Pour les personnes croyant qu’il est nécessaire d’être dirigées par des autorités (sans mérite),
je rappelle un fait qui se perd dans un épais brouillard administratif politico-hiérarchique :
au sein d’un groupe (non politisé) l’autorité de certains s’impose d’elle-même,
par exemple avec les jeunes qui respectent les plus âgés ou encore,
avec des vieux, sages, qui tempèrent les élans des chefs,
méritants et valeureux, capables d’actions courageuses et honorables.
Il est important de distinguer la loi du plus fort du jeu politique des tricheurs retors.
Le monde des politiciens, leur façon d’interagir,
d’être en relation (plus précisément en non-relation),
de "communiquer", n’a rien, absolument rien, de naturel.
Tout y est construit, pensé, théorisé et préparé à l’avance.
Tout y est stratégies, dissimulations (secrets d’affaires ou d'État) et conspirations.
Le relationnel n’est donc pas direct, spontané, fluide, sain et naturel,
mais codifié, maniéré (« le politiquement correct » par exemple),
ce qui ne peut générer qu’hypocrisie et faux-semblant.
Me fiant aux faits, selon moi, la politique sert à contourner les lois naturelles, notamment :
L'esprit politique s'oppose à l'ordre naturel des choses.
En comprenant ce fait, on prend conscience que
les principaux résistants – opposants, terroristes, casseurs (d’harmonie) – ,
ce sont les politiciens !
La politique consiste à brouiller les cartes du sensé
et à saccager les territoires sains,
en promettant que les promesses mènent à l’Eden promis.
Promesses valables pour tous, promis : pour tous ceux qui s'exécutent.
Et au Paradis, tous égaux, tous pareils. Promis, juré, croix de bois...
La politique sert à usurper les pouvoirs et autorité naturels
afin de leur substituer les volontés et desiderata des familles riches.
La politique, c’est comme jouer à celui qui a raison, dans une cour de récréation,
sous la surveillance des véritables dirigeants restant dans l’ombre des salles de classes.
Quant aux politicien(ne)s, ils se comportent tels des chiens de garde,
sans âme ni conscience, contrôlant et surveillant la propriété privée.
Des chiens "gentils" que l’on récompense ou que l’on sanctionne ;
et qui lèchent, correctement, les mains de leurs propriétaires déments et cruels.
L'art de la politique semble conçu pour les lâches sans couille et sans ovaire.
La politique est une science pour ratés sans passion (autre que leur quête de pouvoir),
pour frustrés arrogants et dépourvus de scrupules moraux, doués de bagou,
cultivant la haine du féminin, du sensible et des non-corrompus
ainsi que, hors discours et image présentés aux médias,
le mépris du vertueux et du pur.
La politique consiste en un art du leurre et du mensonge,
de la tricherie, et du racket en bande organisée.
Seules des bêtes si viles car "bien"éduquées dressées – boeufs,
moutons, chèvres, pigeons, poules, coqs, chiens, rats et ânes bâtés –
s’intéressent à la politique,
qu’elles considèrent comme étant indispensable. Si, si.
~16h., dans mes notes j'ai trouvé une histoire qui illustre bien le propos :
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je rappelle un fait qui se perd dans un épais brouillard administratif politico-hiérarchique :
au sein d’un groupe (non politisé) l’autorité de certains s’impose d’elle-même,
par exemple avec les jeunes qui respectent les plus âgés ou encore,
avec des vieux, sages, qui tempèrent les élans des chefs,
méritants et valeureux, capables d’actions courageuses et honorables.
Il est important de distinguer la loi du plus fort du jeu politique des tricheurs retors.
Le monde des politiciens, leur façon d’interagir,
d’être en relation (plus précisément en non-relation),
de "communiquer", n’a rien, absolument rien, de naturel.
Tout y est construit, pensé, théorisé et préparé à l’avance.
Tout y est stratégies, dissimulations (secrets d’affaires ou d'État) et conspirations.
Le relationnel n’est donc pas direct, spontané, fluide, sain et naturel,
mais codifié, maniéré (« le politiquement correct » par exemple),
ce qui ne peut générer qu’hypocrisie et faux-semblant.
Me fiant aux faits, selon moi, la politique sert à contourner les lois naturelles, notamment :
- comme écrit ci-dessus, en biaisant les relations et en les rendant unidirectionnelles,
que ce soient les relations à soi-même, avec les autres et avec l’environnement naturel ;
- en ne laissant pas les choses se dérouler d’elles-mêmes,
ce qui ne peut servir qu’aux desseins et intérêts de certains ;
- en n'acceptant pas la loi du plus fort, rusé et sensé ;
- en ne se pliant pas face aux lois naturelles de l’évidence
et ce, afin de s’approprier d'un pouvoir arbitraire, mais armé,
et de jouir des nombreuses prérogatives qui vont avec.
L'esprit politique s'oppose à l'ordre naturel des choses.
En comprenant ce fait, on prend conscience que
les principaux résistants – opposants, terroristes, casseurs (d’harmonie) – ,
ce sont les politiciens !
La politique consiste à brouiller les cartes du sensé
et à saccager les territoires sains,
en promettant que les promesses mènent à l’Eden promis.
Promesses valables pour tous, promis : pour tous ceux qui s'exécutent.
Et au Paradis, tous égaux, tous pareils. Promis, juré, croix de bois...
La politique sert à usurper les pouvoirs et autorité naturels
afin de leur substituer les volontés et desiderata des familles riches.
La politique, c’est comme jouer à celui qui a raison, dans une cour de récréation,
sous la surveillance des véritables dirigeants restant dans l’ombre des salles de classes.
Quant aux politicien(ne)s, ils se comportent tels des chiens de garde,
sans âme ni conscience, contrôlant et surveillant la propriété privée.
Des chiens "gentils" que l’on récompense ou que l’on sanctionne ;
et qui lèchent, correctement, les mains de leurs propriétaires déments et cruels.
L'art de la politique semble conçu pour les lâches sans couille et sans ovaire.
La politique est une science pour ratés sans passion (autre que leur quête de pouvoir),
pour frustrés arrogants et dépourvus de scrupules moraux, doués de bagou,
cultivant la haine du féminin, du sensible et des non-corrompus
ainsi que, hors discours et image présentés aux médias,
le mépris du vertueux et du pur.
La politique consiste en un art du leurre et du mensonge,
de la tricherie, et du racket en bande organisée.
Seules des bêtes si viles car "bien"
moutons, chèvres, pigeons, poules, coqs, chiens, rats et ânes bâtés –
s’intéressent à la politique,
qu’elles considèrent comme étant indispensable. Si, si.
~16h., dans mes notes j'ai trouvé une histoire qui illustre bien le propos :
Un rustre était devenu un fonctionnaire important, dans une période
de bouleversements politiques. Il avait été nommé ministre,
ou gouverneur ou peut-être même président,
car on ne peut pas savoir ce dont est capable la bêtise humaine.
À cause de sa charge, il vint à croire qu'il était vraiment important
et il apprit à faire des décrets. Il était parfait dans les cérémonies publiques,
car il pouvait improviser un discours sans aucune difficulté.
Or sa situation exigeait qu'il lise les discours, et l'homme était illettré.
Alors il consacra tout son talent à leurrer tout le monde.
Il avait une feuille de papier avec un texte écrit,
qu'il exhibait à chaque fois qu'il prononçait un discours.
C'est ainsi que pour tous les péquenauds,
il avait une efficacité et des qualités indéniables.
Mais un jour arriva un étranger lettré, et il remarqua que notre héros
était en train de lire son discours sur une feuille qui était à l'envers.
Il s'esclaffa et démasqua la tromperie devant tout le monde.
Le héros fit face à tous avec calme et dit : « À l'envers ?
Quand on sait lire, qu'importe la position de la feuille ? »
Et les péquenauds furent d'accord avec lui.
– Don Juan à C. Castaneda
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nous avons surtout de très mauvais acteurs en ce moment ,jeudissime
RépondreSupprimer:) c'est l'moins qu'on puisse dire !
SupprimerLa politique date de... au moins des anciens Grecs ! Constatons le résultat...
Pour rebondir sur ce que je saisis de ton intervention :
« Les Etats souffrirent de la corruption, du désordre ;
il y eut des fonctionnaires fidèles. »
De Lao Tseu (~500 avant J-C)
https://souffledesonge.blogspot.com/2018/04/etat-king-con.html
A + La griffe du loup
Eric,
RépondreSupprimerLe principe de Peter est très pratique pour certains.
Un outil de management formidable.
Bonne journée.
Thierry
J'connais pas. Suis allé voir sur le Net : envie de lire ce livre.
SupprimerUn passage relevé sur un site : « le principe de Peter
a fait grincer quelques dents, lors de sa parution en 1969.
Pensez: il jetait à bas bien des certitudes en prétendant démontrer
que tout poste finit toujours par être occupé par un incompétent. »
:))
Peut-être pas tous, mais la plupart (et ça ne s'arrange pas)
A + Thierry
Vaste sujet... Je te ferais un roman a l"occasion mais pas ce soir
RépondreSupprimerAllez merci pour tes réflexions et a bientôt
https://www.youtube.com/watch?v=MBB7rfv0OOo
https://www.youtube.com/watch?v=bLR7MtbI2HI
PS: je vous haie compris...
Un roman... politique ?
Supprimer:))
Yo ♫ ♪
Tyran : tire une fois l'an.
Mission à remplir, c'est urgent.
A + Cres, sans haine et sans con pris dans la polie tique (nerveuse)