Il était une fois, en Chine,
l’invention de la poudre.
Les couillons,
ils en faisaient des feux d’artifice !
Cela les distrayait, tout en les émerveillant.
Fort heureusement,
vinrent les occidentaux,
et de la poudre se sont appropriés.
Armes et canons tonnèrent,
chairs déchirées et arrachées.
De la poudre joyeuse des chinois,
nous avons inventé la poudre d’horreur.
Loi de l’esprit retors.
Il était une fois, en Amérique du Sud,
une plante sacrée parmi d’autres,
la feuille de coca à mâchouiller,
fournissant force et courage au peuple,
restant relié de la sorte à l’énergie de la Terre.
Vinrent les occidentaux ingénieux et cupides,
qui, irrespectueusement, se sont emparés de la plante de coca.
Ils l’ont "disséquée" pour en isoler des éléments et en bannir d’autres.
Dénaturée et manipulée par de doctes scientifiques,
elle devint poudre diabolique : la cocaïne,
produit chimique rendant dément le précieux cerveau.
Les industries pharmaceutiques en profitent allègrement,
ainsi que des entreprises titanesques notamment de soda-sola.
L’ignominie n’ayant aucune limite,
de nos jours, actuellement,
les occidentaux cupides et infatigables,
à seule fin de contrôler complètement les bénéfices de la cocaïne et dérivés,
aux âmes envahies et souillées des Natifs du sol américain,
la feuille inoffensive de coca s’en veulent interdire (!!),
anéantissant de la sorte la tradition, l’esprit reliant,
ainsi que la véritable propriété de la plante,
stimulante comme le thé et le café.
Les Natifs n’ont plus rien, dépossédés, ils sont pauvres,
et ils ne devraient plus avoir le droit de cueillir des feuilles de coca !
C’est cet état d’esprit anéantisseur qu’il faut changer, en nous, les blancs,
qui passons notre temps à calculer, des bénéfices,
qui avons perdu tout sens du sacré et essentiel.
Encore un exemple :
la plante non moins sacrée de tabac, pour les Natifs du Nord,
nous en avons fait des cigarettes vicieusement addictives.
Et cætera.
Les occidentaux, nous sommes des esprits indubitablement tournés
vers la division et la manipulation, l’artifice et la destruction de l’essence.
Nos consciences sont limitées, aveuglées, par notre avidité.
Les intellectuels dirigent, n’évoluant plus dans la réalité du quotidien.
Intellectualiser : planer au-dessus de la réalité, afin de la recomposer.
Là est le problème majeur des blancs : ne pas savoir apprécier ce qui est,
comme c’est ;
et ne pas vouloir se contenter de ce qui est, comme ça se présente,
en voulant davantage, mieux, selon des idées, plus vite,
entasser des réserves, dénaturer, entraver ou tuer.
Maladie mentale, maintenant mondiale, due à un excès d’abstractio-manie :
on abstrait l’essence pour produire de la merde toxique,
à l’exemple de ce que nous avons fait avec la feuille de coca,
à l’exemple des produits que nous achetons et mangeons. Miam
J’ai copié sur le Net le poème andin qui suit.
Je l’avais lu en Bolivie, étant placardé à la réception d'une posada, bien en vue.
La plante sacrée de la coca est le sujet de ce poème prophétique :
Liens
* Stock de coke
* Coke omerta
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l’invention de la poudre.
Les couillons,
ils en faisaient des feux d’artifice !
Cela les distrayait, tout en les émerveillant.
Fort heureusement,
vinrent les occidentaux,
et de la poudre se sont appropriés.
Armes et canons tonnèrent,
chairs déchirées et arrachées.
De la poudre joyeuse des chinois,
nous avons inventé la poudre d’horreur.
Loi de l’esprit retors.
Il était une fois, en Amérique du Sud,
une plante sacrée parmi d’autres,
la feuille de coca à mâchouiller,
fournissant force et courage au peuple,
restant relié de la sorte à l’énergie de la Terre.
Vinrent les occidentaux ingénieux et cupides,
qui, irrespectueusement, se sont emparés de la plante de coca.
Ils l’ont "disséquée" pour en isoler des éléments et en bannir d’autres.
Dénaturée et manipulée par de doctes scientifiques,
elle devint poudre diabolique : la cocaïne,
produit chimique rendant dément le précieux cerveau.
Les industries pharmaceutiques en profitent allègrement,
ainsi que des entreprises titanesques notamment de soda-sola.
L’ignominie n’ayant aucune limite,
de nos jours, actuellement,
les occidentaux cupides et infatigables,
à seule fin de contrôler complètement les bénéfices de la cocaïne et dérivés,
aux âmes envahies et souillées des Natifs du sol américain,
la feuille inoffensive de coca s’en veulent interdire (!!),
anéantissant de la sorte la tradition, l’esprit reliant,
ainsi que la véritable propriété de la plante,
stimulante comme le thé et le café.
Les Natifs n’ont plus rien, dépossédés, ils sont pauvres,
et ils ne devraient plus avoir le droit de cueillir des feuilles de coca !
C’est cet état d’esprit anéantisseur qu’il faut changer, en nous, les blancs,
qui passons notre temps à calculer, des bénéfices,
qui avons perdu tout sens du sacré et essentiel.
Encore un exemple :
la plante non moins sacrée de tabac, pour les Natifs du Nord,
nous en avons fait des cigarettes vicieusement addictives.
Et cætera.
Les occidentaux, nous sommes des esprits indubitablement tournés
vers la division et la manipulation, l’artifice et la destruction de l’essence.
Nos consciences sont limitées, aveuglées, par notre avidité.
Les intellectuels dirigent, n’évoluant plus dans la réalité du quotidien.
Intellectualiser : planer au-dessus de la réalité, afin de la recomposer.
Là est le problème majeur des blancs : ne pas savoir apprécier ce qui est,
comme c’est ;
et ne pas vouloir se contenter de ce qui est, comme ça se présente,
en voulant davantage, mieux, selon des idées, plus vite,
entasser des réserves, dénaturer, entraver ou tuer.
Maladie mentale, maintenant mondiale, due à un excès d’abstractio-manie :
on abstrait l’essence pour produire de la merde toxique,
à l’exemple de ce que nous avons fait avec la feuille de coca,
à l’exemple des produits que nous achetons et mangeons. Miam
J’ai copié sur le Net le poème andin qui suit.
Je l’avais lu en Bolivie, étant placardé à la réception d'une posada, bien en vue.
La plante sacrée de la coca est le sujet de ce poème prophétique :
« Garde ses feuilles avec amour.
Et quand tu sens la peine dans ton cœur,
la faim dans ta chair et les ténèbres dans ton esprit,
porte-les à ta bouche.
Tu trouveras amour pour ta peine,
nourriture pour ton corps
et lumière pour ton esprit.
Mais pour l’homme blanc, le chercheur d’or,___________________________________________________________
dès qu’il la touchera,
il ne trouvera que poison pour son corps et folie pour son esprit. »
Liens
* Stock de coke
* Coke omerta
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Poème Andin de sagesse.
RépondreSupprimerAya, si, hombre
SupprimerUn salut Loqman
J'viens rebondir sur le com de Loqman qui parle de "sagesse",
Supprimerpour relever que les Natifs d'Amérique, eux aussi,
avaient conscience de nos trois centres de fonctionnement, ou cerveaux,
de l'être ; en effet, le début du poème, telle une prière,
s'adresse au coeur, à la chair et à l'esprit de l'humain.
Notons que l'amour vient en premier...
Eric,
RépondreSupprimerConte de la vie ordinaire. Mythe d'Abel et Caïn (transformer l'outil en arme) version colonisateur. Cherchez l'erreur. Enfin non cherchez pas c'est tout trouvé. Miroir mon beau miroir dis moi qui est... tue ?
Bonne journée.
Excellent la chute du miroir !! :))
SupprimerMarre de cette "vie ordinaire"
Ciao Thierry
Bonjour,
RépondreSupprimercomme quoi, l'occidental dit civilisé detruit tout ce qu'il decouvre d'un monde d'ailleurs, un monde plus civilisé dans le cerveau que cet individu conquerant
bon weekend d'Assomption
je disparais des blogs de demain a mercredi 16 aout 2017,
retour a EKLA jeudi
Salut Juste. En Espagne (si ça se fait encore),
Supprimerils sortent la vierge, le 15, grandes processions.
Bon w-e
Que dire de plus...tu as déjà tout expliqué ! Totalement en accord avec ta vue du monde occidental. Bon, sinon, j'ai passé des vacances sans rien rechercher de particulier, juste en profitant du moment et c'est vraiment bien ! ;)
RépondreSupprimer:) j'aime bien ce que tu renvois de tes vac.,
Supprimer"juste profiter du moment", wouah,
c'est pas évident pour tout le monde !
Parfois, je n'ose pas parler de mes vacances tellement elles sont banales, se promener, photographier un beau lieu, un papillon, une plante, chercher des geocaches, ;) , découvrir des lieux insolites, marcher, voir la famille, monter la tente, démonter la tente, manger, dormir, rencontrer des gens, marcher encore. des vacances sans restau ou rien qu'un, des vacances sans la foule ou si peu, des vacances sans plage bondée, des vacances sans coup de soleil, des vacances qui n'épateront personne mais que j'aurai appréciées et c'est ça le principal. :D
SupprimerEt non, je ne suis pas allée en Corse, ou en voyage en pays étranger, et non, je n'ai pas pris l'avion ni le train, mais j'ai roulé avec ma voiture de 17 ans , ma tente dans le coffre et mes deux grands sous l'aile . ;)