Dès les débuts de l’industrialisation,
des personnalités se sont insurgées à cause…
de la disparition des petits métiers.
Par exemple : ceux qui tissaient mains les habits, les tapis, etc.,
qui, d’un coup, se sont vus remplacés par des ouvriers à la chaîne,
produisant des habits et tapis à la chaîne, identiques et sans "saveur".
Usine. Salaire mensuel.
Humain-métro-dodo.
Voiture, TV et frigo.
À nouveau, Ceux-du-peuple, la masse,
n’ont pas écouté, entendu, les avertissements,
trop réjouis qu’ils étaient par les promesses que
« demain, ce sera mieux, paradisiaque pour tous ».
Nous sommes incités par les poliptichiens à suivre allègrement la marche
de cette funeste industrialisation, tueuse du vivant et de la relation.
J’ai redécouvert ça en voyageant,
les petits métiers qui maintiennent du lien,
assurant le relationnel entre chacun, le vivant,
durant le quotidien des pauvres, moyens et riches.
Par exemple : les cireurs de chaussures.
Relation, aussi, que de marchander, négocier le prix,
avec un petit commerçant ou artisan ou autres.
S’efforcer de visualiser un monde où, chacun,
peut s’en sortir dignement,
comme avec l’exemple du cireur de chaussures,
au lieu d’un monde où chacun est tenu par des dettes
à devoir produire pour produire bêtement et aveuglément,
en enrichissant davantage Ceux-qui-ont-excessivement,
tout en acceptant des traîne-la-misère sur les trottoirs
des, pourtant, si "jolies" villes5G-incivilités-tolérance-zéro.
Bientôt, la planète ne sera plus qu’une ville avec, autour,
quelques champs intensifs travaillés par des robots "intelligents",
qui feront pousser des semis "intelligents".
J’ai déjà écrit ma déception, lors de mon dernier voyage en Inde,
en découvrant une ville devenue ordinaire, New Dehli, avec son métro,
où on éduque les habitants à devenir conformes et bien civilisés,
où les animaux ne sont plus admis, même les vaches sacrées,
où les pauvres sont, probablement, chassés vers les périphéries (j’en ai vu moins),
où les rickshaws, vélo-pousse-pousse, charrettes, etc., sont interdits…
Comme partout : la ville aux voitures,
pour ceux qui ont les poches pleines de devises.
En Occident, à l’image des américains-sans-âme (beaucoup, pas tous),
on préfère accepter les clochards, zonards, SDF, et autres « fainéants »,
plutôt que de les laisser réinventer des petits métiers ou services à rendre.
Pour quelles raisons ?
Administration. Loi débile en faveur des riches.
Normes de sécurité illimitées, et nombreuses autres normes.
Rentabiliser, production croissante, PIB, mer de plastique,
et ce, afin de tenir, contrôler, un maximum d’entre nous,
qui s’exécutent et consomment comme attendus, prévus.
Multinationales.
Nous avons oublié et piétinons l’essentiel : être en relation ensemble.
"Eux" n’ont pas oublié, de nous empêcher d’être sainement en relation ;
cela fait partie de leur plan rentable, quatrième révolution industrielle.
Humains-machines et robots "intelligents".
L’est pas beau d’espoir, l’avenir ?
Un rappel d'infos, entendu à la radio :
quand les télégramme et téléphone fixe devaient se vendre,
leur slogan était « nous communiquerons mieux,
sur toute la planète, et nous entrerons moins en guerre, etc. »
Ce discours ne vous rappelle rien ?
Internet – Fesse-bouc, Godgle, … monde meilleur…
Se fier aux faits et actes.
Se rappeler, par exemple, durant le printemps,
la réaction de l’État face à ceux qui occupent les ZAD.
Qu’est-ce qui justifie une mobilisation armée et fort coûteuse,
si violente, et n’ayant servi qu’à détruire de fragiles cabanes,
aujourd’hui reconstruites (à Nantes),
de personnes ne demandant rien, ne représentant aucun danger,
ne souhaitant que vivre autrement et plus simplement… ?
Qu’on soit pour ou contre cette marche industrielle néolibérale,
cette vision politique, cet idéal, ne devrait pas empêcher le vivant
ni que chacun puisse s’en sortir dignement et sans dette.
Inadmissible.
On dit que le monde entier est endetté.
Pas moi.
Je dis que le monde entier est tombé sur la tête,
et que leur Plan se resserre autour de chacun,
chaque jour davantage.
Endettés, enferrés dans le Système.
Plus le choix.
Ben voyons !
Une sélection ?
Légende de l’image ci-dessus (copiée sur le Net, comme l'énoncé ci-dessous) :
Aïe, et les au moins 6 milliards 500 millions autres personnes ?
No future pour la plupart,
si on continue comme ça.
C’est écrit.
Or, nous aimons ce qui est écrit,
tout autant que les discours et promesses.
____________________________________
des personnalités se sont insurgées à cause…
de la disparition des petits métiers.
Par exemple : ceux qui tissaient mains les habits, les tapis, etc.,
qui, d’un coup, se sont vus remplacés par des ouvriers à la chaîne,
produisant des habits et tapis à la chaîne, identiques et sans "saveur".
Usine. Salaire mensuel.
Humain-métro-dodo.
Voiture, TV et frigo.
À nouveau, Ceux-du-peuple, la masse,
n’ont pas écouté, entendu, les avertissements,
trop réjouis qu’ils étaient par les promesses que
« demain, ce sera mieux, paradisiaque pour tous ».
Nous sommes incités par les poliptichiens à suivre allègrement la marche
de cette funeste industrialisation, tueuse du vivant et de la relation.
J’ai redécouvert ça en voyageant,
les petits métiers qui maintiennent du lien,
assurant le relationnel entre chacun, le vivant,
durant le quotidien des pauvres, moyens et riches.
Par exemple : les cireurs de chaussures.
Relation, aussi, que de marchander, négocier le prix,
avec un petit commerçant ou artisan ou autres.
S’efforcer de visualiser un monde où, chacun,
peut s’en sortir dignement,
comme avec l’exemple du cireur de chaussures,
au lieu d’un monde où chacun est tenu par des dettes
à devoir produire pour produire bêtement et aveuglément,
en enrichissant davantage Ceux-qui-ont-excessivement,
tout en acceptant des traîne-la-misère sur les trottoirs
des, pourtant, si "jolies" villes5G-incivilités-tolérance-zéro.
Bientôt, la planète ne sera plus qu’une ville avec, autour,
quelques champs intensifs travaillés par des robots "intelligents",
qui feront pousser des semis "intelligents".
J’ai déjà écrit ma déception, lors de mon dernier voyage en Inde,
en découvrant une ville devenue ordinaire, New Dehli, avec son métro,
où on éduque les habitants à devenir conformes et bien civilisés,
où les animaux ne sont plus admis, même les vaches sacrées,
où les pauvres sont, probablement, chassés vers les périphéries (j’en ai vu moins),
où les rickshaws, vélo-pousse-pousse, charrettes, etc., sont interdits…
Comme partout : la ville aux voitures,
pour ceux qui ont les poches pleines de devises.
En Occident, à l’image des américains-sans-âme (beaucoup, pas tous),
on préfère accepter les clochards, zonards, SDF, et autres « fainéants »,
plutôt que de les laisser réinventer des petits métiers ou services à rendre.
Pour quelles raisons ?
Administration. Loi débile en faveur des riches.
Normes de sécurité illimitées, et nombreuses autres normes.
Rentabiliser, production croissante, PIB, mer de plastique,
et ce, afin de tenir, contrôler, un maximum d’entre nous,
qui s’exécutent et consomment comme attendus, prévus.
Multinationales.
Nous avons oublié et piétinons l’essentiel : être en relation ensemble.
"Eux" n’ont pas oublié, de nous empêcher d’être sainement en relation ;
cela fait partie de leur plan rentable, quatrième révolution industrielle.
Humains-machines et robots "intelligents".
L’est pas beau d’espoir, l’avenir ?
Un rappel d'infos, entendu à la radio :
quand les télégramme et téléphone fixe devaient se vendre,
leur slogan était « nous communiquerons mieux,
sur toute la planète, et nous entrerons moins en guerre, etc. »
Ce discours ne vous rappelle rien ?
Internet – Fesse-bouc, Godgle, … monde meilleur…
Se fier aux faits et actes.
Se rappeler, par exemple, durant le printemps,
la réaction de l’État face à ceux qui occupent les ZAD.
Qu’est-ce qui justifie une mobilisation armée et fort coûteuse,
si violente, et n’ayant servi qu’à détruire de fragiles cabanes,
aujourd’hui reconstruites (à Nantes),
de personnes ne demandant rien, ne représentant aucun danger,
ne souhaitant que vivre autrement et plus simplement… ?
Qu’on soit pour ou contre cette marche industrielle néolibérale,
cette vision politique, cet idéal, ne devrait pas empêcher le vivant
ni que chacun puisse s’en sortir dignement et sans dette.
Inadmissible.
On dit que le monde entier est endetté.
Pas moi.
Je dis que le monde entier est tombé sur la tête,
et que leur Plan se resserre autour de chacun,
chaque jour davantage.
Endettés, enferrés dans le Système.
Plus le choix.
Ben voyons !
Une sélection ?
Légende de l’image ci-dessus (copiée sur le Net, comme l'énoncé ci-dessous) :
Les Georgia Guidestones sont un monument mystérieux sur lequel sont gravés
dix « commandements » pour un « nouvel âge de la Raison ».
Le premier commandement :
le maintien de la population mondiale à moins de 500 millions de personnes.
Aïe, et les au moins 6 milliards 500 millions autres personnes ?
No future pour la plupart,
si on continue comme ça.
C’est écrit.
Or, nous aimons ce qui est écrit,
tout autant que les discours et promesses.
____________________________________
Eric,
RépondreSupprimerL'écrit rassure. La parole est volatile et sujet à interprétation, compréhension.
Donc 'est écrit sur un mur on y fonce !
Bon dimanche avec futur !
Thierry
T'as tout dit,
SupprimerCiao Thierry
Oh oui on communique mieux avec le portable et internet, Grande a dû appeler trois fois la même entreprise pour avoir des nouvelles de sa demande par mail , à chaque fois on lui a répondu que la personne était occupée qu'elle allait la rappeler. Elle ne l'a jamais fait. Au troisième appel et après lui avoir fait croire qu'elle allait appeler sans faute sous une demie-heure, elle lui a envoyé un mail lui disant que l'entreprise ne prenait pas d'alternants ! Pouvait pas le dire plus tôt ?
RépondreSupprimerOui, revenir à des métiers plus simples, plus ouverts, plus communiquants, plus utiles !
J'te suis, Vi, même caravane (dernière phrase)
SupprimerMême constatation : y en a qui font de 3 jours à 2 semaines pour répondre
à un e-mail. Vivement qu'on revienne à la poste, aux timbres
et au mail-art...