Un roman permet de se faire une idée au sujet de l’occulté par l’Agenda 2030,
c’est-à-dire au sujet des véritables intentions et plan secrets des « élites » philanthropathes*.
Ce roman s’intitule La Ruche d’Hellstrom, de Frank Herbert, 1972.
Il y a vingt ou trente ans, j’aurais considéré ce roman comme de la science-fiction,
le roman le plus inquiétant de l’auteur selon Gérard Klein,
mais aujourd’hui, novembre 2022, j’ai comme l’impression que F. Herbert a vu l’avenir,
peut-être au courant qu’il était du Plan des mondialistes (il fut journaliste) ?
Notons que le début des années 1970 correspond à l’ouverture du WEF de Klausi Schwab.
Quelques extraits ne suffiront pas à saisir l’ambiance du roman
ni ce que F. Herbert met en avant, dénonce peut-être ?
La Ruche est le nom d’une ferme tenue par une communauté de travailleurs muets et très discrets.
Notons un détail important : dans le roman, cette communauté, après des années d’errance, va s’installer
et construire leur ferme en 1876. Il se trouve que cette période (dès ~1870) a été déterminante dans l’histoire occidentale, du capitalisme : union des états d’Amérique, influence de la banque centrale de la City
de Londres, révolution française, les illuminati, des francs-maçons, des jésuites et autre comploteurs
agissant en secret et mettant au point ce qui est, de nos jours, de l’ingénierie sociale
sur fond d’eugénisme et de volonté de tout contrôler.
La philosophie de la Ruche :
Les meilleurs doivent s’accoupler avec les meilleurs.
De la sorte nous produirons les ouvriers divers dont nous avons besoin
pour toutes les tâches qui peuvent se présenter à notre Ruche.
La volonté de nos « élites » transparaît dans ces lignes :
Hellstrom (…) regretta de ne pouvoir se réfugier dans l’oubli mental de l’ouvrier ordinaire,
qui en dehors de ses besognes immédiates, avait fort peu de soucis.
Le vieil Harvey avait été l’un des premiers reproducteurs.
Sa semence se retrouvait dans toute la Ruche.
Dans la sélection des ouvriers, reproducteurs et des divers spécialistes,
dans le développement d’une conscience de la Ruche pour tous les mécanismes chimiques
et manipulatifs dont nous disposons, le programme de notre société coopérative s’esquisse
avec un potentiel de permanence qu’il faut contrôler avec d’infinies précautions.
Ici, chaque génération vient au monde en tant que continuation des précédentes,
et chaque individu comme un simple prolongement des autres.
Commentaire : pour s’assurer un contrôle total, il faut instaurer de la « permanence ».
Nos « élites » luttent contre Temps, le mouvement et ses transformations Naturelles, qui est impermanence.
Ils rêvent et veulent des humains obéissants et laborieux.
Tous les ouvriers (du roman), inférieurs et supérieurs, sont comme connectés à la « conscience de la Ruche ».
Pour le dire autrement, la plupart des habitants de la Ruche n’ont plus aucune conscience d’eux-mêmes,
de leur individualité, sauf, bien évidemment, les élites. Qui plus est, les ouvriers sont nés de manipulation génétique ayant permis notamment de gommer certaines particularités de l’être
et de réduire la pensée ainsi que le comportement aux préoccupations d’une tâche prédéterminée ;
de la sorte, personne ne jalouse personne, personne ne rêve de prendre la place du chef,
personne ne se rebelle contre sa condition, etc. Ainsi, un boulanger par exemple ne pense à rien d’autre
qu’à son pain,
et son enfant devient boulanger à son tour, avec le même état d’esprit
que le géniteur.
Pour que la Ruche vive, fonctionne, l’imprévisible doit être tenu à l’écart.
Notons la peur des « élites » :
Si la Ruche subissait trop de dérangements, les événements pourraient échapper à tout contrôle.
Des ouvriers pourraient agir de leur propre initiative.
L’ouvrier neutre est la véritable source de liberté dans toute société. (…)
On peut toujours les reconnaître (les ouvriers neutres). Ils ne portent pas le fardeau de l’intelligence,
des émotions débridées, d’une identité individuelle. Ils se perdent dans une masse d’êtres
semblables à eux-mêmes. (…)
Ce que possèdent les insectes et ce que nous sommes en train de copier,
c’est une société constituée de telle sorte que ses ouvriers besognent ensemble
pour créer l’illusoire utopie : la société parfaite.
En lisant ce qui suit, je ne puis m’empêcher de penser aux pesticides, aux chemtrails (géo-ingénierie), etc.
Dans le roman, une « élite » et une ouvrière supérieure de la Ruche complotent :
- Les sauvages de l’Extérieur (nous, les humains vivant hors Ruche) ne sont pas différents
de nous chimiquement. (…) Les techniques que nous employons pour rendre nos ouvriers dociles,
soumis et accommodants pour les besoins de la Ruche, opéreront sur les gens de l’Extérieur.
- Dans leurs aliments ?
- Ou leur eau, ou même l’air qu’ils respirent.
Dans l’extrait qui suit, durant un repas, Hellstrom, le chef de la Ruche, drogue un « sauvage de l’Extérieur »
à son insu, nommé Janvert, un agent du gouvernement en train d’enquêter sur les activités de la ferme :
Hellstrom, qui observait la transformation de son convive, se dit : Il l’accepte très bien.
Les dosages avaient été relativement importants. Le corps de Janvert subissait à présent l’action
de nombreux produits chimiques d’identification. Dans très peu de temps, n’importe quel ouvrier
de la Ruche le prendrait pour un membre de la Ruche. C’était une arme à deux tranchants,
car Janvert aussi tolérerait les ouvriers de la Ruche, tous.
Son impulsion génitale avait été éliminée, de même qu’une grande partie de ses facultés critiques.
Si la métamorphose chimique fonctionnait, il deviendrait bientôt extrêmement docile.
Je relève encore le questionnement de l’agent Janvert, alors qu’il se trouve avec une collègue, Clarisse,
un autre agent du gouvernement :
- Ne t’es-tu jamais demandé si nous travaillons vraiment pour le gouvernement ?, interrogea-t-il.
Ou si nos patrons représentent un super-gouvernement derrière celui qui est visible ?
- Si tu parles de ce que je pense, je ne veux rien en connaître, dit-elle.
- Voilà une bonne attitude, très saine, répondit-il. (…)
Clarisse avait raison évidemment. Son appartement était truffé de micros.
Ils avaient su où le joindre. Pas moyen d’empêcher cela.
Quand on travaille pour faire du monde un aquarium,
on vit dans un aquarium.
L’astuce consiste à devenir l’un des observateurs des mœurs des poissons.
Concernant ce genre de communautés et aussi, des sociétés secrètes :
Le concept d’une colonie directement implantée au milieu d’une société humaine existante
n’a rien d’exceptionnel. On trouve de nombreux groupes et mouvements secrets dans l’histoire
des hommes. Les gitans présentent encore aujourd’hui une grossière contrefaçon de notre méthode. (…)
Nous ressemblons au protozoaire colonial, « carchesium », nous tous dans la Ruche attachés
à un tronc unique avec branches, ce tronc étant dissimulé dans le sol sous l’autre société
qui se figure être les doux qui hériteront de la terre. Les doux !
À l’origine, il fallait être « muet et silencieux » pour être appelé doux.
Aux transhumanistes ayant besoin de soin psychiatrique (à mon avis) :
Sur les milliards de créatures vivantes qui peuplent la terre,
seul l’homme réfléchit à son existence.
Ses questions aboutissent à le torturer ; car il est incapable d’accepter,
contrairement aux insectes,
que l’unique but de la vie est la vie même.
A méditer :
L’unique but de la vie est la vie même
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Note
* Philanthropathe est un terme fusionnant la prétention des « élites » génocidaires, sous un masque de philanthropie,
avec leurs troubles psychopathiques des plus inquiétants.
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