Expertise divagatrice

Mesdames,
ne confondez pas médecin
et... mes deux seins.

M’sieurs-dames,
peu importe le spécialiste, sa notoriété et ses titres,
l’unique chose importante consiste à savoir pour qui il travaille,
qui commande et paie les experts et leurs recherches,
et encore, quelle(s) hypothèse s’efforcent-t-ils de confirmer.
De trop nombreux spécialistes ne sont pas humanistes,
ils ne s’écoutent pas et n’écoutent pas leurs patients,
n’étant pas connectés avec la Source, ne ressentant plus le Lien ;
et ce, pour la gloire de leurs moi-je et de leurs comptes bancaires.

Ces experts sans éthique pensent et inventent sur commandes,
de nos jours payées le plus souvent par des multinationales,
c’est-à-dire que ces experts sont à la solde d’actionnaires,
même si indirectement, par intermédiaires et autres.

Voyez l’état de la planète,
constatez notre façon générale d’être en relation, d’interagir,
appréhendez le choc de l’onde que nous générons en faussant toutes les informations,
et ma fois, demandez conseil et fiez-vous à ces experts « es ravages et inconséquences »
cherchant à démontrer qu’il suffit d’inventer un nouveau vaccin anti-doutes
pour que tout aille pour le mieux,
et que nous les laissions faire.

Les spécialistes de la santé imposent des médicaments, des vaccins,
dont l’efficacité prête à controverses parmi les spécialistes eux-mêmes (!),
et qui sont conçus à partir d’une souffrance ignoble exercée sur les autres animaux,
et même sur des humains-cobayes. Et qui sait que ressentent les plantes ?

La santé se doit d’être considérée de façon holistique,
notre santé dépendant de notre façon de se nourrir,
de faire de l’exercice physique, de l’air que nous respirons,
de l’eau que nous buvons, des pensées que nous entretenons,
de l’état de nos divers organes, de notre mode d’être en relation, etc.

C’est un ensemble de "choses" qui font qu’untel développe un cancer par ex.,
qu’un autre est souvent malade alors que celui-là rarement, etc.

Mais notre rapport à la santé est faussé par le commerce des médicaments et autres.

Déresponsabilisés, nous laissons les docteurs décider du soin de notre corps,
du rythme de visites, des médicaments à prendre, des organes à ôter, etc.

Touche pas à mon doc !

Bon, pas que ça à faire les cocos,
je cours me faire vacciner contre la grippe,
c’est mon doc qui le veut, « c’est plus sûr »,
et il me donnera des anti-cholestérols,
pour que je puisse m’empiffrer, sans souci.

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