La pure lumière est information.
La lumière est information complète.
À la lumière,
chacun de disposer des mêmes "cartes", données, en main.
Au fond, c’est simple :
soit on est dans la lumière et l’esprit se sent clair, dans l’évidence ;
soit il y a ombres et nuages, ce qui trouble l’esprit.
Comme nos esprits sont troublés depuis, pour nous français,
au moins deux mille ans, nous ne savons pas, plus,
comment c’est de se sentir l’esprit léger et clair.
Les ténèbres dissimulent des informations.
Détenir des informations que d’autres n’ont pas procure du pouvoir.
Pouvoir pour celui détenant des données pouvant avoir un impact,
direct ou indirect, dans la vie de l’autre (des autres).
Un secret (portant à conséquences) revient à enfermer de la pure lumière
dans une pièce opaque hermétiquement close au trente-sixième sous-sol,
un abri antiatomique tenu « top secret, armée défense ».
Le pouvoir repose donc, en partie, sur au moins un secret,
c’est-à-dire sur des mensonges, de la dissimulation, des stratégies, des desseins.
Le pouvoir aliène et il se nourrit des ténèbres.
Lorsqu’"ils" ont « mis sous clé » la nourriture,
ils ont également mis sous clé la lumière,
notamment grâce à l'écriture.
Et ils ont enfermé leurs secrets ;
voire même en ont inventé quelques-uns afin d’occuper les esprits éveillés
en détournant la vigilance des plus tenaces et résistants.
L’écriture et les discours,
lorsque le contenu est directif, partial et suggestif,
ne génèrent que troubles et excitation hystérique dans nos esprits.
Nos esprits se laissent influencer par ce qu’ils lisent et écoutent,
d’autant si c’est signé « experts diplômés »,
ainsi que par les images.
Ce flot d’informations unilatérales stimule les esprits
à entreprendre des conjectures diverses et dualistes.
Confusion du mode de penser et anesthésie émotionnelle.
L’humain-mécanique s’adapte et s’habitue à tout,
nous nous sommes habitués à exister dans les ténèbres,
goudronnées et aseptisées.
La lumière représente le principal ennemi du Système,
de cette société-toute-en-une fondée sur la quête du pouvoir.
"Ils" ont réussi à réfréner et à canaliser nos élans de vie,
en créant une bulle d’abstractions bien éclairée
et hyper surveillée,
où nous devenons des robots ou androïdes
se faisant assister par des robots préprogrammés
par des experts confondant intelligence et redevance.
La boucle se boucle.
Tic-tac-tic…
Plus les ténèbres se répandent, plus nous sommes rendus accros
à la consommation d’une luminosité artificielle jugée ingénieuse et rassurante,
sécurisante. Une lumière de néon que l’on obtient sur simple pression tactile,
avec reconnaissance faciale intégrée, antivol de données garanti à vie ;
et, nouveau, moyennant un léger supplément, garanti sur deux générations !
Le XXIème siècle, s’enfonce-t-il dans l’ère des ténèbres illuminées ?
Heureusement, nous avons des smarphones,
mêmes les plus pauvres d’entre nous (!),
distractions illimitées, 24h/24.
Qu’importe la lumière ?
Tous connectés !
Ah oui, j’en viens au fait :
de la lumière émanent Intelligence et Amour.
Aimer, dans les ténèbres, devient une action comme les autres :
consommable et à satisfaire immédiatement, sexe « pour tous » compris.
Là encore, heureusement qu’il existe des experts en rencontres, et des applications,
qui nous prennent par la main afin de trouver la seconde chaussure appropriée.
Les gens peuvent même préciser vouloir « juste une aventure ».
Tan ! Tan ! Voilà le lover cow-boy, toujours prêt à dégainer.
Dans la bouche de certains, « aimer » génère des vibrations similaires
à celles qu’émet un singe malin se plaignant de constipation persistante.
Et la lumière fut.
Puis, d’un fût de vin, l’humain fut.
Non dénué d’idées savantes et rocambolesques,
il se mit en tête de vouloir, lui aussi, produire de la lumière,
car la pure lumière ne permettait pas d’asservir ni de se sentir puissant.
Or, chaque humain veut vivre comme un dieu de la mythologie.
Et sans cobaye ni main d’œuvre ni consommateur,
la bulle mystificatrice éclaterait,
ce qui ferait le bonheur des enfants,
mais se révélerait insoutenable pour les "supérieurs".
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La lumière est information complète.
À la lumière,
chacun de disposer des mêmes "cartes", données, en main.
Au fond, c’est simple :
soit on est dans la lumière et l’esprit se sent clair, dans l’évidence ;
soit il y a ombres et nuages, ce qui trouble l’esprit.
Comme nos esprits sont troublés depuis, pour nous français,
au moins deux mille ans, nous ne savons pas, plus,
comment c’est de se sentir l’esprit léger et clair.
Les ténèbres dissimulent des informations.
Détenir des informations que d’autres n’ont pas procure du pouvoir.
Pouvoir pour celui détenant des données pouvant avoir un impact,
direct ou indirect, dans la vie de l’autre (des autres).
Un secret (portant à conséquences) revient à enfermer de la pure lumière
dans une pièce opaque hermétiquement close au trente-sixième sous-sol,
un abri antiatomique tenu « top secret, armée défense ».
Le pouvoir repose donc, en partie, sur au moins un secret,
c’est-à-dire sur des mensonges, de la dissimulation, des stratégies, des desseins.
Le pouvoir aliène et il se nourrit des ténèbres.
Lorsqu’"ils" ont « mis sous clé » la nourriture,
ils ont également mis sous clé la lumière,
notamment grâce à l'écriture.
Et ils ont enfermé leurs secrets ;
voire même en ont inventé quelques-uns afin d’occuper les esprits éveillés
en détournant la vigilance des plus tenaces et résistants.
L’écriture et les discours,
lorsque le contenu est directif, partial et suggestif,
ne génèrent que troubles et excitation hystérique dans nos esprits.
Nos esprits se laissent influencer par ce qu’ils lisent et écoutent,
d’autant si c’est signé « experts diplômés »,
ainsi que par les images.
Ce flot d’informations unilatérales stimule les esprits
à entreprendre des conjectures diverses et dualistes.
Confusion du mode de penser et anesthésie émotionnelle.
L’humain-mécanique s’adapte et s’habitue à tout,
nous nous sommes habitués à exister dans les ténèbres,
goudronnées et aseptisées.
La lumière représente le principal ennemi du Système,
de cette société-toute-en-une fondée sur la quête du pouvoir.
"Ils" ont réussi à réfréner et à canaliser nos élans de vie,
en créant une bulle d’abstractions bien éclairée
et hyper surveillée,
où nous devenons des robots ou androïdes
se faisant assister par des robots préprogrammés
par des experts confondant intelligence et redevance.
La boucle se boucle.
Tic-tac-tic…
Plus les ténèbres se répandent, plus nous sommes rendus accros
à la consommation d’une luminosité artificielle jugée ingénieuse et rassurante,
sécurisante. Une lumière de néon que l’on obtient sur simple pression tactile,
avec reconnaissance faciale intégrée, antivol de données garanti à vie ;
et, nouveau, moyennant un léger supplément, garanti sur deux générations !
Le XXIème siècle, s’enfonce-t-il dans l’ère des ténèbres illuminées ?
Heureusement, nous avons des smarphones,
mêmes les plus pauvres d’entre nous (!),
distractions illimitées, 24h/24.
Qu’importe la lumière ?
Tous connectés !
Ah oui, j’en viens au fait :
de la lumière émanent Intelligence et Amour.
Aimer, dans les ténèbres, devient une action comme les autres :
consommable et à satisfaire immédiatement, sexe « pour tous » compris.
Là encore, heureusement qu’il existe des experts en rencontres, et des applications,
qui nous prennent par la main afin de trouver la seconde chaussure appropriée.
Les gens peuvent même préciser vouloir « juste une aventure ».
Tan ! Tan ! Voilà le lover cow-boy, toujours prêt à dégainer.
Dans la bouche de certains, « aimer » génère des vibrations similaires
à celles qu’émet un singe malin se plaignant de constipation persistante.
Et la lumière fut.
Puis, d’un fût de vin, l’humain fut.
Non dénué d’idées savantes et rocambolesques,
il se mit en tête de vouloir, lui aussi, produire de la lumière,
car la pure lumière ne permettait pas d’asservir ni de se sentir puissant.
Or, chaque humain veut vivre comme un dieu de la mythologie.
Et sans cobaye ni main d’œuvre ni consommateur,
la bulle mystificatrice éclaterait,
ce qui ferait le bonheur des enfants,
mais se révélerait insoutenable pour les "supérieurs".
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Eric,
RépondreSupprimerC'est clair que tout n'est pas transparent... Loin de là. On s'en accomode, on s'en arrange, on se révolte, on s'indigne. Cet état de fait nosu fait basculer d'un état à l'autre. L'omniscience - du moins l'illusion qu'on en a - de la toile nous baigne dans un rêve. On n'a pas fini de déchanter, alors chantons !
Thierry
♫ ♪ ♫ ♪
Supprimer(qu'est-ce qu'il y a de transparent ?)
♫ ♪ ♫ ♪
Ciao Thierry (bon sens ce que tu as écrit, je trouve)
♫ ♪ ♫ ♪