Les excès annihilent le plaisir et perturbent l'intensité vibratoire interactive,
ce qui ne génère qu'interférences et malentendus relationnels. Fréquences basses. Ça vole pas haut.
Les corps sont bourrés de toxiques en tout genres (alcool, médicaments et drogues, vaccins et "vaccins", etc.)
Les blablablas sont incohérents, les promesses vont avec le vent, et les croyances virevoltent
en ne se référant ni à du concret tangible (la raison devrait croire ce qu'elle voit, non ?)
ni à la logique. Les excès éloignent du sensé, et le bon sens se perd.
Les esprits s'embrument ou s'emballent. L'énergie vitale est consumée en vain.
Quel gâchis ! Que de dommages êtriques*.
Oser un tel bras d'honneur à l'Intelligence ! ... ?
L'intelligence est une chose : c'est faire preuve d'esprit (capacité mentale aiguisée, mémorisation,
gestion des impressions sensibles – émotions, ressentis et affects –, analyse et réflexion,
faculté de calcul et d'abstraction, conceptualisation, logique et raison).
Savoir utiliser son intelligence est une toute autre affaire, bien plus difficile à agir, à maîtriser.
D'innombrables personnes sont intelligentes et cultivées à notre époque,
mais combien d'entre elles utilisent leurs compétences à des fins créatrices ou simplement saines ?
La plupart des "presqu'humains" que nous sommes n'agissent pas, peu,
ou une fois les pieds au mur, en paniquant, hystériques.
Agir avec Intelligence Naturelle (IN**) devient rare et, comble de l'insensé, c'est mal jugé !
Utiliser l'intelligence pour détruire l'environnement naturel, ce qui nous tue à petit feu.
Des armes, il nous faut davantage d'armes, ainsi que des machines qui ravagent plus rapidement.
"Progrès". Domination. Compétitivité. Rendement. Béton.
Bénéfices et jouissances immédiats inconséquents.
Rien de nouveau depuis Mathusalem,
alors qu'est-ce qui me rend triste aujourd'hui, 22 octobre 2021 ?
Le gâchis relationnel général.
Nous sommes pour la plupart des êtres psychiquement blessés ou immatures,
hyper réactifs mais incapables d'agir car irrationnellement peureux, ce qui nous rend lâches.
Nous existons en restant assis, pétrifiés derrière des écrans IA certes fascinants.
Constat :
l'humain ne communique autour de lui que troubles, mensonges et autres "égocentricités".
Relationnel peu nourrissant et énervant. Communication nulle.
Déboussolant (à en perdre le bon sens). Fatiguant. Décevant.
Le point commun d'instabilité de chacune des personnes rencontrées me semble toucher à l'estime de soi.
Les personnes que je côtoie en ce moment ne s'aiment pas elles-mêmes ; alors, forcément,
l'estime de soi fluctue tantôt en surestime (prétention, surévaluation de ses force et capacités,
idéalisation du moi-je, etc.) et tantôt en sous-estime (sentiment d'insatisfaction et de mal-être,
colères ravalées, sentiment de culpabilité ou de honte en constatant ses excès de comportement, etc.)
Ces personnes font en sorte de rester constamment entourées afin de ne surtout pas être avec elles-mêmes.
On aime ne pas s'aimer ensemble, en commentant les actus ainsi que les faits divers et potins du jour.
Ces personnes ne se supportent pas, ne prennent pas soin d'elles, n'apprennent pas à se connaître ;
et elles dorment mal, disent-elles.
Heureusement qu'il y a la TV pour tasser le refoulé et proposer des modèles comportementaux de conformité,
ainsi que le smartphone donnant la possibilité de se "jouer" des personnalités affairées, idéales et gentilles,
ce qui ne permet pas à l'estime de soi de se stabiliser en mode « j'apprends à m'apprécier tel que je suis
et à mieux me connaître. Je me dois de prendre soin de mon corps extraordinaire ».
Plus on se déteste soi-même, plus on a besoin de plaire aux autres,
qui nous confortent de leurs présences tout autant faussées et fracassées que la nôtre.
Jésus Christ aurait agi de façon peut-être plus efficace en clamant : « aimez-vous vous-mêmes ».
Plus j'apprends à m'apprécier, à me connaître, plus j'apprécie les autres avec leurs défauts et capacités.**
Ne me croyez surtout pas. Testez, essayez, pratiquez (sur soi-même) et ensuite..., vous verrez.
Est-ce si difficile de se pardonner à soi-même, et aux autres,
en acceptant que les choses se soient passées comme elles se sont passées ?
De tourner la page en reconnaissant être, tous, à la fois ingénieux et à la fois stupides,
à la fois excessifs et à la fois bien intentionnés, etc. ?
Est-ce si difficile ou incongru d'apprendre à s'apprécier soi-même,
à se respecter (s'activer en tenant compte de son rythme personnel, par exemple),
à prendre soin de soi : de sa santé, de son bien-être et de son épanouissement êtrique, spirituel ?
Si tu ne le fais pas, personne ne le fera pour toi, à ta place, ou alors en t'imposant sa façon de procéder.
Comment parvenir à respecter autrui, sa différence, son rythme, ses habitudes,
si l'on ne parvient pas à se respecter soi-même avec ses multiples facettes (générant des désirs contradictoires) ?
Se purifier le corps, l'affect, les émotions (en cas de colères et de déceptions ravalées, par exemple)
ainsi que l'esprit (ses cogitations, ses peurs et accusations irrationnelles, ses idéaux, ses croyances, etc.),
voilà ce qui est "renaissance", qui est naissance à l'âge adulte responsable de son existence.
Et l'être de s'épanouir, et l'Esprit de se développer.
L'éducation, le conditionnement du civilisé, propose l'inverse : la glorification de l'ego.
Il faut souffrir pour être beau, le meilleur, le gagnant, le plus riche, célèbre, etc.
En baver et suer en circuits fermés répétitifs en reproduisant les mêmes schémas comportementaux,
tout en brutalisant autrui, « pour le renforcer, pour son bien (!) » prétendent certains.
Depuis l'esclavagisme et la servitude, les dominants nous conditionnent l'esprit à croire
qu'il faut souffrir durant notre existence sur Terre « pour que demain soit mieux ».
Et aujourd'hui, c'est la merde toxique. Un aujourd'hui qui dure depuis des millénaires !
Ce n'est pas ça, vivre l'instant présent.
De nombreuses personnes croient avoir tourné la page, elles s'en persuadent ;
pourtant les conséquences de leurs erreurs les rongent de l'intérieur d'elles-mêmes ;
et elles continuent à se comporter comme d'hab., malgré les années qui s'accumulent.
« J'suis comme ça, qu'est-ce qu'tu veux », disent-elle en racontant des hauts faits, souvent répétés.
Elles ne cessent de se punir au lieu de passer à autre chose, de tourner cette fichue page
pour pouvoir goûter à une autre appréhension des choses, de soi et des autres, du monde.
Souffrons ensemble mes sœurs et frères "vaccinés" par la "médecine" du "progrès".
Uniquement avec celles et ceux ayant reçu la troisième dose co/vide-hyène.
– Pass sanitaire obligatoire –
– Masque obligatoire –
– Passage des mains sous gel hydroalcoolique béni obligatoire –
Puisse la science qu'on écoute à la TV nous ouvrir la voie céleste d'éternelle souffrance.
Âmes-haine.
Snifffff....
Tchin, tchin, à votre santé.
Et ça repart pour un tour de manège désenchanté.
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Note
* Êtrique est un qualificatif utilisé par G. I. Gurdjieff (cf. rubrique "initiation") pour désigner l'être.
Par exemple : le "gâchis êtrique" se rapporte à l'être qui ne s'épanouit pas et donc, qui est en souffrance ;
toute vie s'inscrivant dans un processus évolutif. L'humain contemporain ne se préoccupe que de son ego
(son image, le "qu'en dira-t-on", le besoin de plaire et satisfaire les experts des "supérieurs", etc.)
L'ère de l'IA, des transhumanistes et des robots, nous ancre davantage dans l'avoir, au détriment de l'être.
** Je prends l'initiative du IN (pour Intelligence Naturelle) afin de distinguer cette forme d'Intelligence
de celle de la machine à calculer produisant des résultats abominablement nommés"intelligence artificielle", l'IA.
Remarque : l'IA ne se soucie nullement de notre être. Par contre l'IA peut aider les "voraces-qui-prennent"
à faire davantage de bénéfices sur notre dos, en moins de temps. Il s'agit de se rappeler constamment
que l'IA est programmes conçus par des humains (comme la Bible qui a été écrite par des humains à la solde des dominants).
L'IA est donc, par conséquent et logiquement, limitée par les esprits qui le programment.
Concernant les aspects subtils et sensibles des phénomènes, comme le relationnel par exemple,
l'IA n'est, je le répète, qu'une machine à calculer incapable de ressentir ni d'éprouver des émotions et affects.
L'IA est comme l'esprit reptilien d'un psychopathe : froid, calculateur, égocentré et insensible.
Un humain pourrait certes créer des programmes pour aider à développer l'être (certains y œuvrent),
mais ce n'est pas rentable pour la simple raison que un être qui s'épanouit n'a plus besoin d'une béquille,
même électronique et top-géniale. Un être va au devant de l'indépendance, de la liberté d'être et agir,
c'est pourquoi il raille la béquille IA pendant que l'ego crie au génie.
L'être a besoin de Nature et aussi,
d'entretenir avec autrui des relations saines, plaisantes, épanouissantes (pour chaque être).
*** Lorsque l'on apprend à mieux (ou à vraiment) se connaître (tel que l'on est, en prenant soin de soi)
cela se fait tout seul, automatiquement : on commence à s'apprécier chaque jour davantage
et à aimer son corps prodigieux, le contenant de l'Être.
Mieux je me connais, plus je m'apprécie
et, par conséquent (automatiquement), plus j'apprécie les autres êtres, leurs différences.
Relevons que mieux se connaître ne permet pas une pensée et un comportement uniformes.
Le vrai révolté (ou rebelle), selon moi, c'est celui qui, apprenant à se connaître,
développe ses propres caractéristiques, ce qui va absolument à l'encontre du mouvement actuel
de globalisation, pensée unique, ordre mondial unique, obéissance aveugle à un ordre imposé
par des rapaces psychopathes qui nous considèrent comme des fourmis à conditionner,
à « augmenter » (expérience en cours de thérapie génique faussement nommée "vaccination").
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Dans la résistance, une grande énergie...
RépondreSupprimerBien à toi Eric
Salut à toi, Miche, portes-toi bien
SupprimerGrande réflexion que voilà Ami blogueur .... les idées claires je viens te lire , mais je me sens toujours aussi mal dans cette société même en essayant de prendre les chemins de traverses le plus possible .
RépondreSupprimerJ'espère que tu as trouvé un endroit pour te caler au chaud ou peut être es tu rentré chez toi ? je te dépose la bise du matin
Itou Saby, j'me sens mal et aussi, triste et encore,
Supprimerconfus (pour comprendre ce qui se passe dans le monde, en France)...
Oui, en ce moment je suis au chaud.
Ai pas de chez moi Saby
A +