Préambule : la déconnexion des hommes
Le monde actuel des humains est masculin, pour les mâles.
Vu son dysfonctionnement général, les hommes n’ont pas de quoi être fiers.
Néanmoins, on parle peu de l’impact des femmes dans ce système.
Je m’y colle, au risque de me faire quelques inimitiés.
Propos : la responsabilité des femmes
Y a un truc qu’j’pige pas, Mesdames :
depuis la nuit des temps,
des symboles, dessins, sculptures,
vous représentent pour évoquer la Terre, la vie, la régénération…
Vous êtes, de nature, plus sensibles que les hommes,
plus compatissantes, compréhensives et affectueuses.
Néanmoins, je croise tant de femmes superficielles,
de véritables caricatures surfaites et artificieuses.
Et autour d’elles, émanation d’odeurs asphyxiantes,
de crème hydratante, crèmes de jour et de nuit,
avec, par-dessus, du fond de teint, du rouge à lèvres,
du vernis à ongles avec, en plus de tout ça, du parfum.
Comment respirer dans ces conditions ?
Savez-vous, Mesdames, que pour fabriquer ces crèmes onéreuses,
ils torturent des animaux, pour prélever leurs ganglions,
leur graisse, leurs cellules souches, et que sais-je ?
Je vous invite à en avoir conscience, chaque matin et soir,
lorsque vous ouvrirez vos pots miracles.
Comment pouvez-vous être tant déconnectées du monde naturel ?
Comment se fait-il que vous ne ressentiez pas l’abomination,
au point de vous en badigeonner les corps et visages ?
Symboliquement, tout cela est très significatif :
on maltraite la Nature, torture et tue les autres animaux,
pour s’en faire des produits de… beauté et de longévité !
… ?
Têtes à l'envers, monde à l'envers.
J’ai écrit plusieurs fois que nous sommes devenus des monstres,
ne sachant que souiller, ravager, tuer. Les femmes ne font pas exception.
Quand je vous vois marcher, sur des talons, 10 cm au-dessus de la Terre,
tant gazées par vos produits que vous n’avez plus d’odorat,
aucunement incommodée par la pollution ambiante,
laissant parfois la tête de bébé dans sa poussette près d’un pot d’échappement,
avec un bras plié, un lourd et gros sac pendu au coude,
et un autre sac à main pendu à l’autre épaule,
avec une main occupée à tenir le smartphone,
je me dis qu’il est temps que les femmes s’éveillent,
car, les hommes, l’air de rien, sous les alcôves, écoutent les femmes.
Mesdames, les hommes, de par leur nature, sont rêveurs
et ils ont tendance à évoluer à côté de la Réalité,
toujours en quête de quelque chose.
C’est vous, Mesdames, qui êtes censées les ramener aux choses pratiques,
en leur rappelant de toucher Terre, de temps en temps ;
c’est vous qui les aider à s’ancrer dans le quotidien concret.
Peut-être comprendrez-vous mon impression d’être mal-barré
quand je vois la plupart d’entre vous ?
Plus les femmes sont nanties et instruites, plus elles sont lasses et sportives,
blasées et méprisantes notamment avec les employés dans les magasins
« ah ma chère, quel service navrant », se plaignent-elles d’un air dégouté.
Une femme, Camille Cottin, avait mis ce propos en scène,
par des sketchs TV et un film ciné intitulé : « La connasse ».
Vous participez pleinement à l’état du monde, Mesdames,
vous qui avez tendance à vous positionner en victime.
Fragiles, les femmes ?
J’y ai cru, longtemps.
Je n’y crois plus du tout.
Responsables, autant que les hommes, vous êtes.
C’est votre conscience qui est fragile ; ou flottante, ou instable ?
Car, autrement, cela fait longtemps que vous auriez réagi,
en sentant toute cette souffrance que nous produisons,
pour du confort et vos achats frénétiques.
Vous laissez agresser votre nouveau-né avec des vaccins superflus,
même pas obligatoires, qu’il faut néanmoins payer plus cher ;
mais y a la sécu et la mutuelle, alors vous vous en foutez,
en vous souciant de vos seins, de lui donner la tétée ou non ?
Jusqu’à il y a peu, vous envoyiez vos garçons à l’armée,
« tu seras un homme, mon fils ».
La plupart des publicités, des magazines et séries TV à la con,
c’est vous qui les consommez, qui vous en abreuvez,
pour être à la mode et au courant des derniers potins mondains,
et pour connaître les techniques imparables de séduction :
« durant combien de temps faut-il faire l’amour ?
Combien de fois par semaine ?
Sucer ou ne pas sucer ? »
Quand je vois ces femmes qui occupent maintenant des postes à responsabilité,
je me mets à regretter les hommes, moins pinailleurs et perfectionnistes que vous,
Mesdames, qui devenez insupportables et infects, castratrices,
dès qu’un titre pend à votre cou-coupe-respiration.
Certains penseurs supposent que ce sont les femmes, à l’origine,
qui ont ressenti le besoin de religion, de rites et autres.
Les femmes sentent-savent que tout est relié, quand elles s’écoutent.
Les hommes, par la suite, pour des questions de pouvoir,
ont pris les rênes du Verbe religieux,
découvrant par ce biais un excellent moyen de contrôler la population "esclavagisée"…
Et vous avez laissé faire, rassurées probablement,
heureuses de recevoir quelques babioles et de jouir de privilèges,
en vous fardant grossièrement « pour plaire aux hommes », dites-vous.
J’sais plus qui prétendait que « la femme sera l’avenir de l’homme ».
Virevolte, il y a peu, m’a fait connaître le blog de Barbesse (en lien ci-contre, sous Yurtao).
Eh ben, oui, j’y crois que la femme peut ouvrir des portes ;
mais, combien d’entre vous pensent à vivre simplement, sans renier leur féminité ?
Ecoutez-vous, Mesdames, au lieu de passer votre temps chez le coiffeur,
l’esthéticienne, le médecin, le gynécologue, le thérapeute, etc.,
entre deux séries TV genre « les feux de l’amour » et « gloire et beauté ».
Reconnectez-vous, Mesdames, ce sera bénéfique pour vous et le monde entier.
Le monde actuel des humains est masculin, pour les mâles.
Vu son dysfonctionnement général, les hommes n’ont pas de quoi être fiers.
Néanmoins, on parle peu de l’impact des femmes dans ce système.
Je m’y colle, au risque de me faire quelques inimitiés.
Propos : la responsabilité des femmes
Y a un truc qu’j’pige pas, Mesdames :
depuis la nuit des temps,
des symboles, dessins, sculptures,
vous représentent pour évoquer la Terre, la vie, la régénération…
Vous êtes, de nature, plus sensibles que les hommes,
plus compatissantes, compréhensives et affectueuses.
Néanmoins, je croise tant de femmes superficielles,
de véritables caricatures surfaites et artificieuses.
Et autour d’elles, émanation d’odeurs asphyxiantes,
de crème hydratante, crèmes de jour et de nuit,
avec, par-dessus, du fond de teint, du rouge à lèvres,
du vernis à ongles avec, en plus de tout ça, du parfum.
Comment respirer dans ces conditions ?
Savez-vous, Mesdames, que pour fabriquer ces crèmes onéreuses,
ils torturent des animaux, pour prélever leurs ganglions,
leur graisse, leurs cellules souches, et que sais-je ?
Je vous invite à en avoir conscience, chaque matin et soir,
lorsque vous ouvrirez vos pots miracles.
Comment pouvez-vous être tant déconnectées du monde naturel ?
Comment se fait-il que vous ne ressentiez pas l’abomination,
au point de vous en badigeonner les corps et visages ?
Symboliquement, tout cela est très significatif :
on maltraite la Nature, torture et tue les autres animaux,
pour s’en faire des produits de… beauté et de longévité !
… ?
Têtes à l'envers, monde à l'envers.
J’ai écrit plusieurs fois que nous sommes devenus des monstres,
ne sachant que souiller, ravager, tuer. Les femmes ne font pas exception.
Quand je vous vois marcher, sur des talons, 10 cm au-dessus de la Terre,
tant gazées par vos produits que vous n’avez plus d’odorat,
aucunement incommodée par la pollution ambiante,
laissant parfois la tête de bébé dans sa poussette près d’un pot d’échappement,
avec un bras plié, un lourd et gros sac pendu au coude,
et un autre sac à main pendu à l’autre épaule,
avec une main occupée à tenir le smartphone,
je me dis qu’il est temps que les femmes s’éveillent,
car, les hommes, l’air de rien, sous les alcôves, écoutent les femmes.
Mesdames, les hommes, de par leur nature, sont rêveurs
et ils ont tendance à évoluer à côté de la Réalité,
toujours en quête de quelque chose.
C’est vous, Mesdames, qui êtes censées les ramener aux choses pratiques,
en leur rappelant de toucher Terre, de temps en temps ;
c’est vous qui les aider à s’ancrer dans le quotidien concret.
Peut-être comprendrez-vous mon impression d’être mal-barré
quand je vois la plupart d’entre vous ?
Plus les femmes sont nanties et instruites, plus elles sont lasses et sportives,
blasées et méprisantes notamment avec les employés dans les magasins
« ah ma chère, quel service navrant », se plaignent-elles d’un air dégouté.
Une femme, Camille Cottin, avait mis ce propos en scène,
par des sketchs TV et un film ciné intitulé : « La connasse ».
Vous participez pleinement à l’état du monde, Mesdames,
vous qui avez tendance à vous positionner en victime.
Fragiles, les femmes ?
J’y ai cru, longtemps.
Je n’y crois plus du tout.
Responsables, autant que les hommes, vous êtes.
C’est votre conscience qui est fragile ; ou flottante, ou instable ?
Car, autrement, cela fait longtemps que vous auriez réagi,
en sentant toute cette souffrance que nous produisons,
pour du confort et vos achats frénétiques.
Vous laissez agresser votre nouveau-né avec des vaccins superflus,
même pas obligatoires, qu’il faut néanmoins payer plus cher ;
mais y a la sécu et la mutuelle, alors vous vous en foutez,
en vous souciant de vos seins, de lui donner la tétée ou non ?
Jusqu’à il y a peu, vous envoyiez vos garçons à l’armée,
« tu seras un homme, mon fils ».
La plupart des publicités, des magazines et séries TV à la con,
c’est vous qui les consommez, qui vous en abreuvez,
pour être à la mode et au courant des derniers potins mondains,
et pour connaître les techniques imparables de séduction :
« durant combien de temps faut-il faire l’amour ?
Combien de fois par semaine ?
Sucer ou ne pas sucer ? »
Quand je vois ces femmes qui occupent maintenant des postes à responsabilité,
je me mets à regretter les hommes, moins pinailleurs et perfectionnistes que vous,
Mesdames, qui devenez insupportables et infects, castratrices,
dès qu’un titre pend à votre cou-coupe-respiration.
Certains penseurs supposent que ce sont les femmes, à l’origine,
qui ont ressenti le besoin de religion, de rites et autres.
Les femmes sentent-savent que tout est relié, quand elles s’écoutent.
Les hommes, par la suite, pour des questions de pouvoir,
ont pris les rênes du Verbe religieux,
découvrant par ce biais un excellent moyen de contrôler la population "esclavagisée"…
Et vous avez laissé faire, rassurées probablement,
heureuses de recevoir quelques babioles et de jouir de privilèges,
en vous fardant grossièrement « pour plaire aux hommes », dites-vous.
J’sais plus qui prétendait que « la femme sera l’avenir de l’homme ».
Virevolte, il y a peu, m’a fait connaître le blog de Barbesse (en lien ci-contre, sous Yurtao).
Eh ben, oui, j’y crois que la femme peut ouvrir des portes ;
mais, combien d’entre vous pensent à vivre simplement, sans renier leur féminité ?
Ecoutez-vous, Mesdames, au lieu de passer votre temps chez le coiffeur,
l’esthéticienne, le médecin, le gynécologue, le thérapeute, etc.,
entre deux séries TV genre « les feux de l’amour » et « gloire et beauté ».
Reconnectez-vous, Mesdames, ce sera bénéfique pour vous et le monde entier.
Ben, je ne dois vraiment pas être une femme car je ne me sens pas du tout concernée par tes propos ! :D je n'ai jamais porté de talons, je n'achète que de la crème certifiée non testée sur les animaux, j'ai allaité mes deux enfants, je déteste aller chez le coiffeur, je ne suis jamais allée chez l'esthéticienne, je vais le plus rarement possible voir le médecin, vu ce que j'ai payé la dernière fois chez le gynéco ben je crois bien que je vais m'en passer ...Je n'ai jamais regardé les feux de l'amour ni ceux de la gloire !
RépondreSupprimerEnsuite, je ne suis pas tout à fait d'accord avec ta phrase :"Quand je vois ces femmes qui occupent maintenant des postes à responsabilité,
je me mets à regretter les hommes, moins pinailleurs et perfectionnistes que vous,Mesdames, qui devenez insupportables et infects, castratrices,dès qu’un titre pend à votre cou-coupe-respiration.", ça, je ne pense pas que ce soit l'apanage des femmes au pouvoir, c'est juste le pouvoir qui rend les humains infectes et pas seulement les femmes !
Ah oui, j'oubliais, je n'achète ni ne lis les magazines féminins. J'te dis, je dois être une drôle d'espèce certainement pas une femme, enfin pas celle que tu crois! ;)
Coucou Vi, (j'suis en train de lire le D. Quinn, que j'ai reçu hier. Incroyable le nombre d'échos entre ce qu'il écrit et les thèmes que je traite ! J'aime bcp, j'en suis à la métaphore des danseurs...
SupprimerJe prévois déjà d'en parler sur le blog, car cet auteur, son propos,
vaut d'être entendu par un max de gens)
:)) (en lisant ton com, Dame d'une autre espèce)
Par rapport au pouvoir, oui, il corrompt. Jusqu'à il y a peu, c'étaient majoritairement des hommes qui occupaient les postes clés. Maintenant, de plus en plus de femmes grimpent les échelons.
Et elles ne font pas mieux. Elles se laissent happer par l'infection...
Je parle de majorité (ou beaucoup) de femmes. Comme parmi les hommes, quelques rares personnes vivent avec plus de conscience...
;)
Eric,
RépondreSupprimerTrès intéressant ton article. Justement chez Saby il y avait une soirée Pink. Connection, encore un mot qui prend un tout autre sens 2.0 alors qu'on se relie à quoi. Le mot qui me vient est écoute. Le problème est général, tous genres confondus.
Belle journée à toi.
Thierry
Ben, ce morceau de Pink, c'est Saby qui l'avait mis sur un autre blog qu'elle avait. Pink joue bien dans ce clip, une Charlot femme...
SupprimerOn se relie à quoi ? Ben, au Net, bien évidemment ! ;))
Oui, c'est ça : "écoute".
Le problème, selon moi de déconnexion, est effectivement général.
A + Thierry