Imaginons un instant l’humain tel un être de lumière.
Les ténèbres sont déployées tout autour de lui, de chacun.
Et il existe dans les ténèbres, autour de chacun,
d’autres foyers et faisceaux de lumière,
plus ou moins scintillants.
La lumière aimant rester Une, rassemblée, un peu comme l’eau,
naturellement les diverses sources lumineuses s’attirent les unes les autres.
Les ténèbres, craignant à tort de perdre de l’espace
(qu’elles considèrent être leur propriété privée, hautement sécurisée),
agissent en sorte d’empêcher la réunion des corps lumineux.
Les froides et repoussantes ténèbres, boulimiques gloutonnes,
rêvent d’un monde sans lumière.
Que du noir, du néant.
Sans mouvement.
Elles veulent que tout soit à MOI, MOI, MOI.
Dans leur esprit divisé, un hémisphère emmure et enchaîne l’autre,
ce qui empêche les ténèbres d’entendre raison, la voix du bons sens :
sans lumière, que deviendrait l’univers et donc, elles-mêmes ?
Un jour funeste, la part calculatrice et dominante de leur esprit scindé
conçut une stratégie servant à détourner le plus possible d’êtres lumineux.
Depuis lors, insatiables,
les ténèbres engloutissent, pompent, sucent l’énergie des âmes,
pour la transformer en matière inanimée, noire, et rentable ;
croient-elles.
Malines et retorses,
les ténèbres eurent l’idée de produire de la lumière artificielle,
ce qui, encore de nos jours, attire et rassure les individus égarés.
Les ténèbres inventèrent des mouvements mécaniques répétitifs
à partir de ce qu’elles sont persuadées connaître de la lumière.
Et l’Industrie fut.
En ce moment, les ténèbres rêvent du pouvoir qu’elles obtiendraient
si elles comprenaient et maîtrisaient les propriétés de la lumière.
Et le Nucléaire fut.
Les ténèbres, embellies par la chirurgie esthétique, apparaissent séduisantes.
Tel un puissant aimant,
elles attirent et subjuguent les âmes blessées ou insuffisamment développées,
ou rejetées par leurs semblables éteints, stupides, aveugles et sourds.
Elles promettent mille plaisirs et quelques richesses,
pour autant qu’on les rejoigne et qu’on les satisfasse,
« pour notre bien » puisque contre rémunération.
Système de la récompense ou de la punition.
Les ténèbres, perspicaces et ingénieuses, s’introduisent dans chaque faille
– faiblesse, lâcheté, défaut, tare, manie, obsession – de l’individu
jusqu’à éteindre sa flamme intérieure, sa lumière, le palpitant,
afin d’y déposer une pile atomique recouvrant son âme, dévitalisée.
Une fois corrompue l’essence des personnalités attrapées,
les ténèbres soumettent leur esprit,
après leur avoir amputé la moitié du cerveau,
afin que les existant-morts leur obéissent gentiment.
Les plus motivés à obéir deviennent les agents des ténèbres,
en parvenant au grade convoité de démon.
Le cœur des ténèbres ressemblent fort à une fosse septique
d’où n’émanent que haine et mépris, arrogance et horrible puanteur.
L’intériorité des ténèbres reste glacée comme le cœur d’un iceberg.
Les ténèbres ne supportent pas,
sont comme allergiques à toute démonstration affective et émotionnelle.
Constamment contrariées, elles ne parviennent pas à comprendre
ce que signifie et implique une relation ;
c’est pourquoi elles ne saisissent pas le besoin de communiquer, de partager.
Pour elles, communiquer consiste à passer des ordres « MOI je veux que… »
énoncés d’un ton doucereux et maniéré, enrobé de politesses.
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Les ténèbres sont déployées tout autour de lui, de chacun.
Et il existe dans les ténèbres, autour de chacun,
d’autres foyers et faisceaux de lumière,
plus ou moins scintillants.
La lumière aimant rester Une, rassemblée, un peu comme l’eau,
naturellement les diverses sources lumineuses s’attirent les unes les autres.
Les ténèbres, craignant à tort de perdre de l’espace
(qu’elles considèrent être leur propriété privée, hautement sécurisée),
agissent en sorte d’empêcher la réunion des corps lumineux.
Les froides et repoussantes ténèbres, boulimiques gloutonnes,
rêvent d’un monde sans lumière.
Que du noir, du néant.
Sans mouvement.
Elles veulent que tout soit à MOI, MOI, MOI.
Dans leur esprit divisé, un hémisphère emmure et enchaîne l’autre,
ce qui empêche les ténèbres d’entendre raison, la voix du bons sens :
sans lumière, que deviendrait l’univers et donc, elles-mêmes ?
Un jour funeste, la part calculatrice et dominante de leur esprit scindé
conçut une stratégie servant à détourner le plus possible d’êtres lumineux.
Depuis lors, insatiables,
les ténèbres engloutissent, pompent, sucent l’énergie des âmes,
pour la transformer en matière inanimée, noire, et rentable ;
croient-elles.
Malines et retorses,
les ténèbres eurent l’idée de produire de la lumière artificielle,
ce qui, encore de nos jours, attire et rassure les individus égarés.
Les ténèbres inventèrent des mouvements mécaniques répétitifs
à partir de ce qu’elles sont persuadées connaître de la lumière.
Et l’Industrie fut.
En ce moment, les ténèbres rêvent du pouvoir qu’elles obtiendraient
si elles comprenaient et maîtrisaient les propriétés de la lumière.
Et le Nucléaire fut.
Les ténèbres, embellies par la chirurgie esthétique, apparaissent séduisantes.
Tel un puissant aimant,
elles attirent et subjuguent les âmes blessées ou insuffisamment développées,
ou rejetées par leurs semblables éteints, stupides, aveugles et sourds.
Elles promettent mille plaisirs et quelques richesses,
pour autant qu’on les rejoigne et qu’on les satisfasse,
« pour notre bien » puisque contre rémunération.
Système de la récompense ou de la punition.
Une recommandation aux germes d’âme à l'écoute :
en méprisant et rejetant des aspects de soi,
en les méconnaissant ou en les niant,
en les déniant ou en luttant contre,
l’intériorité d’un individu se déchire,
ce qui donne accès aux ténèbres envahissantes,
insidieuses, colonisatrices et dominatrices,
dont l’unique intention vise à souiller et nuire au lumineux vibrant,
qu’elles se sont jurées d’anéantir, à jamais.
Les ténèbres, perspicaces et ingénieuses, s’introduisent dans chaque faille
– faiblesse, lâcheté, défaut, tare, manie, obsession – de l’individu
jusqu’à éteindre sa flamme intérieure, sa lumière, le palpitant,
afin d’y déposer une pile atomique recouvrant son âme, dévitalisée.
Un conseil au lecteur : méfiez-vous de votre propre ombre.
Une fois corrompue l’essence des personnalités attrapées,
les ténèbres soumettent leur esprit,
après leur avoir amputé la moitié du cerveau,
afin que les existant-morts leur obéissent gentiment.
Les plus motivés à obéir deviennent les agents des ténèbres,
en parvenant au grade convoité de démon.
Le cœur des ténèbres ressemblent fort à une fosse septique
d’où n’émanent que haine et mépris, arrogance et horrible puanteur.
L’intériorité des ténèbres reste glacée comme le cœur d’un iceberg.
Les ténèbres ne supportent pas,
sont comme allergiques à toute démonstration affective et émotionnelle.
Constamment contrariées, elles ne parviennent pas à comprendre
ce que signifie et implique une relation ;
c’est pourquoi elles ne saisissent pas le besoin de communiquer, de partager.
Pour elles, communiquer consiste à passer des ordres « MOI je veux que… »
énoncés d’un ton doucereux et maniéré, enrobé de politesses.
Un conseil : autour de vous,
méfiez-vous tout particulièrement de l’ombre des personnages civilisé$.
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Eric,
RépondreSupprimerOuais t'as raison, on n'est plus vraiment l'ombre de nous même.
Bientôt le brevet sera déposé et on devra en louer une qui nous convient ou pas.
Bon Noël tout de même.
Thierry qui marche à l'ombre
:)) oui Thierry, ça doit déjà être possible, de louer une ombre.
SupprimerPromotion pour un crédit à taux incroyable !
A + passeur de l'ombre
Bientôt il n'y aura plus que des ombres et le monde des ténèbres ne saura peut-être plus où mettre les pieds puisque dans le noir, parce que sans lumière point de ténèbres, c'est la lumière qui fait l'ombre ! ;)
RépondreSupprimer;))
Supprimer5/5
A + Vi