Triste, se sentir triste,
sans motif direct, sans cause particulière,
sauf en ce qui concerne ma responsabilité,
mon erreur de choix ;
et en être là,
à ce point,
parmi des voitures.
sans motif direct, sans cause particulière,
sauf en ce qui concerne ma responsabilité,
mon erreur de choix ;
et en être là,
à ce point,
parmi des voitures.
Douter de Soi,
un moment de faiblesse,
un besoin d'affection,
et des conséquences.
un moment de faiblesse,
un besoin d'affection,
et des conséquences.
Le temps s’arrête, parfois.
Si si.
Si si.
Tout me rend triste.
Se sentir impuissant,
et nulle part chez soi.
et nulle part chez soi.
Dehors, ça ne s’arrête pas.
Ça continue, comme si de rien.
Et on abat des arbres, et on construit d’horribles bâtiments,
et de grands parkings, vrouuuum, pour y ranger des voitures.
S’arrêter, tous, un moment, une journée,
et évaluer la situation, le pour et le contre,
en se regardant, en s’écoutant les uns les autres.
Se donner le temps, en prendre, juste pour faire le point,
et rappeler à la Machine que nous ne sommes pas à son service.
C’est à la Machine de nous servir et non pas le contraire.
Ceux qui programment la Machine ont encore besoin de nous,
mais ils savent bien que nous ferons en sorte que ça continue.
Le confort sur quatre roues à essence nous a rendu peureux et lâches.
S’arrêter et réfléchir à la qualité de vie,
à la qualité des relations, des nourritures,
et, pourquoi pas, chanter à tue-tête avec Saez
que cette marche politico-financière nous terrorise.
Triste de rien, rien de précis.
Que peut-il y avoir de défini dans un magma de mensonges et manipulations,
sur fond d’avidité infinie et de débilités politiquement corrects ? Tweeet
Tous les jours, avoir affaire à des malades mentaux, à la TV, à la radio,
sur le Net, dans les clips-vidéo, sur les réseaux sociaux, etc. Pubs.
Mère Mafia gouvernementale,
englobant tout un tas de mafias.
Système matriochka.
Pas moyen de respirer sans Mère Mafia et Père Monnaie.
La nappe phréatique d’alcool ne paraît pas tarir, au contraire.
Y a toujours des salopards pour venir tout compliquer, puis souiller.
Et les femmes sont attirées par ce genre de "salop-art-de-pourrir-autrui".
Certains ne demandent rien d’autre que de vivre tranquilles et simplement,
mais ils ne peuvent pas ! On ne les laisse pas. "Ils" veulent tout,
toute la Terre et tous ces habitants sous contrôle.
Aveugles, sourds, indifférents et insensibles,
à battre le vent avec nos blablas aussi malsains que l’air que nous respirons.
Triste,
car je ne saurai probablement jamais ce que ce serait de vivre sur une Terre saine,
où il suffirait de chasser, de planter quelques céréales et légumes,
et d’aller nager dans une eau propre, parmi les poissons.
car je ne saurai probablement jamais ce que ce serait de vivre sur une Terre saine,
où il suffirait de chasser, de planter quelques céréales et légumes,
et d’aller nager dans une eau propre, parmi les poissons.
Triste, car les gentils, en pliant, en pardonnant, en tendant l’autre joue,
participent pleinement à maintenir ce climat électrique de brume glauque.
Lorsqu’ils ouvrent un peu les yeux, les sensibles, pacifistes et non-violents,
ils culpabilisent et se torturent de l’intérieur,
en se demandant ce qui ne va pas en eux qui déplaît tant aux salopards !
participent pleinement à maintenir ce climat électrique de brume glauque.
Lorsqu’ils ouvrent un peu les yeux, les sensibles, pacifistes et non-violents,
ils culpabilisent et se torturent de l’intérieur,
en se demandant ce qui ne va pas en eux qui déplaît tant aux salopards !
Triste,
à l'idée que des parents et grands-parents vont laisser leurs nouveau-nés
se faire inoculer des maladies pour la croissance des lobbies pharmaceutiques.
à l'idée que des parents et grands-parents vont laisser leurs nouveau-nés
se faire inoculer des maladies pour la croissance des lobbies pharmaceutiques.
Quelle sera l’étape suivante ?
Nanotechnologie.
Triste, un état, un sentiment,
un regard las sur ce monde des hume-anus,
se prétendant des « génies » parce qu’ils sont milliardaires,
d’avoir dépouillés tant des gens, en semant la misère morale.
un regard las sur ce monde des hume-anus,
se prétendant des « génies » parce qu’ils sont milliardaires,
d’avoir dépouillés tant des gens, en semant la misère morale.
Triste du dispersement incohérent des plus-éveillés,
qui laissent faire ou débattent sans fin.
qui laissent faire ou débattent sans fin.
Impuissants, ils nous ont rendu impuissants.
Comme dans le sperme, bientôt plus de spermatozoïde.
Plus de couille, plus d’honneur, plus de rage de vivre.
Comme dans le sperme, bientôt plus de spermatozoïde.
Plus de couille, plus d’honneur, plus de rage de vivre.
Il fut un temps où mourir sur un champ de bataille était bravoure,
une porte grande ouverte sur l’après-vie...
une porte grande ouverte sur l’après-vie...
Salut Eric,
RépondreSupprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=Mffgw-lkS6k
Comme d'ab, j'aie pas encore lu tes autres posts (VACANCES)
A très bientôt, merci :))
Et bonne année
:) salut Cres, merci, j'te souhaite une année vachement tendre ;))
RépondreSupprimerYo Sin(o con)semilia
Tiens, honneur aux dames,
une "paroles de feu" : Keny Arkana
https://youtu.be/QlS8g9EN3Hc?t=126
Extrait :
"ensemble nous sommes le monde et le système n'est rien"
:))
RépondreSupprimermerci et hop un son en prime d' Hanoucca...
https://www.youtube.com/watch?v=1RT7ZuieEfs
a++
Apprenons-leur ce qu'est vraiment danser...
SupprimerA + Cres
Eric,
RépondreSupprimerY a plus grand chose, alors le peu prend tout son sens. Bel article, prenant.
Thierry
Le peu, si qualité, est déjà énorme,
Supprimeret ce peu peut fructifier...
Salut Thierry
C'est la dépression saisonnière qu'ils disent, faut bien trouver une raison à tout et faire passer la pilule ! moi aussi je suis triste pour rien et tout, c'est difficile de mettre un pied devant l'autre ces derniers jours... C'est vraiment pas la grande forme...
RépondreSupprimerOuais..., plutôt une maniaque-dépression annuelle
SupprimerSalut Virevolte