Dans une relation de couple,
le pire consiste à ne plus avoir confiance en son conjoint.
Tromperie, trahison, mensonges, non-dits et secret(s),
fuir la confrontation, un dialogue constructif,
manque de négociation, disputes,
tensions et brutalités, etc.
Déception, désillusion,
envie de divorce,
souffrance.
Eh bien, c’est exactement la relation entretenue
entre les pouvoirs en place (banques, multinationales, richissimes) et nous
(nous : pauvres, classe moyenne, petits riches).
"Ils" ne cessent de nous mentir, de nous tromper,
de nous endormir afin de nous manipuler aisément.
Avec les centrales nucléaires, "ils" ont trahi nos parents (c’est un exemple).
Avec leur plan agendé sur des dizaines d’années, "ils" ne pensent qu’à la rentabilité.
Leurs secrets d’Etats et d’entreprises finiront par nous tuer, tous, eux aussi !
Pour de soi-disant motifs « politiquement corrects »
de "courtoisie" et de "civilité",
"ils" ne font, dans les faits, que de noyer le poisson
et fuir leur responsabilité, en comptant leurs bénéfices.
Derrière leur paravent proclamant de la « transparence » :
trafics d’armes, de drogues dures, d’êtres et organes humains…
Sans parler du vol incessant de nos données.
Intruisme.
Nos âmes en danger mortel.
Ces "personnes" fuient, en elles-mêmes, leur mauvaise conscience,
noire, en putréfaction au plus profond d’elles-mêmes.
Elles sont mal intentionnées.
Elles servent le "Dieu de la terre".
"Elles" préfèrent niquer la planète plutôt que de se faire face à elles-mêmes,
plutôt que de renoncer à leurs privilèges, caprices et idéaux de contrôle,
plutôt que de reconnaître leurs erreurs, cupidités et malveillances.
Incapacité à se remettre en question.
Irrémissible.
Comme beaucoup de femmes battues par leurs maris,
nous "pardonnons" en espérant que « ça va changer » ;
et, pire, nous nous convainquons que, non,
"ils" ne peuvent agir de façon si déraisonnable,
si machiavélique, dénuée de bon sens et d’humanité.
« Ils doivent savoir ce qu’ils font » se rassurent les moutons hypnotisés
se prenant pour des gens importants à qui on ne la leur fait pas.
Le plus inquiétant est que la plupart d’entre nous, sur cette planète,
sommes à leurs images, les ayant imités, les enviant,
et rêvant d’être, de devenir, comme eux !
Envie de gerber.
Les personnes comprenant cela restent seules, isolées,
se réfugiant derrière des valeurs de non-violence et de pacifisme,
ou sinon, se cachant pour vivre un tant soit peu heureuses,
se préservant, croient-elles, de l’ignominie générale.
Mais toute la planète est quadrillée.
Quoi encore, comme vilenies assassines, pour réagir ?
Il s’agit d’entamer la séparation,
un divorce,
en soi-même pour commencer,
et refuser ce ménage, cette histoire malsaine.
Autrement, on est complice, partie prenante,
en accord avec tout ce qui se passe ;
car tout cela n'est rendu possible, "réel",
uniquement parce que nous le validons,
y participons, y croyons, et le désirons,
même s'il arrive qu'on râle.
Mais en Réalité, tout cela n'a pas de vie.
Souffrance sans but, insensée,
confondue avec le plaisir.
Le "plaisir" des sadiques.
Nier et refuser tout cela,
voilà le premier pas, la première action.
Ensuite, accepter de lutter,
contre ce qui limite et rend malheureux, stressé, malade.
le pire consiste à ne plus avoir confiance en son conjoint.
Tromperie, trahison, mensonges, non-dits et secret(s),
fuir la confrontation, un dialogue constructif,
manque de négociation, disputes,
tensions et brutalités, etc.
Déception, désillusion,
envie de divorce,
souffrance.
Eh bien, c’est exactement la relation entretenue
entre les pouvoirs en place (banques, multinationales, richissimes) et nous
(nous : pauvres, classe moyenne, petits riches).
"Ils" ne cessent de nous mentir, de nous tromper,
de nous endormir afin de nous manipuler aisément.
Avec les centrales nucléaires, "ils" ont trahi nos parents (c’est un exemple).
Avec leur plan agendé sur des dizaines d’années, "ils" ne pensent qu’à la rentabilité.
Leurs secrets d’Etats et d’entreprises finiront par nous tuer, tous, eux aussi !
Pour de soi-disant motifs « politiquement corrects »
de "courtoisie" et de "civilité",
"ils" ne font, dans les faits, que de noyer le poisson
et fuir leur responsabilité, en comptant leurs bénéfices.
Derrière leur paravent proclamant de la « transparence » :
trafics d’armes, de drogues dures, d’êtres et organes humains…
Sans parler du vol incessant de nos données.
Intruisme.
Nos âmes en danger mortel.
Ces "personnes" fuient, en elles-mêmes, leur mauvaise conscience,
noire, en putréfaction au plus profond d’elles-mêmes.
Elles sont mal intentionnées.
Elles servent le "Dieu de la terre".
"Elles" préfèrent niquer la planète plutôt que de se faire face à elles-mêmes,
plutôt que de renoncer à leurs privilèges, caprices et idéaux de contrôle,
plutôt que de reconnaître leurs erreurs, cupidités et malveillances.
Incapacité à se remettre en question.
Irrémissible.
Comme beaucoup de femmes battues par leurs maris,
nous "pardonnons" en espérant que « ça va changer » ;
et, pire, nous nous convainquons que, non,
"ils" ne peuvent agir de façon si déraisonnable,
si machiavélique, dénuée de bon sens et d’humanité.
« Ils doivent savoir ce qu’ils font » se rassurent les moutons hypnotisés
se prenant pour des gens importants à qui on ne la leur fait pas.
Le plus inquiétant est que la plupart d’entre nous, sur cette planète,
sommes à leurs images, les ayant imités, les enviant,
et rêvant d’être, de devenir, comme eux !
Envie de gerber.
Les personnes comprenant cela restent seules, isolées,
se réfugiant derrière des valeurs de non-violence et de pacifisme,
ou sinon, se cachant pour vivre un tant soit peu heureuses,
se préservant, croient-elles, de l’ignominie générale.
Mais toute la planète est quadrillée.
Quoi encore, comme vilenies assassines, pour réagir ?
Les seules choses qui nous accompagnent toute notre vie sont nos actions.
– DOA
Il s’agit d’entamer la séparation,
un divorce,
en soi-même pour commencer,
et refuser ce ménage, cette histoire malsaine.
Autrement, on est complice, partie prenante,
en accord avec tout ce qui se passe ;
car tout cela n'est rendu possible, "réel",
uniquement parce que nous le validons,
y participons, y croyons, et le désirons,
même s'il arrive qu'on râle.
Mais en Réalité, tout cela n'a pas de vie.
Souffrance sans but, insensée,
confondue avec le plaisir.
Le "plaisir" des sadiques.
Nier et refuser tout cela,
voilà le premier pas, la première action.
Ensuite, accepter de lutter,
contre ce qui limite et rend malheureux, stressé, malade.
Eric,
RépondreSupprimerTrès contrasté ton article. Je ne connaissais pas DOA l'existentialiste. Je m'y retrouve comme on s'y perd parfois, dans le dédale de nos pensées et de nos actes qui se font la lutte de la première classe.
Bonne journée.
Thierry
Très contrasté = trop ?
SupprimerEst-il, ou est-elle, existentialiste ?
Je découvre DOA et vient de lire un roman. Waouh !,
ça déménage et envoie sec. Mon avis : c'est réaliste et dérangeant.
Son talent : une écriture directe, sans fioriture ni détour
(étonnant que ce roman n'aie pas été censuré).
On s'y croirait et ce, sans s'identifier (il n'y a pas de héros
ni de protagoniste principal). Lecture ardue.
Salut Thierry
Suis allé sur le site Babelio : DOA est un homme (y a une photo,
Supprimerpas de doute, bien qu'il porte des lunettes et un bonnet).
Cet auteur semble sensible autant à l'essence qu'au vécu (bien-sûr,
cet avis est subjectif, se basant sur la lecture d'un roman).
Suis venu écouter Rockin'Squat et ai relu notre échange, avec Thierry.
RépondreSupprimerLe roman en question, de DOA, s'intitule "Puhktu" primo et segundo (2 gros volumes).
Génial, je trouve.
Pour faciliter la lecture de Puhktu, il vaut mieux lire avant (contrairement à ce que j'ai fait) "Citoyens clandestins" (du même auteur), où sont introduits certains personnages évoluant dans Puhktu.
Par contre, je n'ai pas tellement apprécié "le serpent aux mille coupures", gore.