, comme la guerre sanitaire continue (peur, couvre-feu, distanciation, etc.),
nous sommes encore sous le choc.
Nos états de conscience (collectifs) ont subi un basculement important.
Ce n'est que lorsque les contraintes sanitaires cesseront,
et que la vie reprendra, avec les petits commerces ouverts (j'espère),
que nous pourrons évaluer l'ampleur des dégâts sociaux
tant physiques et matériels (économiques) que psychologiques.
Nous en sommes à la phase "choc, muscles chauds" ;
nous n'en sommes pas encore à la phase suivante "refroidissement musculaire et douleurs".
Pour comprendre, prenons une situation fictive :
mettons que je me cogne le pied en forêt.
J'ai mal mais continue à marcher car je veux rentrer chez moi.
Tant que je marche, la douleur est supportable (nous en sommes à ce point en ce moment en F).
Ce n'est qu'une fois arrivé chez moi,
lorsque je m'arrêterai pour me reposer, que la douleur va s'intensifier
et que je pourrai constater les dégâts (pied enflé ou non, cassure ? Ligaments ? Entorse ?)
Je veux dire que nous ne pouvons pas encore mesurer les dégâts consécutifs
à bientôt un an de mesures sanitaires absurdes, limite carcérales (à domicile),
à quoi il faut ajouter l'économie effondrée (et ses conséquences comme le chômage,
les suicides, les rages, les dépressions, de soudaines crises psychotiques dues à la perte des repères, etc.)
Nous ne pouvons pas encore faire un bilan global de la situation puisque ce n'est pas terminé.
Encore combien de jours, de mois, ça va continuer ce délire politico-sanitaire ?
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