Rien,
on n’est rien.
on n’est rien.
C’est fou, dingue, renversant :
plus on est rien, plus on est tout !
Vouloir tout laisse une impression de vertige.
Tenu fermement en laisse, en haut d’un gratte-ciel.
Vertige de constater à quel point, au final, on n’est rien,
insignifiant derrière les voile et paravent du prestige,
au-delà d’un titre d’autorité et des avoirs bancaires.
De ne rien être,
telle une poussière,
soulage et rend humble ;
non sans avoir affronté son effroi,
grosse et méchante angoisse,
de s’être voulu tant…, si…,
distingué et gentil,
bon pote à Dieu,
ennemi juré du Diable.
Sois toi-même,
le reste n’est qu’idée.
Ôte la laisse,
laisse l’hôte.
Plus on est vide,
mieux on ressent ce qui nourrit
autant la consistance et le goût que l’apport
pour l’esprit, l’âme et le corps.
Rien. Se sentir vide et disposé.
Chuutt ! Silence et faire de la place en soi,
devenu coupe d’argile à remplir.
Se sentir plein,
plein de vide dans le rien,
pour s’élever dans le tout,
d’un simple mouvement.
Voler en s’émerveillant,
planer en riant.
Tout le possible
dans le rien.
Suis-je tout ?
Un tout microscopique
fonctionnant comme le Grand Tout ?
Un tout petit rien dans un gigantesque tout.
Un spacieux vide dans un tout petit tout.
Un tout dans un tout dans un tout…
et finalement rien, rien du tout.
Un tout rempli de riens est défaut de sens.
Tout vide en soi est plénitude.
À méditer durant 28 jours,
pendant 22 minutes par jour,
en posture lotus, nez contre un mur blanc,
en répétant 11 fois ce qui suit, façon mantra :
Poussière de poussière de poussière de…,
je ne suis qu’infime et insignifiante poussière,
une poussière de vie en laquelle se niche Intelligence.
Ne suis-je capable d’incarner qu’une poussière mécanique conforme ?
Poussière de poussière de poussière de…,
parviendrai-je à donner mon fruit d’Amour ?
plus on est rien, plus on est tout !
Vouloir tout laisse une impression de vertige.
Tenu fermement en laisse, en haut d’un gratte-ciel.
Vertige de constater à quel point, au final, on n’est rien,
insignifiant derrière les voile et paravent du prestige,
au-delà d’un titre d’autorité et des avoirs bancaires.
De ne rien être,
telle une poussière,
soulage et rend humble ;
non sans avoir affronté son effroi,
grosse et méchante angoisse,
de s’être voulu tant…, si…,
distingué et gentil,
bon pote à Dieu,
ennemi juré du Diable.
Sois toi-même,
le reste n’est qu’idée.
Ôte la laisse,
laisse l’hôte.
Plus on est vide,
mieux on ressent ce qui nourrit
autant la consistance et le goût que l’apport
pour l’esprit, l’âme et le corps.
Rien. Se sentir vide et disposé.
Chuutt ! Silence et faire de la place en soi,
devenu coupe d’argile à remplir.
Se sentir plein,
plein de vide dans le rien,
pour s’élever dans le tout,
d’un simple mouvement.
Voler en s’émerveillant,
planer en riant.
Tout le possible
dans le rien.
Suis-je tout ?
Un tout microscopique
fonctionnant comme le Grand Tout ?
Un tout petit rien dans un gigantesque tout.
Un spacieux vide dans un tout petit tout.
Un tout dans un tout dans un tout…
et finalement rien, rien du tout.
Un tout rempli de riens est défaut de sens.
Tout vide en soi est plénitude.
À méditer durant 28 jours,
pendant 22 minutes par jour,
en posture lotus, nez contre un mur blanc,
en répétant 11 fois ce qui suit, façon mantra :
Poussière de poussière de poussière de…,
je ne suis qu’infime et insignifiante poussière,
une poussière de vie en laquelle se niche Intelligence.
Ne suis-je capable d’incarner qu’une poussière mécanique conforme ?
Poussière de poussière de poussière de…,
parviendrai-je à donner mon fruit d’Amour ?
Oui, nous ne sommes rien ! Paul Allen est mort à 65 ans ! Milliardaire mais mort ! Alors, oui, au final on n'est rien même si on est milliardaire ! Il y a au moins une sorte de justice en ce monde, l'argent ne donne pas tous les pouvoirs !
RépondreSupprimerY en a beaucoup trop de gens, dont des politiciens et milliardaires,
RépondreSupprimerqui paraissent "oublier" que nous ne sommes que poussières...
Ils vivent comme s'ils étaient des dieux, en se permettant d'opprimer autrui
et en souillant la Terre, et le ciel, etc. ; sans égard pour les suivants.
Ils ne retiennent aucun enseignement du passé.
Des nullités sans fond. Des poussières creuses, sans principe d'Intelligence.
L'argent n'a comme pouvoir que ce que nous, chacun, lui en octroyons.
L'argent ne "donnerait" aucun pouvoir si on le décidait...
A + Vi
Eric,
RépondreSupprimerL'éléphant dans le brouillard et non dans le boa ne sait rien de tout cela ou bien il l'a dépassé depuis longtemps. Qui se trompe énormément ?
Thierry
Dans la chanson "Arizona dreams", il est dit que "les poissons ne pensent pas, ils savent déjà tout"
SupprimerA + Thierry