Enfance à mémoriser de savantes manières de paraître
Pour, adultes, singer de gentils et polis civilisés, veules.
Quelques pions récalcitrants à mater, à soumettre,
Les démons, à genoux veulent.
Résignés, courbés : produire ou crever
Lentement, divers niveaux d’humiliation à traverser.
L’espérance de vie des humains doit augmenter :
Opinion publique, statistiques et probabilités.
Société sclérosée,
Egos hypertrophiés,
Âmes sous pesticides approuvés,
Raisonnements duels à écrans interposés.
Corps constamment contraints de l’extérieur,
Cœurs perpétuellement oppressés à l’intérieur,
Afin de satisfaire à la voracité de cerveaux calculateurs,
Au détriment du psychisme qui vibre en mode débiteur.
Étouffer les élans spontanés et initiatives créatrices.
Nous faire marcher, dans tous les sens du terme.
Obéir et s’activer jusqu’à l’épuisement du germe
Vivant, ressenti telle une onde perturbatrice.
La malfaçon de leur "politique" atteint un paroxysme.
Tourneboulé, on en vient à implorer le droit de vivre dignement.
Face à tant d’incohérences, besoin d’être encadré pour un plan carriérisme.
Services managés par de dociles "spécialistes" diplômés, incompétents.
Les démons s’abreuvent de larmes et de sueurs.
La souffrance d’autrui, excitant, en guise de viagra,
Bal costumé, air distingué, parfum sur le bout de gras,
La désolation tout autour attise leurs malsaines ardeurs.
Vérité, éthique, justice, valeurs, honneur :
Désuétude écoulée avec les eaux usées.
Rentabilité, performance et toute-puissance des idées,
Comptes en banque fournissent quelques mirages de bonheur.
Système matriochka : une prison dans une prison, dans une prison…
Un certain nombre à opprimer, avilir, rudoyer, malmener, affamer.
Les privilèges de commander sont confondus avec la liberté.
À genoux face à leur Démence sont les démons.
La discipline ne sert qu’au fantasme d’un MOI.
Désir déviant de vouloir devenir autre ou parfait, selon un mode d’emploi,
À l’image d’individus que la haine, la peur et l'angoisse du futur ont figé.
Hors de tous systèmes s’écoule la liberté.
Pour, adultes, singer de gentils et polis civilisés, veules.
Quelques pions récalcitrants à mater, à soumettre,
Les démons, à genoux veulent.
Résignés, courbés : produire ou crever
Lentement, divers niveaux d’humiliation à traverser.
L’espérance de vie des humains doit augmenter :
Opinion publique, statistiques et probabilités.
Société sclérosée,
Egos hypertrophiés,
Âmes sous pesticides approuvés,
Raisonnements duels à écrans interposés.
Corps constamment contraints de l’extérieur,
Cœurs perpétuellement oppressés à l’intérieur,
Afin de satisfaire à la voracité de cerveaux calculateurs,
Au détriment du psychisme qui vibre en mode débiteur.
Étouffer les élans spontanés et initiatives créatrices.
Nous faire marcher, dans tous les sens du terme.
Obéir et s’activer jusqu’à l’épuisement du germe
Vivant, ressenti telle une onde perturbatrice.
La malfaçon de leur "politique" atteint un paroxysme.
Tourneboulé, on en vient à implorer le droit de vivre dignement.
Face à tant d’incohérences, besoin d’être encadré pour un plan carriérisme.
Services managés par de dociles "spécialistes" diplômés, incompétents.
Les démons s’abreuvent de larmes et de sueurs.
La souffrance d’autrui, excitant, en guise de viagra,
Bal costumé, air distingué, parfum sur le bout de gras,
La désolation tout autour attise leurs malsaines ardeurs.
Vérité, éthique, justice, valeurs, honneur :
Désuétude écoulée avec les eaux usées.
Rentabilité, performance et toute-puissance des idées,
Comptes en banque fournissent quelques mirages de bonheur.
Système matriochka : une prison dans une prison, dans une prison…
Un certain nombre à opprimer, avilir, rudoyer, malmener, affamer.
Les privilèges de commander sont confondus avec la liberté.
À genoux face à leur Démence sont les démons.
La discipline ne sert qu’au fantasme d’un MOI.
Désir déviant de vouloir devenir autre ou parfait, selon un mode d’emploi,
À l’image d’individus que la haine, la peur et l'angoisse du futur ont figé.
Hors de tous systèmes s’écoule la liberté.
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Eric,
RépondreSupprimerOui, en dehors, la marge, avoir le courage, assumer, conscientiser l'impact de ses choix, de ses engagements, évaluer les limites que nous avons face à cet état de fait qui s'impose et nous indispose.
Riches réflexions.
Thierry
Me parle ton com.
SupprimerJe retiens "conscientiser l'impact de ses choix"
A + Thierry
Je me demande juste s'il peut (s'ils peuvent ) encore se regarder dans un miroir ? J'ose espérer que non, mais je suis certainement trop naïve...trop empathique...
RépondreSupprimerJe pense aussi que tu es trop empathique, comme beaucoup
Supprimerqui essaient de les comprendre, de comprendre leurs décisions...
Ce qui me fait penser à ceci : « Dans une affaire aussi dangereuse
que la guerre, les pires erreurs sont précisément celles causées par la bonté. »
De Carl Von Clausewitz
A + Virevolte