– La vanité de discourir sur l’amour –
c’est chercher à décrire quelque chose qui dépasse complètement notre entendement.
Non-sens.
Ce serait comme de vouloir définir l’univers infini,
alors que nous n’en percevons qu’une infime partie.
– Besoin de parler d’amour –
L’amour ne peut être ressenti que dans le cadre d’une relation, durant une interaction,
suivant ce que chaque partie y apporte, selon le contenu partagé.
Durant une interaction, soit l’amour circule,
soit des interférences brouillent la relation et les esprits de chacun.
L’amour fluidifie l’interaction, la clarifie, agissant telle une énergie purificatrice ;
et chacun d’en bénéficier, c’est du gagnant-gagnant.
Une interaction est éprouvée par chacun.
L’émotion ouvre aux autres, à la relation.
Pas de contrôle ni de volonté, en matière d’amour.
L’amour est ou n’est pas,
et c’est l’émotion qui le perçoit.
Au travers de la qualité de l’interaction circule et se diffuse l’amour.
La qualité invite l’amour.
La quantité (de relations ou autres) étouffe la qualité, l’enraye, la piétine.
Une quête d’amour, sans respect de toute forme de vie,
et sans réelle intention de partager quelque chose avec les autres,
reste vide de sens. Du blablabla emballé d’or.
Le sentiment d’amour ne peut être éprouvé uniquement par l’une des parties,
car cela ne serait qu’un sentiment intellectualisé par la personne
se croyant ou se voulant, mentalement, amoureuse.
Hors situation interactive, l’amour n’est qu’un concept comme un autre,
un mot abstrait ne servant qu’à justifier, théoriser et fantasmer, se la raconter,
manipuler les sentiments d’autrui, y croire et espérer, rêvasser et conter, commercer.
NB : si l’on entend amour comme on utilise couramment le terme d’intelligence,
vivement les robots-sexe et les vibromasseurs "intelligents".
– Apprendre à aimer l’autre comme soi-même –
Pour éprouver et se sentir transporté par le sentiment d’amour,
il s’agit d’être disposé à en donner et à en recevoir, de l’attention.
Un élan d’amour amène à prendre soin des autres,
avant même de prendre soin de soi.
L’élan d’amour ne se révèle intéressé que par une unique chose :
l’échange, le partage, et la conciliation ou assemblage des différences.
L’amour unit, faisant fusionner deux(ou plus) éléments distincts, souvent opposés.
Pour se laisser porter par un élan d’amour,
il s’agit avant tout d’être attentif à ce qu’il se passe en soi,
en s’écoutant (sensations, émotions, images, sentiment général et pensées).
On ne s’écoute que pour autant que l’on s’aime, soi-même,
et que l'on ait confiance en le Soi en soi-même.
en reconnaissant un premier mouvement égoïste à l’amour,
mais il exprime admirablement les effets d’un amour partagé.
« Quand je suis avec toi, je me sens bien »,
c’est-à-dire que la présence de l’autre m’est agréable, équilibrante,
ce qui amène dans un premier temps à s’aimer soi-même,
à aimer « comment je suis, réagis et pense » en présence de l’autre.
Dans un second temps, ce mouvement égoïste amène à lâcher-prise sur soi-même
– avec qui je me sens en paix – pour pouvoir porter son attention sur l’autre.
C’est-à-dire que ce sentiment amène à être attentif et bienveillant
face à ce que vit "l’autre-dont-la-présence-me-fait-du-bien".
De la sorte, on se décentre de soi-même
afin de "baigner" dans l’amour éprouvé réciproquement.
– Ce qui empêche d'aimer –
Tout ce qui sépare ou divise se révèle action contraire à l’amour,
ne générant que des interférences interactives.
Dieu est symbole d’amour.
Le diable est symbole de séparation, de fragmentation, de division et de mésentente.
C’est la différence qui enrichit.
Se contenter d’aimer ses proches et amis confortent dans les idées et croyances
que l’on entretient sur le respect et l’amour, sur soi, sur le monde.
Avec les proches, nous entretenons des habitudes relationnelles,
qu’elles soient bonnes et affectueuses ou non ;
et tout cela amène à nous emmurer dans une tour de certitudes conditionnées.
On "aime" mécaniquement, soit : partiellement, capricieusement et avec moult conditions.
On "aime" selon un(des) schéma préétabli, formaté.
S’efforcer d’aimer un ennemi permet d’apprendre à considérer la différence
que représente l’autre et, par conséquent, d’en bénéficier.
C’est de la sorte que chacun s’enrichit : en s’intéressant à la vérité de l’autre.
Le révérend archimandrite Chatzopoulos (chrétien orthodoxe) a expliqué :
« En rencontrant l’Autre, je deviens de plus en plus moi-même.
Quand je rencontre quelqu’un qui n’est pas comme moi, qui est différent,
il ou elle me rapproche de ce que je suis au fond de moi-même. »
Je me méfie, maintenant, des désirs d’amour exclusif :
on prétend aimer cette personne, ses parents et ses enfants,
tout en restant indifférent aux autres et en ne respectant pas grand-chose.
A méditer :
Hervé Lauwick a écrit : « un ami, c’est quelqu’un qui vous connaît bien
et qui vous aime quand même ».
Pourquoi ce « quand même » final ?
De mon côté, à force d’y réfléchir, je trouve cet ajout fort subtil, Intelligent.
– Grandir ensemble –
Si l’autre ressent aussi l’amour, il agit également et spontanément
avec attention et bienveillance à notre égard ;
et la relation devient un échange de plaisirs et d’entraides.
Ce type de relation permet à chacun de développer ce qu’il a de mieux
et de meilleur en lui-même.
Une relation d’amour permet à chacun de grandir en maturité,
en sagesse et en intelligence. Cela permet de s’épanouir ensemble.
Et cela diffuse la joie d’exister, en soi comme autour de soi.
Quand on aime quelqu’un et que l’on se sent aimé,
on aime aussi les autres, spontanément, c’est comme ça.
Notre cœur est immense, chacun peut y avoir une place.
– L’amour se meut partout, constamment –
L’amour n’est pas fruit d’une réflexion, d’une idée ou d’une construction mentale.
Chacun de nous représente un centre à partir duquel se déploient les quatre directions.
J. Krishnamurti pense que l’amour évolue tout autour de ce centre,
ce qui sous-entend que tout est amour autour du Soi-centre.
L’amour, selon J. Krishnamurti, serait un peu comme l’atmosphère que nous respirons.
L’amour ne peut être localisé ni conceptualisé, puisqu’il n’y a pas de centre,
c’est-à-dire pas de Principe, ce qui exclut le déterminisme cause-effet.
Je comprends, des propos de cet auteur, que l’amour est énergie – comme l’Intelligence –,
une énergie subtile qu’il s’agit d’apprendre à capter, en quelque sorte.
Amour et Intelligence semblent aller de pair, tels des frère et sœur inséparables.
Se répandant partout, frère et sœur sont partout…, pour qui sait les capter,
se moduler sur les fréquences vibratoires idoines.
Interagir clairement, sans mentir, est aimer.
Inutile d’ajouter, je pense, qu’en contenant les manifestations émotionnelles,
en enfermant le sentiment dans une gaine étroitissime,
on ne peut tout simplement pas éprouver l’amour, sauf intellectuellement, soit :
de façon abstraite, construite-calculée, pensée.
En résumé : lors d’une interaction, et quelle que soit la nature de cette interaction,
plus il y a d’interférences – malentendu, incompréhension, médisance, jalousie, haine, etc. –
moins il y a d’amour.
Au fond c’est simple, il n’y a qu’à sentir ce qu’il se passe au moment de l’interaction.
Plus une relation se révèle fluide, claire, où chacun prend sa place et du plaisir,
moins la question se pose, moins il est nécessaire d’en parler, plus cela devient évidence…
L’amour guérit les âmes blessées.
L’amour est ouverture totale.
Ni frontière ni limite.
L’amour est puissant.
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Lien
* Subtile différence entre l’enfer et le paradis
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Le fait de dire qu’il existe des choses que les mots ne peuvent décrireParler de l’amour est comme parler du Tout-Créateur :
ébranle un univers où les mots constituent la croyance suprême.
– F. Herbert
c’est chercher à décrire quelque chose qui dépasse complètement notre entendement.
Non-sens.
Ce serait comme de vouloir définir l’univers infini,
alors que nous n’en percevons qu’une infime partie.
– Besoin de parler d’amour –
L’amour ne peut être ressenti que dans le cadre d’une relation, durant une interaction,
suivant ce que chaque partie y apporte, selon le contenu partagé.
Durant une interaction, soit l’amour circule,
soit des interférences brouillent la relation et les esprits de chacun.
L’amour fluidifie l’interaction, la clarifie, agissant telle une énergie purificatrice ;
et chacun d’en bénéficier, c’est du gagnant-gagnant.
Une interaction est éprouvée par chacun.
L’émotion ouvre aux autres, à la relation.
Pas de contrôle ni de volonté, en matière d’amour.
L’amour est ou n’est pas,
et c’est l’émotion qui le perçoit.
Au travers de la qualité de l’interaction circule et se diffuse l’amour.
La qualité invite l’amour.
La quantité (de relations ou autres) étouffe la qualité, l’enraye, la piétine.
(…) l’amour peut-il être un devoir ?
Peut-on commander à son cœur ?
Je ne le crois pas.
Selon les grands rabbins, le respect est supérieur à l’amour.
Il est une obligation continue.
Ça me semble possible.
Je peux respecter ceux que je n’aime pas ou ceux qui m’indiffèrent.
Mais les aimer ?
D’ailleurs, ai-je autant besoin de les aimer si je les respecte ?
C’est difficile, l’amour, on ne peut ni le provoquer, ni le contrôler,
ni le contraindre à durer. Alors que le respect…
– E.-E. Schmitt
Une quête d’amour, sans respect de toute forme de vie,
et sans réelle intention de partager quelque chose avec les autres,
reste vide de sens. Du blablabla emballé d’or.
Le sentiment d’amour ne peut être éprouvé uniquement par l’une des parties,
car cela ne serait qu’un sentiment intellectualisé par la personne
se croyant ou se voulant, mentalement, amoureuse.
Jamais en vérité, l’amant ne cherche sans que le cherche sa bien-aimée.
Lorsque l’étincelle de l’amour a jailli dans ce cœur-ci,
sache qu’il y a de l’amour dans ce cœur-là.
Lorsque l’amour de Dieu croît dans ton cœur,
nul doute que Dieu ait pour toi de l’amour.
Une main ne peut applaudir sans le concours de l’autre main.
– Rumî (poète et mystique musulman)
Hors situation interactive, l’amour n’est qu’un concept comme un autre,
un mot abstrait ne servant qu’à justifier, théoriser et fantasmer, se la raconter,
manipuler les sentiments d’autrui, y croire et espérer, rêvasser et conter, commercer.
NB : si l’on entend amour comme on utilise couramment le terme d’intelligence,
vivement les robots-sexe et les vibromasseurs "intelligents".
– Apprendre à aimer l’autre comme soi-même –
Pour éprouver et se sentir transporté par le sentiment d’amour,
il s’agit d’être disposé à en donner et à en recevoir, de l’attention.
Un élan d’amour amène à prendre soin des autres,
avant même de prendre soin de soi.
Tenter de comprendre l’autre amène à se comprendre soi-même.
Se comprendre soi-même permet de recevoir la bienveillance de l’autre.
– Anonyme
L’élan d’amour ne se révèle intéressé que par une unique chose :
l’échange, le partage, et la conciliation ou assemblage des différences.
L’amour unit, faisant fusionner deux(ou plus) éléments distincts, souvent opposés.
Pour se laisser porter par un élan d’amour,
il s’agit avant tout d’être attentif à ce qu’il se passe en soi,
en s’écoutant (sensations, émotions, images, sentiment général et pensées).
On ne s’écoute que pour autant que l’on s’aime, soi-même,
et que l'on ait confiance en le Soi en soi-même.
« Je ne t’aime pas pour ce que tu es,Non seulement G. G. Marquez écrit avec honnêteté,
mais pour ce que je suis quand je suis avec toi. »
– Gabriel G. Marquez
en reconnaissant un premier mouvement égoïste à l’amour,
mais il exprime admirablement les effets d’un amour partagé.
« Quand je suis avec toi, je me sens bien »,
c’est-à-dire que la présence de l’autre m’est agréable, équilibrante,
ce qui amène dans un premier temps à s’aimer soi-même,
à aimer « comment je suis, réagis et pense » en présence de l’autre.
Dans un second temps, ce mouvement égoïste amène à lâcher-prise sur soi-même
– avec qui je me sens en paix – pour pouvoir porter son attention sur l’autre.
C’est-à-dire que ce sentiment amène à être attentif et bienveillant
face à ce que vit "l’autre-dont-la-présence-me-fait-du-bien".
De la sorte, on se décentre de soi-même
afin de "baigner" dans l’amour éprouvé réciproquement.
– Ce qui empêche d'aimer –
Tout ce qui sépare ou divise se révèle action contraire à l’amour,
ne générant que des interférences interactives.
Dieu est symbole d’amour.
Le diable est symbole de séparation, de fragmentation, de division et de mésentente.
C’est la différence qui enrichit.
« Vos ennemis vous renforcent.Pourquoi est-il dit qu’il faut apprendre à aimer son ennemi ?
Vos alliés vous affaiblissent. »
– F. Herbert
Se contenter d’aimer ses proches et amis confortent dans les idées et croyances
que l’on entretient sur le respect et l’amour, sur soi, sur le monde.
Avec les proches, nous entretenons des habitudes relationnelles,
qu’elles soient bonnes et affectueuses ou non ;
et tout cela amène à nous emmurer dans une tour de certitudes conditionnées.
On "aime" mécaniquement, soit : partiellement, capricieusement et avec moult conditions.
On "aime" selon un(des) schéma préétabli, formaté.
S’efforcer d’aimer un ennemi permet d’apprendre à considérer la différence
que représente l’autre et, par conséquent, d’en bénéficier.
Reconnaître, respecter et apprendre à aimer la différence nécessite beaucoup d’humilité, puisque c’est aussi reconnaître et accepter ses propres limites.
– Anonyme
C’est de la sorte que chacun s’enrichit : en s’intéressant à la vérité de l’autre.
Le révérend archimandrite Chatzopoulos (chrétien orthodoxe) a expliqué :
« En rencontrant l’Autre, je deviens de plus en plus moi-même.
Quand je rencontre quelqu’un qui n’est pas comme moi, qui est différent,
il ou elle me rapproche de ce que je suis au fond de moi-même. »
Je me méfie, maintenant, des désirs d’amour exclusif :
on prétend aimer cette personne, ses parents et ses enfants,
tout en restant indifférent aux autres et en ne respectant pas grand-chose.
A méditer :
Hervé Lauwick a écrit : « un ami, c’est quelqu’un qui vous connaît bien
et qui vous aime quand même ».
Pourquoi ce « quand même » final ?
De mon côté, à force d’y réfléchir, je trouve cet ajout fort subtil, Intelligent.
– Grandir ensemble –
L’homme tend à l’élévation, il pense et cherche. Son destin s’étale à la verticale.
Egoïste, l’homme mène une existence austère en luttant pour avancer vers la Source.
Intuitive et sensible, la femme se voue à la vie, qu’elle propage.
Généreuse, la femme tend à l’extension. Elle éprouve le monde et l’apprécie.
Son destin s’étale à l’horizontale.
Un homme sans femme stagne ou chute.
Une femme sans homme se disperse à tous vents.
– Anonyme
Si l’autre ressent aussi l’amour, il agit également et spontanément
avec attention et bienveillance à notre égard ;
et la relation devient un échange de plaisirs et d’entraides.
Ce type de relation permet à chacun de développer ce qu’il a de mieux
et de meilleur en lui-même.
Une relation d’amour permet à chacun de grandir en maturité,
en sagesse et en intelligence. Cela permet de s’épanouir ensemble.
Et cela diffuse la joie d’exister, en soi comme autour de soi.
Quand on aime quelqu’un et que l’on se sent aimé,
on aime aussi les autres, spontanément, c’est comme ça.
Notre cœur est immense, chacun peut y avoir une place.
– L’amour se meut partout, constamment –
L’amour n’est pas fruit d’une réflexion, d’une idée ou d’une construction mentale.
L’amour n’a pas de hier et pas de demain,
où il n’y a pas de centre est l’amour.
– J. Krishnamurti
Chacun de nous représente un centre à partir duquel se déploient les quatre directions.
J. Krishnamurti pense que l’amour évolue tout autour de ce centre,
ce qui sous-entend que tout est amour autour du Soi-centre.
L’amour, selon J. Krishnamurti, serait un peu comme l’atmosphère que nous respirons.
L’amour ne peut être localisé ni conceptualisé, puisqu’il n’y a pas de centre,
c’est-à-dire pas de Principe, ce qui exclut le déterminisme cause-effet.
Je comprends, des propos de cet auteur, que l’amour est énergie – comme l’Intelligence –,
une énergie subtile qu’il s’agit d’apprendre à capter, en quelque sorte.
Amour et Intelligence semblent aller de pair, tels des frère et sœur inséparables.
Se répandant partout, frère et sœur sont partout…, pour qui sait les capter,
se moduler sur les fréquences vibratoires idoines.
Interagir clairement, sans mentir, est aimer.
Inutile d’ajouter, je pense, qu’en contenant les manifestations émotionnelles,
en enfermant le sentiment dans une gaine étroitissime,
on ne peut tout simplement pas éprouver l’amour, sauf intellectuellement, soit :
de façon abstraite, construite-calculée, pensée.
En résumé : lors d’une interaction, et quelle que soit la nature de cette interaction,
plus il y a d’interférences – malentendu, incompréhension, médisance, jalousie, haine, etc. –
moins il y a d’amour.
Au fond c’est simple, il n’y a qu’à sentir ce qu’il se passe au moment de l’interaction.
Plus une relation se révèle fluide, claire, où chacun prend sa place et du plaisir,
moins la question se pose, moins il est nécessaire d’en parler, plus cela devient évidence…
« C’est comme ça qu’on voit si on se plait avec une personne :
quand on peut se taire tout à fait, au moins une minute,
et profiter du silence. »
– Q. Tarantino
L’amour guérit les âmes blessées.
L’amour est ouverture totale.
Ni frontière ni limite.
L’amour est puissant.
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* Subtile différence entre l’enfer et le paradis
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bonjour
RépondreSupprimermerci de cette page d'amour
si facile et si compliqué que cette notion d'amour
on en a fait des livres, des chansons, des films, des series etc
et ce n'est pas fini de disserter sur l’épineux probleme qui nous intrigue tant et nous donne des battements de coeur
Eh oui.
SupprimerJoliment exprimé, Juste.
Bon jour à toi
"quelque chose qui dépasse complètement notre entendement" oui c'est ça !!
RépondreSupprimerQuelque chose qui nous donne des ailes ..... quelque chose qui fait du bien !
Des ailes, oui, l'amour élève (nos vibrations)
SupprimerEt si, en plus, ça fait du bien...
;)