En société, est-ce un motif louable, honorable et, surtout, collectif, de se battre pour la liberté ?
Il est vain de chercher la liberté au sein d’une foule évoluant dans un labyrinthe
où toutes les sorties sont redirigées vers ce labyrinthe.
Est-ce que de vouloir la liberté n'attise pas les conflits, paradoxalement ?
Réfléchir :
du moment où l’on se trouve avec une autre personne, ou davantage,
la liberté de chacun se voit aussitôt délimitée par celle de l’autre ;
d’où l’inévitable besoin de se parler, de négocier en cas de désaccord,
parfois de trouver des compromis, etc.,
et d’où la nécessité de se sentir égaux de droit.
Il s’agit de comprendre avec ses tripes, son palpitant et sa raison,
que la liberté se cherche à l’intérieur de soi.
C’est de l’intérieur qu’on se libère.
C’est une démarche individuelle.
Par exemple : apprendre à mieux se connaître libère.
Ensemble, ce n’est pas la liberté qu’il faut revendiquer.
À l’extérieur, dans le monde, il faut plutôt apprendre à être ensemble, à vivre ensemble,
avec le plus de respect possible, le plus de justice possible, le plus d’abnégation possible, etc.
Ensemble, il nous faut réapprendre le goût des échanges plus spontanés et désintéressés,
le goût de la solidarité, d’un commerce plus humain et direct,
sans avoir à engraisser aux passages les actionnaires et hauts dirigeants des multinationales,
ainsi que les élus poliptichiens.
Comment mieux vivre ensemble sans générer des phénomènes
comme la misère, la précarité, l’esclavagisme, etc. ?
Comment vivre ensemble sans notion de supérieur et d’inférieur
ne favorisant que les privilèges de certains abuseurs ce qui, par conséquent,
produit une violence sous-jacente, explosant régulièrement.
Le simple fait que certains aient droit à une autorité et des privilèges
génère déséquilibre, incompréhension, injustice, iniquité, tyrannie et soumission,
jalousie, envie, corruption, compétitivité permanente, relations doubles, hypocrisie,
complots, trahisons, sentiment de haine, etc.
Et tant de souffrances.
Cela est malsain.
Cela est source de violence.
Cela est démoniaque.
Un profond changement social ne s’opérera pas au travers d’une lutte pour la liberté,
mais seulement lorsque, tous, nous accepterons de mieux vivre ensemble.
Pour l’instant, c’est mal barré !
Rappelez-vous :
lorsqu’on jouait au Monopoly, enfants,
en début de partie chacun recevait la même somme de billets.
En est-il ainsi dans ce monde (des humains) ?
Par exemple : le fils Rotschild a-t-il reçu la même somme
qu’un fils de travailleur forcé africain ?
Si non,
pour quelles raisons et au nom de quoi certains ont énormément dès leur naissance
alors que d’autres rien, et d’autres peu, et d’autres davantage ?
Bien-sûr, comme par hasard, ce sont les Rotschild (c’est un exemple)
qui mènent le monde. Et les autres de subir leurs rêve et lois.
C’est contre cela qu’il faut se battre.
Se battre pour la liberté donne le droit à la famille Rotschild (de l’exemple)
de maintenir ses prérogatives, c’est leur liberté,
par exemple de vouloir être maître du monde.
C’est justement au nom d’une soi-disant liberté que des personnages
comme D. Trump s’enrichissent de façon pharamineuse.
Pour des siècles et des siècles.
Âme-haine.
Toi le(a) résistant(e), le militant, l’opposant, le révolté, le rebelle, l’anarchiste :
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Il est vain de chercher la liberté au sein d’une foule évoluant dans un labyrinthe
où toutes les sorties sont redirigées vers ce labyrinthe.
Est-ce que de vouloir la liberté n'attise pas les conflits, paradoxalement ?
Réfléchir :
du moment où l’on se trouve avec une autre personne, ou davantage,
la liberté de chacun se voit aussitôt délimitée par celle de l’autre ;
d’où l’inévitable besoin de se parler, de négocier en cas de désaccord,
parfois de trouver des compromis, etc.,
et d’où la nécessité de se sentir égaux de droit.
Il s’agit de comprendre avec ses tripes, son palpitant et sa raison,
que la liberté se cherche à l’intérieur de soi.
C’est de l’intérieur qu’on se libère.
C’est une démarche individuelle.
Par exemple : apprendre à mieux se connaître libère.
Ensemble, ce n’est pas la liberté qu’il faut revendiquer.
À l’extérieur, dans le monde, il faut plutôt apprendre à être ensemble, à vivre ensemble,
avec le plus de respect possible, le plus de justice possible, le plus d’abnégation possible, etc.
Ensemble, il nous faut réapprendre le goût des échanges plus spontanés et désintéressés,
le goût de la solidarité, d’un commerce plus humain et direct,
sans avoir à engraisser aux passages les actionnaires et hauts dirigeants des multinationales,
ainsi que les élus poliptichiens.
Comment mieux vivre ensemble sans générer des phénomènes
comme la misère, la précarité, l’esclavagisme, etc. ?
Comment vivre ensemble sans notion de supérieur et d’inférieur
ne favorisant que les privilèges de certains abuseurs ce qui, par conséquent,
produit une violence sous-jacente, explosant régulièrement.
Le simple fait que certains aient droit à une autorité et des privilèges
génère déséquilibre, incompréhension, injustice, iniquité, tyrannie et soumission,
jalousie, envie, corruption, compétitivité permanente, relations doubles, hypocrisie,
complots, trahisons, sentiment de haine, etc.
Et tant de souffrances.
Cela est malsain.
Cela est source de violence.
Cela est démoniaque.
Un profond changement social ne s’opérera pas au travers d’une lutte pour la liberté,
mais seulement lorsque, tous, nous accepterons de mieux vivre ensemble.
Pour l’instant, c’est mal barré !
Rappelez-vous :
lorsqu’on jouait au Monopoly, enfants,
en début de partie chacun recevait la même somme de billets.
En est-il ainsi dans ce monde (des humains) ?
Par exemple : le fils Rotschild a-t-il reçu la même somme
qu’un fils de travailleur forcé africain ?
Si non,
pour quelles raisons et au nom de quoi certains ont énormément dès leur naissance
alors que d’autres rien, et d’autres peu, et d’autres davantage ?
Bien-sûr, comme par hasard, ce sont les Rotschild (c’est un exemple)
qui mènent le monde. Et les autres de subir leurs rêve et lois.
C’est contre cela qu’il faut se battre.
Se battre pour la liberté donne le droit à la famille Rotschild (de l’exemple)
de maintenir ses prérogatives, c’est leur liberté,
par exemple de vouloir être maître du monde.
C’est justement au nom d’une soi-disant liberté que des personnages
comme D. Trump s’enrichissent de façon pharamineuse.
Pour des siècles et des siècles.
Âme-haine.
Toi le(a) résistant(e), le militant, l’opposant, le révolté, le rebelle, l’anarchiste :
Tu veux te sentir libre ?
Cesses de te fuir.
Écoutes-toi
et marches ta parole,
quoi qu’il se passe dans le monde
(ce qui n’empêche pas de lutter contre l’ignominie sivile).
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Eric,
RépondreSupprimerMarche ta parole. C'est très très juste. Suis à A00% d'accord. Merci d'avoir trouvé la formule. Je crois que je vais la sortir. Je te citerai.
Merci elle commence bien cette année avec cette formule.
Thierry
;)
SupprimerA + Thierry (je me demandais si je pouvais copier ton collage du jour
afin de l'introduire dans le texte ci-dessus ?)
Génial ! Ravi de participer à ta réflexion !
Supprimer;)
SupprimerMoi aussi je suis à 100% en accord avec ta parole et je vais la marcher ! ;)
RépondreSupprimerEt j'ajouterais, rien ne sert de vouloir changer les autres, sa famille, son voisin, son patron, le gouvernement ou la société . Rien ne sert de rester dans la rancœur et la haine, tout est à l’intérieur de nous, soyons prêts à nous écouter nous-même et à changer nous-même ! Ne nous posons pas en victimes mais en acteurs !
J'adhère.
SupprimerA + Vi
Qui croit encore que les gens veulent la liberté ?
RépondreSupprimerRécemment, pour rebondir sur les référendums,
en Suisse deux initiatives ont abouti. Vote.
1. Voulez-vous travailler moins : 40 h. au lieu de 45 h. ?
Résultat : non.
2. Voulez-vous une semaine de vacances annuelle supplémentaire, payée ?
Résultat : non.
La liberté angoisse, effraye.
Au contraire, les gens demandent davantage d'ordre, de discipline, de sécurité, etc.
Au FN, ils atteignent bientôt 30 % d'adhérents.
C'est difficile d'assumer "la liberté",
bien peu veulent vraiment goûter à la liberté...
Bonjour Eric ,
RépondreSupprimerj'aime le mot liberté pour un moi quand j'étais très jeune cela signifiait voyager et profiter de la vie maintenant jeune encore mais un peu moins :-))cela signifie m'écouter moi même pour mon propre bien être,sans prendre les frayeurs au 1er degré.
Pour les votes chez moi en Suisse c'est + souvent des non que des oui:-)))
Passe une bonne journée en cette dernière journée 2018 je repasse en 2019:-)
T'envois un rayon de soleil de la Suisse
Le mot n'est pas le fait, l'acte, la Réalité.
Supprimer;)
"sans prendre les frayeurs au 1er degré", important ce que tu écris-là, je trouve.
:) ciao Lucette, agréable soirée de réveillon
Il aurait vraiment fallu ne pas voter pour ce président, bon, ce n'est pas moi qui l'ai fait ! Dans tous les cas le peuple Français s'est bien fait entuber par l'élite, ça c'est sûr, alors la liberté elle est loin... Je viens de voir cette vidéo, visible jusqu'au 5 janvier, c'est édifiant, écœurant, atroce. Oui, on s'est bien fait avoir !
RépondreSupprimerhttps://la-bas.org/la-bas-magazine/entretiens/Juan-Branco-desosse-Macron
J'ai écouté, tout en me préparant : édifiant !
SupprimerMerci Vi, à +
A tous : suivre le lien (avant le 5)
suis allée écouter aussi et j'ai bien fait ;)
SupprimerBjr Eric,
RépondreSupprimerje te souhaites tout le meilleur pour cette nouvelle année 2019.
https://youtu.be/dLTaXieOzbQ
A +:-)
Merci Lucette, à +
SupprimerTu dis : "Ensemble, il nous faut réapprendre le goût des échanges plus spontanés et désintéressés,le goût de la solidarité, d’un commerce plus humain et direct...... " Oh oui ça c'est cool si on troque et on se prête au lieu d'acheter chacun la CHOSE ou le gros TRUC qui coûte la peau du c....
RépondreSupprimerComme à Noël, chacun d'acheter des "choses" puis de les revendre sur e-bay.
SupprimerCoucou Saby