La vérité libère.
Je l'ai expérimenté, que la vérité libère,
et tous ceux ayant fait un travail sur eux (une psychothérapie, par exemple) l'expérimentent.
D'extérioriser (d'exprimer ou dessiner, écrire, etc.) nos troubles intérieurs ou secrets inavouables
permet de s'en libérer et de se sentir, ensuite, comme allégés et davantage en phase avec soi-même.
De se dire, de parler de son sentiment profond ou de son tracas majeur à quelqu'un de confiance libère,
ce qui permet de passer à autre chose au niveau de la pensée ou, pour le moins, de bénéficier d'un autre regard
sur une situation, un autre point de vue, ce qui nourrit la pensée et lui permet d'avancer (au lieu de ressasser).
AGIR, et non seulement ingurgiter puis commenter des informations
en se positionnant en pour ou en contre.
Les secrets, les non-dits et, pire, les mensonges agissent à l'encontre de la liberté,
nous enfermant intérieurement dans des narratifs servant à contourner la vérité,
à la dénier ou à la bafouer ou encore, à faire passer la vérité pour fausse.
Et on devient l'esclave du mensonge.
Il en va de même avec l'omerta qui ne sert qu'à ceux qui tyrannisent ou abusent d'autrui.
L'omerta permet aux salopards de continuer à nuire en toute impunité.
Bien-sûr, il faut faire la part des choses : il arrive que taire un survenu soit bénéfique,
par exemple en temps de guerre lorsqu'on cache des informations à l'ennemi.
Le pire fléau de notre Système reste, à ce jour, la corruption : quelques billets pour taire la vérité,
quelques billets supplémentaires pour mentir.
On dit que la vérité peut blesser. Ce n'est pas exact, selon moi : ce n'est pas la vérité qui blesse,
mais l'écroulement qui s'en suit notamment des croyances, des vision et convictions erronées du monde,
ainsi que de supporter le sentiment de confiance trahi, la honte de s'être trompé,
la culpabilité d'avoir mal agi, etc.
Par exemple : certains croient que pour préserver un enfant, il faut lui cacher la vérité autant que possible
concernant un survenu tragique ou honteux, par exemple. Cependant, l'enfant qui sent les choses
se retrouve dès lors plongé dans les non-dits et faux-semblants,
ce qui perturbe ce qu'il ressent intérieurement.
C'est de cette façon que l'enfant, peu à peu, ne fait plus confiance en ses ressentis
puisque ses proches, adultes, les lui nient « pour qu'il ne souffre pas », prétendent-ils (sentimentalité).
Et le jour où l'enfant, devenant adulte, apprendra la vérité (sur le survenu), Colt sait quelle réaction il aura ?
Sans parler du fait que l'enfant troublé (interférences entre ce qu'il ressent et ce que lui disent les adultes)
risque de développer des symptômes psychosomatiques (être souvent malade ou déprimé, etc.)
La vérité libère les corps et esprit.
La vérité ramène le "moi-je" faussement motivé vers le "Je" (conscience de soi relié aux autres et au monde,
avec l'attention portée sur tout ce qui constitue notre être).
Je pense que la vérité est bonne à entendre (contrairement à ce qu'on dit
que « toute vérité n'est pas bonne à entendre »).
Selon les circonstances et les individus, il vaut mieux parfois attendre le moment approprié
et réfléchir à la façon de dire les choses difficiles. Certaines annonces doivent être abordées avec tact.
Certes, dans un premier temps la vérité bouscule, peut blesser ou rendre furieux, etc.,
mais, ensuite, dans un second temps, on se sent mieux et on peut se réorganiser (revoir
ses croyances et valeurs, à qui on fait confiance, etc.)
en respirant profondément.
La vérité permet à la situation globale et aux relations entre les uns et les autres de s'éclaircir,
de s'assainir et, par conséquent, d'être plus fluides et harmonieuses.
Problème : tant qu'on se ment à soi-même, on ne sait pas ce qu'est de se sentir vraiment libre ;
et en plus, inévitablement, on ment aux autres.
Cet état de faits (mensonges et fausses motivations) représente pour les personnes concernées
une dépense énergétique et mémorielle considérable. Pour le dire autrement,
mentir n'est pas sain (excès de dépense énergétique et mémoire constamment mobilisée)
alors que de dire la vérité permet de rester sain de corps et d'esprit (économie énergétique
et fluidité dans la pensée restant lucide et ouverte à ce qui vient).
La vérité libère notre être et lui permet de vibrer juste.
La vérité dérange surtout les dominants, égocentriques, menteurs, tricheurs, séducteurs, cupides, etc. ;
et, étonnamment, la vérité dérange tout autant les crédules ayant cru les autorités ou les pervers.
En définitive, la vérité dérange la plupart d'entre nous qui sommes assis sur des certitudes non vérifiées.
Réfléchir :
dans un Système hyper hiérarchisé comme le nôtre, au sein duquel les élites élaborent des plans à notre insu
(on peut dire qu'ils conspirent et complotent contre le peuple, non ?),
peut-on se sentir libre, par exemple face à son patron ?
En vérité, dans notre Système, seuls les richissimes sont libres d'agir comme bon leur semble,
n'hésitant pas à corrompre les politiciens et même les juges pour arriver à leurs faims fins.
Pour être libre et influent, en notre civilisation, il faut être très riche et malhonnête, c'est un fait.
Vendre son âme au diable, comme dit l'expression, ne libère pas du tout,
au contraire et ce, même si grâce à ce pacte on devient riche et fameux.
Évidemment, le seul lieu où l'on trouve encore de l'information, c'est le Web.
Sur lequel les autorités n'ont aucun moyen de contrôle, sauf à suspendre d'un coup
l'activité de tous les fournisseurs d'accès, ce qui, à mon humble avis,
ne serait pas de nature à calmer les nerfs des citoyens...
(...) De tout temps, un gouvernement a disposé de deux moyens pour empêcher la vérité
de lui nuire.
Le premier : interdire qu'elle soit dite. Mais il est très difficile de contrôler les bouches et les oreilles.
Le deuxième : noyer la vérité dans un flot de paroles et d'écrits, de demi-vérités, de francs mensonges,
de rumeurs en tout genre. C'est plus facile, et diaboliquement efficace !
La prolifération de l'information tue l'information. Le Web, c'est ça. Tout le monde peut s'y exprimer,
et l'on ne sait jamais qui parle. Tout y est dit, et le contraire de tout.
Il n'y a plus aucun critère de vérité.
(...)
Des gens meurent, peut-être, de ce que je leur ai laissé savoir. Et du chaos que la vérité sème.
Mais je suis en paix.
Suis-je un monstre ?
Oui.
Je suis un être humain, et l'être humain est un monstre.
Il est vrai que si je regarde sans laisser mentir mes yeux, ces organes qui savent si bien se détourner,
si je regarde à l'intérieur de moi, rien n'apparaît qui ressemble à l'amour.
Mais ce qu'appellent amour les gens qui croient aimer, à mes yeux ne ressemble pas davantage à l'amour.
(...) Oui, je suis indifférent. Mais je ne crois pas davantage aux sentiments des autres.
Les gens sont sincères, oui, mais cela veut seulement dire qu'ils croient à leurs propres mensonges.
D'une main, ils caressent la joue d'un enfant, et de l'autre ils le frappent,
mais ils ne veulent voir que la main qui caresse. Et ils disent à leur enfant je t'aime.
Et l'enfant devient fou, ou il apprend lui-même à mentir.
Le monde meurt du mensonge.
Extraits tirés du roman « Colère »*, de Denis Marquet.
Dans le roman, c'est un journaliste indépendant qui écrit cela dans son journal.
En ce moment, ce qui pourrait nous libérer notamment de la peur des covideries est la vérité
même si certains risquent d'y réagir violemment. Il s'agit de voir loin et, à long terme :
la vérité permettrait d'interrompre ce délire sanitaire et sécuritaire menant à une gouvernance totalitaire.
Depuis deux ans (au moins et de façon flagrante), les divers médias officiels nous mentent effrontément !
Résultat : la plupart d'entre nous sont angoissés et déstabilisés, ne sachant plus à quel saint se vouer.
Pire, les politiciens agissent à l'encontre de nos libertés (d'expression, de mouvement, de droit, etc.)
pour nous faire avaler une pilule OGM expérimentale (!) dont nous ne savons rien sur la finalité.
Le fait est que depuis 2001, et de façon plus flagrante pour nous les français depuis 2015,
nous ne sortons plus de l'état d'urgence, et nos droits fondent comme des glaçons en été !
Cette situation inhabituelle (un état d'urgence étant, normalement, limité dans le temps)
est devenue banale, normale.
Depuis au moins sept ans, nous obéissons à des contraintes de plus en plus insensées et, pire, délirantes.
Le plus terrible c'est qu'on s'y habitue au point que certains ne trouvent pas normal
que d'autres ne portent pas la muselière le masque ou refusent d'être injectés
pour une "OGMisation" de leurs corps et esprit.
Lorsque nous sommes manipulés à une telle envergure
que même les présidents ne sont que des « pions sur l'échiquier »,
que les juges, les médecins, les pharmaciens, les scientifiques, les journalistes, etc., sont corrompus,
comment croire un seul instant que nous sommes libres
et qu'on nous dit la vérité à la TV et autres médias ?
Lol
De liberté, nous avons besoin ? Vraiment ?
Non, nous avons besoin, en ce moment, de VÉRITÉ, d'apocalypse (au sens de révélation)
et aussi, de justice (respect de lois simplement énoncées et justes, de nos droits naturels, etc.)
pour mettre un terme à ce fonctionnement sociétal pourri
au sein duquel nous ne sommes libres que de choisir la couleur suggérée de ce qui nous est proposé.
Certains prétendent que l'humain n'a pas de libre-arbitre alors que, en vérité,
"ils" font tout pour que nous n'ayons plus conscience d'avoir le choix
notamment entre servir les ténèbres ou la force lumineuse,
entre être asservi et docile ou rester libre de penser et d'agir (en respectant des lois claires et justes pour tous).
Naïvement, je me demande comment a-t-on pu laisser des familles s'enrichir au point
qu'elles tiennent les gouvernements en servitude notamment par l'intermédiaire de leurs banques
et centres d'investissements américains (Vanguard, BlackRock, par exemple) ?
Nous avons laissés faire au point qu'une poignée de familles sont plus riches que des nations,
que tout un continent remplis de millions de familles, d'êtres humains !
Je trouve ce fait inadmissible, injuste, absurde, ignoble. Délire collectif grave.
Voici une vérité indéniable au sujet de la liberté :
Les animaux domestiques ne sont pas libres.
Les animaux sauvages sont libres.
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Note
* J'étais en train d'écrire ce propos lorsque, le soir-même, en lisant ce roman trouvé dans une boîte à livres,
je suis tombé sur ce passage.
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"Les animaux domestiques ne sont pas libres.
RépondreSupprimerLes animaux sauvages sont libres."
Oui !
:) salut la sauvage
Supprimer:))
Je rebondis sur
RépondreSupprimer" Par exemple : certains croient que pour préserver un enfant, il faut lui cacher la vérité autant que possible
concernant un survenu tragique ou honteux, par exemple. Cependant, l'enfant qui sent les choses se retrouve dès lors plongé dans les non-dits et faux-semblants"
Pour un décès par exemple je pense qu'il faut laisser décider l'enfant (s il est en âge de pouvoir le comprendre ) et ne pas " interdire " , s'il veut voir ou pas la personne morte, cela peut l'aider à faire son deuil par la suite.
Pour les histoires de famille, oui choisir le bon moment mais le dire ...
Pour l'info sur le net , on est parfois perdu dans beaucoup beaucoup de contradictions , mais il est vrai que l'on peut se renseigner autrement .
Ma mère me disait l'autre jour: "j'ai entendu ceci et cela à la télé" alors je luis dis "maman n'écoute pas trop ce qu'ils racontent" "mais c'est les infos quand même ils disent vrai " et bingo !!!
voilà ce qu'ils se passe tous les jours !
La bise copain Eric
Merci pour tes mots, Saby.
SupprimerBises à toi aussi